Je déménage!

Vous vous demanderez pourquoi j’ai décidé de plateforme, et à quelle plateforme je suis allé ? Alors, je vous réponds tout de suite, je suis allé sur Wordpress. Pourquoi ? Parce que Wordpress offre beaucoup plus de libertés aux blogueurs et que c’est que je recherche. Donc, voilà, je suis passé là-bas.

Je serais très content que vous me suiviez dans mon nouveau blog, avec un nouveau thème, une nouvelle plateforme, je décide de commencer l’année de mon blog sous de bons auspices.

Voici le lien du blog sous wordpress. A savoir, je ne supprime pas celui-ci, mais il sera pas forcément mis à jour !

http://letteraturaa.wordpress.com/

jeudi 30 juin 2011

Maudit Karma, David Safier

imageQuatrième de couverture : Animatrice de talk-show, Kim Lange est au sommet de sa gloire quand elle est écrasée par une météorite. Dans l'au-delà, elle apprend qu'elle a accumulé beaucoup trop de mauvais karma au cours de son existence. Non seulement elle a négligé sa fille et trompé son mari, mais elle a rendu la vie impossible à son entourage. Pour sa punition, Kim se réincarne en fourmi. Et le pire reste à venir : de ses minuscules yeux d'insecte, elle voit une autre femme la remplacer auprès de sa famille. Elle doit au plus vite remonter l'échelle des réincarnations. Mais, de fourmi à bipède, le chemin est long. Kim devra surmonter bien des obstacles... et, au passage, revoir la plupart de ses conceptions sur l'existence ! Tour à tour incisif, léger et émouvant, Maudit Karma est un roman jubilatoire.

Mon avis : J’ai très aimé ce roman que je qualifierais d’humour profond, je vous expliquerai cela par là suite, je peut dire que ce livre est encore un coup de cœur. Je vous conseille absolument de lire ce roman qui saura vous faire passer de sentiments en sentiments.

Je parlais d’humour profond, par cela, je veux dire que l’auteur sait tant nous faire rire que nous faire émouvoir. Le rire est tout d'’abord présent au début et au milieu, où l’environnement est léger, il n’y a pas de réel problème, donc la place est à l’humour, jusqu’à nous faire vraiment rire pas seulement sourire. Mais par la suite, on découvre la profondeur de l’œuvre, l’importance et l’intérêt de la réincarnation, on est dans un environnement complètement différent de celui du début. C’est donc cette polyvalence de cette œuvre qui en fait la qualité.

Je trouve que le livre est vraiment très accessible, il est écrit d’une qualité exceptionnelle, on croirait ne pas s’attendre cela d’un livre qui fait rire mais c’est le cas. Il y a beaucoup de phrases cultes dans le roman qu’on attend impatiemment le moment venu, cela m’a permis de m’adhérer complètement à l’histoire. De plus, la qualité d'’écriture et l’humour font de ce livre un livre qui se lit très rapidement, mais qui laissera des souvenirs.

Cet auteur est vraiment très drôle ! Il utilise de nombreux procédés qui sont forcément suivis de rire, comme les prénoms des animaux, des références solide comme la place de Casanova, les répétitions, le vocabulaire des animaux… voilà tout les procédés d’humour pour un roman !!! Je voudrais aussi dire que la place de Casanova dans le roman apporte une très belle touche indispensable.

Le roman fait rire, certes, mais il m’a beaucoup fait réfléchir sur le sens de la vie, sur notre comportement par rapport à nos proches, sur la manière d’utiliser la vie. Toutes ces notions sortent automatiquement à partir de la vie de Kim Lange et de ses nombreuses réincarnations qui servent à comprendre le sens de la vie.

J’ai donc adoré ce livre, que je considère comme un coup de cœur, je vous le conseille beaucoup. En voyant les autres avis sur la blogosphère, je vois qu’il est apprécié par beaucoup d’entre nous !!

mardi 28 juin 2011

Tome 1 : Les Vampires de Manhattan, Melissa de la Cruz

imageQuatrième de couverture : Il n'y a pas plus glamour que Mimi et son frère Jack au lycée ultra chic Duchesne, à New York. Snobs et branchés, ils forment avec leurs amis un club très sélect. Theodora, qui est plus vintage que Prada, n'est pourtant pas insensible au charme du très sexy Jack. Pourquoi un garçon si populaire s'intéresse-t-il soudain à elle ? Quel rapport avec Aggie, une élève retrouvée morte, vidée de son sang ? Theodora est déterminée à le découvrir quand apparait sur sa peau un entrelacs de veines bleutées qui lui glace le sang. Elle non plus n'est pas une fille tout à fait comme les autres.

Mon avis : Etant très novice dans ce type de livres, je ne vais pas pouvoir comparer à d’autres ! Malgré tout, j’ai trouvé que ce livre était une très belle découverte concernant le mystère, puisque pendant tout le livre, une part de mystère est toujours présent.

L’environnement irréaliste de l’action apparait par étape, on nous prépare à cette environnement atypique par des choses louches, bizarres, qui révèlent peu à peu le Comité des Quatre-cents. J’ai trouvé que cette technique était très bonne, elle nous permet de trouver des réponses à nos questions tout en découvrant le monde !

Je parlais des questions, eh bien, c’est le talent de ce roman, on se pose tellement de questions, que l’on veut continuer le roman et même la saga. Mais cette qualité devient défaut car ça nous embrouille vraiment, il y a tellement de questions que l’on ne peut pas s’insérer dans l’histoire correctement. Donc, je trouve que les questions sont bonnes et mauvaises.

Jusqu’à la 200ème pages, on ne découvre rien des Vampires de Manhattan , mais l’on se trouve dans un monde snob où tout le monde est beau et riche. Cela peut ennuyer des gens, mais cela m’a permis de m’habituer aux éléments pas très communs. Je trouve donc que ce livre est très bien choisi pour l’introduction à la bit-lit. Je pense que pendant tout la saga, l’auteure va joué sur le glamour des personnages.

J’ai été agréablement surpris de voir que tout les éléments du monde vampirique sont très cohérent, l’approche avec la vision “normale” des vampires, le mythe de la réincarnation… On a une explication à toutes les incohérences, l’auteur est très rigoureuse sur ce point, ce qui facilite la lecture. Il y a aussi le lien avec Mayflower qui ouvre une porte avec le passé.

La fin de ce tome est vraiment très déroutante, puisque l’auteur nous révèle beaucoup de choses, ce qui fait que j’étais très troublé, je pense qu’elle aurait pu diviser ces actions en deux livres tellement la matière est dominante. Mais la fin permet une nouveau commencement, car Theodora est maintenant devant de grandes responsabilités que je ne peut pas vous dire.

En conclusion, une découverte d’un genre littéraire très agréable, un début amusant d’une longue série que je commence, un moyen d’ouvrir mes horizons… Je vous le conseille pour découvrir ce genre littéraire.

lundi 27 juin 2011

Je vous propose… (11)

image" "En ce temps-là, le monde était jeune, et Alexandrie, la plus belle ville du monde. Au ras des flots, la « Très-Brillante » éblouissait par sa blancheur. Blanches, les terrasses de pierre tendre, les colonnes d’albâtre, les avenues pavées de marbre, et blanc, le grand Phare… Alexandrie : joyau d’un empire qu’Antoine et Cléopâtre vont entrainer dans leur chute."
Des amours de l’Imperator et de la reine d’Egypte étaient nés trois enfants : Séléné et Alexandre, des jumeaux fille et garçon, brun et blond, et le petit Ptolémée. Princes éphémères, qui grandissaient dans la pourpre et l’encens du Quartier-Royal auprès de leur demi-frère, l’enfant-pharaon né de César. Tous si jeunes encore, si fragiles, quand la tourmente s’abattit sur eux. Quatre enfants au destin tragique.
Séléné, l’unique rescapée, n’oubliera jamais l’anéantissement de son royaume, de sa dynastie, de ses dieux. Prisonnière en terre étrangère, elle vivra désormais pour venger ses frères et faire survivre dans le monde des vainqueurs la lignée des vaincus…
Avec la sensibilité d’écriture et la force romanesque qui ont fait de L'Allée du Roi un classique, François Chandernagor s’empare de la vie méconnue de la dernière des Ptolémées, la Reine oubliée. Explorant les dits et les non dits de l’Histoire avec une érudition qui n’empêche pas l’empathie, elle questionne un passé deux fois millénaire. Un récit singulier, haletant. Une fresque grandiose."(www.albin-michel.fr)

Orgueil et préjugés, Jane Austen

imageQuatrième de couverture : Orgueil et préjugés est le plus connu des six romans de Jane Austen. Son histoire, sa question est en apparence celle d’un mariage : l’héroïne, la vive et ironique Elizabeth Bennett, qui n’est pas riche, aimera-t-elle le héros, le riche et orgueilleux Darcy ? Si oui, en sera-t-elle aimé ? Si oui encore, l’épousera-t-elle ? Drôle, romanesque, le chef-d’œuvre de Jane Austen reste tout simplement incontournable.

Mon avis : Un début difficile pour une fin extraordinaire ! En effet, le début, je dirais même les premier moitié du livre m’a beaucoup déçu, car je me suis beaucoup ennuyé du au manque d’action, car moi qui attendait une histoire d’amour dès le début comme dans Raison et sentiments, je n’ai donc pas aimé le début. Mais, au contraire la suite est beaucoup plus digne de Jane Austen qui dévoile tout son talent avec des histoires d’amour, d’honneur, de malentendus, de tout qui m’a complètement époustouflé. Je peut donc dire que mon avis est vraiment mitigé certes, mais je vous conseille toujours de lire ce chef-d’œuvre jusqu’à la fin.

J’ai beaucoup été surpris de m’être ennuyé dans ce livre, je ne suis pas senti très bien, car je me disais “ C’est ma faute, si je n’ai pas aimé !” , puisqu'e tout le monde aime ce livre. Donc, je culpabilise, mais je pense le relire dans un ou deux ans pour voir si mon avis change.

Ce livre était vraiment drôle, surtout au début, ce qui n’exclue pas que je trouve le début ennuyant. Le début avec la conversation entre les Bennett, et les réponses de Mr.Bennet m’ont vraiment fait sourire mais rire.

J’ai davantage remarqué les traits de la société dans ce livre, puisqu’elle nous raconte tout, on comprend que le mariage n’a pour but que l’enrichissement, que la vertu est très importante pour une femme, que la femme est très inférieure à l’homme, que le cauchemar d’une fille est de ne pas pouvoir se marier. Toutes cette société est vraiment bien décrite par le talent de Jane Austen. J’ai donc aimé la dimension didactique de ce livre.

Les deux personnages principaux, Mr Darcy et Elizabeth sont en apparence deux êtres complètement différents qui se détestent mutuellement, mais cela est du à l’orgueil de l’un et aux préjugés de l’autre. Donc, assainis de cela, vont-ils pouvoir s’aimer ? C’est vraiment une superbe histoire d’amour, car jusqu’à la fin, on ne comprend pas vraiment si cet amour va se réaliser.

J’ai très apprécié les lettres du roman, surtout celle de Mr Darcy à Elizabeth, je pense que le talent principal de Jane Austen sont ses lettres d’un romantisme extraordinaire. J’avais aussi remarqué cela dans Raison et sentiments .

La fin est parfaite, puisqu'on sent qu’on est entré dans le monde de ce roman, donc on vit avec eux, donc à la fin on est heureux avec eux. Je ne pourrais malheureusement dire que c’est un coup de cœur, ce que je regrette car la fin est inoubliable, mais ça reste Très Bien.

samedi 25 juin 2011

Qui a déjà entendu parler de… ? (12)

imageAujourd’hui, je vais vous parler de My Major Company Books, un site internet qui donne une possibilité aux nouveaux auteurs de percer dans le monde de l’écriture.
Pour cela, les nouveaux auteurs doivent s’inscrire sur le site internet, ils doivent impérativement présenter des extraits de leurs œuvres. A partir de cela, les internautes doivent miser ou non sur le texte, quand 20 000 € est atteint,  XO éditions publie l’œuvre en question.
Les internautes peuvent miser de 10 à 500 euros, ils se partagent après 25% des ventes et 5% des ventes de droit. Ce site mise beaucoup sur la proximité des auteurs, donc, ça devient une sorte de réseau social.
Malheureusement, les ventes de ces livres parrainés ne font pas de grandes ventes, donc les internautes ne font pas de bénéfice, mais la maison d’édition est tout fois heureuse de ne pas prendre de risque financier.
Il existe déjà quelques auteurs publiés, comme Cendrillon à Hollywood d’Elena Klein, Ne cherche pas à savoir d'Erik Wietzel et No life d’Ali Coriana et encore d’autres livres.
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Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site My Major Company Books, ou bien les articles de Lire express ou des Inrocks.

jeudi 23 juin 2011

La Reine des lectrices, Alan Bennett

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Quatrième de couverture : Que se passerait-il outre-Manche si, par le plus grand des hasards, Sa Majesté la Reine se découvrait une passion pour la lecture ? Si, tout d'un coup, plus rien n'arrêtait son insatiable soif de livres, au point qu'Elle en vienne à négliger ses engagements royaux ?
C'est à cette drôle de fiction que nous invite Alan Bennett, le plus grinçant des comiques anglais. Henry James, les sœurs Brontë, le sulfureux Jean Genet et bien d'autres défilent sous l'œil implacable d'Elizabeth, cependant que le monde empesé et so british de Buckingham Palace s'inquiète : du valet de chambre au prince Philip, d'aucuns grincent des dents tandis que la royale passion littéraire met sens dessus dessous l'implacable protocole de la maison Windsor.
C'est en maitre de l'humour décalé qu'Alain Bennett a concocté cette joyeuse farce qui, par-delà la drôlerie, est aussi une belle réflexion sur le pouvoir subversif de la lecture.

Mon avis : C’est un petit roman qui se lit rapidement, il est très drôle. Je pense que ce livre n’est pas durable, je ne m’en souviendra sans doute pas dans un ou deux mois, mais c’est un livre qu’il faut lire pour se faire plaisir.

L’humour d’Alan Bennett est très bien construit, il désacralise la vie de la Reine, puisqu’il met Sa Magesté dans des situations ordinaires et banales, tout en rajoutant une touche de différence avec l’obsession de la lecture. Il transforme cette passion en espèce de mauvaise habitude qui est très bien écrit.

Dans le livre, je me disais qu’avoir les pensées précises d’une personne si influente serait très utile, puisqu’ici, il parle des problèmes de la Reine. J’aurais aimé savoir les problèmes que rencontre des personnes si importantes.

J’ai donc globalement aimé ce livre, tant par sa légèreté que par son thème : la lecture qui est au centre de toutes les attentions, puisque la Reine lit beaucoup trop. Cela devient un problème au yeux de tous, on assiste au complot de destruction de cette passion dévorante pour la lecture.

J’ai adoré la fin, la dernière phrase qui a complètement fait l’effet d’une bombe, c’est le talent d’humoriste d’Alan Bennett que je ne connaissais pas. Vous serez beaucoup surpris par la fin qui m’a beaucoup plu. Je n’ai rien d’autres à dire, à part lisez ce livre.

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L’histoire se passe au palais de Buckingham, donc à Londres

mercredi 22 juin 2011

Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Brontë

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Quatrième de couverture : Les Hauts de Hurle-Vent sont des terres balayées par les vents du nord. Une famille y vivait, heureuse, quand un jeune bohémien attira le malheur. Mr. Earnshaw avait adopté et aimé Heathcliff. Mais ses enfants l'ont méprisé. Cachant son amour pour Catherine, la fille de son bienfaiteur, il prépare une vengeance diabolique. Il s'approprie la fortune de la famille et réduit les héritiers en esclavage. La malédiction pèsera sur toute la descendance jusqu'au jour où la fille de Catherine aimera à son tour un être misérable et frustre. Ce roman anglais, le plus célèbre du XIXe siècle à nos jours, a été écrit par une jeune fille qui vivait avec ses sœurs au milieu des landes de bruyère. Elle ne connut jamais cette passion violente ni cette haine destructrice. Elle imagina tout, même le fantôme de la femme aimée revenant tourmenter l'orgueilleux qui l'a tuée.

Mon avis : La littérature classique par excellent, un chef d’œuvre exceptionnel qui n’existe nul part ! J’ai vraiment adoré ce livre, il est mon coup de cœur classique, tant par l’intrigue que par l’écriture. Je me demande comment Emily Brontë a pu peindre toutes les facettes de l’homme alors qu’elle n’a vécu aucun de ses sentiments ! C’est une œuvre que tout le monde doit absolument lire immédiatement ! Au début, j’avais peur de commencer un classique par la crainte de ne pas aimer, mais je me suis pris au jeu tout de suite.

Commençons par l’intrigue, l’écrivaine nous a concocté une histoire de famille des plus intéressantes avec toutes les options, amour, haine, traitrise…et tant de sujets qui nous passionnent.Chacun de ses personnages sont réalistes, ils ne sont ni le mal ni le bien, par exemple, Heathcliff est mal dans le fond mais on comprend qu’il était un bon avant. Mais par la suite, il représente la haine à cause de l’amour pour Catherine. J’ai adoré l’intrigue qui m’a emporté dans l’univers des landes, on vit avec eux pendant toute l’écriture. Cependant, n’oublions pas soit d’acheter une édition avec un arbre généalogique soit de le faire vous-même car les personnages sont nombreux, mais plus l'histoire continue, moins il y a de personnages.

L’écriture est fondamentale dans un livre, même si l’intrigue est superbe, s’il n’y a pas une écriture qui nous aide à nous intégrer, le livre ne marche pas. Donc, dans ce roman, l’écriture est superbe, on ressent le talent même à travers la traduction, les beaux discours digne du romantisme, du fantastique. J’ai accroché à cette écriture si belle qu’on ne trouve qu’ici, puisqu’elle n’a pu écrire qu’un roman, ce qui est dommage.

Le roman est vraiment est mélange de toutes les influences du moment, le romantisme anglais par les histoires d’amour différentes, du gothique par la situation de Catherine. Donc, dans ce livre, on retrouve tout à petite dose, donc à la fin, on un roman superbe qui mérite d’être lu.

Le personnage de Heathcliff est vraiment très intéressant dans le roman, car il condense tous les sentiments qui font l’humain, mais ses sentiments sont tirés à l’extrême, car quand il aime, il aime à la folie, pour Catherine mais quand il déteste, il est impitoyable, j’étais littéralement choqué de sa conduite envers ses victimes qu’il tue à petite dose. Il veut prendre sa revanche sur le monde, en le mettant en esclavage. Donc, j’ai vraiment aimé la profondeur du personnage et des sentiments de Heathcliff.

La fin est vraiment exceptionnelle, car elle est vraiment inattendu, nous qui croyions une fin tout à fait différente, on a une fin qui explose tout. Je ne peut pas la raconter, mais je vous conseille de lire pour savoir ce que je qualifie d’exceptionnel. Bonne lecture à ce qui veulent le lire !

Je pense que ce livre est mon COUP DE COEUR, comme tant d’autres blogueurs(euses) littéraires, je vous conseille de lire impérativement ce livre et aussi de l’aimé ! C’est sur vous allez l’aimez !

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Ce roman a été adapté de nombreuses fois.

Voilà la liste des adaptation sur Wikipédia : ici

 

 

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Ce roman appartient à la liste établie, donc ce livre appartient aussi à ce challenge.

lundi 20 juin 2011

Someone like you and other short stories, Roald Dahl

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Quatrième de couverture : Cette collection s'adresse à tous ceux qui désirent découvrir ou redécouvrir le plaisir de lire dans leur langue d'origine les œuvres des plus grands auteurs contemporains.
Notes en anglais en regard du texte, lexique bilingue en fin de volume dispensent d'un recours fastidieux au dictionnaire.

Des parents inquiets pour l'avenir de leur si chétif nouveau-né qu'ils ont prénommé... Adolf... Un ancien pilote de guerre et son ami quelque peu éméchés et maniant le non-sens avec une élégance toute britannique... Un sommelier anglais très à cheval sur les principes œnologiques... Des situations cocasses, riches en rebondissements, des personnages peu ordinaires... Tout le talent de Roald Dahl, un des plus grands humoristes anglais contemporains.

Mon avis : C’est pour ainsi dire la première fois que je lis en anglais, je veux dire par cela que je n’ai jamais lu en anglais une histoire entière, des extraits plus ou moins long mais presque jamais une œuvre entière. Donc, c’est ma première expérience qui m’a beaucoup donne de confiance en soi. Pourquoi ? Eh bien, au début, je ne faisait que regarder le mot de vocabulaire, mais par la suite, j’ai délaissé les mots de vocabulaire en me concentrant sur l’histoire, c’est ainsi que je me suis rendu compte que je comprenais une bonne majorité de l’histoire.

Mais, commencer une nouvelle dans ce recueil est vraiment désagréable car l’on ne sait pas si l’on va comprendre tout de suite, ce qui était le ca,s car au début, je ne comprenais pas beaucoup mais au milieu de l’histoire, je commençai à apprécier l’histoire.

Les histoires sont intéressantes, elle nous permet de comprendre l’anglais et de se faire plaisir avec une belle histoire, c’est mieux qu’un cours d’anglais. J’ai beaucoup aimé la nouvelle Genesis and Catastrophe, une histoire vraie qui raconte la naissance d’un enfant prénommé Adolf Hitler. Mais la meilleure nouvelles était sans doute la dernière Lamb of the slaughter, une super histoire quand on la comprend, ce qui était mon cas.

Donc, une bonne expérience, et quelques leçons apprises, ne pas faire attention au vocabulaire, si vous ne comprenez pas tout, ce n’est pas la fin du monde. Donc, prenez plaisir à lire, ne faites pas attention aux détails pas très facile à comprendre. Par conséquent, maintenant, je vais commencer à lire un peu anglais.

samedi 18 juin 2011

Qui a déjà entendu parler de… ? (11)

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Le thème du festival de Nice de cette année est consacré à la langue française pendant trois jours, jusqu’au dimanche.
Il est attendu 250 auteurs différents, qui concerneront la littérature générale, la bande dessinée ou bien la littérature jeunesse.
J’apprend dans le site de la ville qu’il y aura de nombreux débats sur l’actualité littéraire, la littérature française avec beaucoup d’invités comme Michel Onfray ou bien Franz-Olivier Giesbert.
Il y aura aussi de nombreux concerts où la lecture et les mots seront à l’affiche.
Il y a aura le traditionnel Prix Baie des Anges qui sera accordé par Franz-Olivier Giesbert.
Vous pourrez visiter le blog consacré à cet évènement pour plus d’informations : http://festivaldulivredenice.blogspot.com/

vendredi 17 juin 2011

Un heureux évènement, Eliette Abécassis

imageQuatrième de couverture : Désormais ma vie ne m'appartenait plus. Je n'étais plus qu'un creux, un vide, un néant. Désormais, j'étais mère. " E. A.
Violent, sincère, impudique, le nouveau roman d'Eliette Abécassis brise les tabous sur la maternité, cet " heureux évènement " qui n'est peut-être qu'une idéologie fabriquée de toutes pièces. Après Mon père et Clandestin, la romancière affirme un ton toujours plus personnel, où la fiction se mêle à une analyse subversive de la société.

Mon avis : Je pense que ce livre a été une très grande surprise, car je ne m’attendais pas à une telle profondeur d’écriture. Quand on y pense, c’est obligatoire car la naissance est un moment très sacré. Je suis donc très heureux d’avoir lu ce livre, même si ce n’est pas très consistant pour être un coup de cœur.

L’histoire concerne Barbara qui est enceinte, jusqu’à l’accouchement elle est contente de pouvoir donner la vie mais malheureuse de perdre sa jeunesse, à l’accouchement et après, tout va mal, son couple hésite, elle ne sait pas comment être avec son enfant et sa vie.

L’histoire est divisé par deux, avant l’accouchement et après. Avant, on assiste à toutes les étapes d’une grossesse avant des détails réalistes, on comprend son état tant psychologique que physique. Ceci est vraiment un bonne expérience, surtout pour les hommes comme moi, car les femmes ne racontes pas forcément tout à leur maris. Après, il y a l’élément crucial où l’on voit toutes les facettes de cet “heureux évènement”, où Barbara hésite encore sur l’enfant, mais elle raconte aussi ses souffrances qui se cristalliseront par là suite, donc c’est un bon guide pour les femmes qui veulent avoir des enfants. L’après accouchement se passe selon des étapes définit, la découverte de l’enfant, l’appartenance et les problèmes de couples.

Pendant toute la lecture, on ressent que cette femme ne sait pas tous des sentiments maternels, elle apprend petit à petit, parfois avec humour mais aussi avec larmes. J’ai beaucoup aimé cette découverte de l’être inconnu et l’appartenance à celui-ci.

On peut considérer ce roman comme un mélange entre roman et essai, car il y a de nombreux passages très agréable à lire qui reflète la pensée de l’auteure, elle énonce des problèmes qu’elle essaye de résoudre selon elle. On peut prendre l’exemple de la vie Barbara où elle se demande si elle devrait avoir une vie autre que maman. Elle nous dit toutes ses pensées, avec une approche philosophique.

Je parlais d’approche philosophique, c’est exact, car l’auteure se pose de nombreuses question sur sa vie, et son sens, à partir de ces expériences, elle essaye d’y répondre avec une subjectivité présente, on sent vraiment qu’elle est insérée dans son personnage, on sent vraiment qu’elle a déjà eu des enfants. C’est grâce à cela, qu’elle s’attaque au tabou de la maternité en entrant dans les détails les plus insignifiants qu’il le devienne. Elle aide les femmes à partir d’un roman, ce n’est pas comme les guides de la maternité. Puisqu’ici, Barbara apprend elle-même les notions de maternité.

L’écriture est vraiment très bonne, je pourrais qualifier le style tragicomique, elle nous fait tant rire que pleurer, on peut dire que c’est un véritable talent, que je continuerais à lire. Parlons dernièrement de la fin, une bombe qu’elle laisse exploser, car cette nouvelle est bouleversante dans cette histoire, on ne sait pas comment réagir, on aurait aimé avoir une suite.

jeudi 16 juin 2011

Elle s’appelait Sarah, Tatiana de Rosnay

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Quatrième de couverture : Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit.
Paniquée, elle met son petit frère à l'abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible. Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d'Hiv. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie va changer à jamais. Elle s'appelait Sarah, c'est l'histoire de deux familles que lie un terrible secret, c'est aussi l'évocation d'une des pages les plus sombres de l'Occupation.
Un roman bouleversant sur la culpabilité et le devoir de mémoire, qui connait un succès international, avec des traductions dans trente-quatre pays.

Mon avis : C’était véritablement une lecture très émouvante, sur un sujet sensible. Ce livre est incontestablement un coup de cœur, l’histoire m’a complètement bouleversé. Le thème principal étant la rafle qui est très sensible au yeux des Français, mais quand l’histoire se déroule autour d’une petite fille, l’histoire est bien roulée sans défauts.

Le petite Sarah est déportée avec ses parents, son frère reste dans un placard. Elle vit cela comme un choc, donc elle décide de s’enfuir, pour être recueillie par une famille. Mais quel est le rapport avec la famille de Julia Jarmond ? A l’intérieur, se cache un secret familial.

Le personnage de Sarah est très émouvant, on en arrive à pleurer pour ses chagrins, elle est si impuissante face à ce monde de brute. Tout d’abord, on peut dire qu’elle est naïve, peut être beaucoup trop, c’est aussi ce qui fait l’effet. Elle se sent responsable du malheur de son frère, on l’écoute exprime ses arguments, mais on a davantage envie de pleurer pour cette culpabilité du à la naïveté de la personne. Pendant la lecture, on vie avec Sarah, on est malheureux quand elle l’est, heureux quand elle l’est. C’est tout à fait le talent de Tatiana de Rosnay que je lis pour la première fois, alors que j'e l’ai déjà vu à la télévision.

Le monde que décrit l’auteur est composé de nombreuses brutes, mais il y a quand même quelques gens bons et justes, qui aideront à faire vivre la petite Sarah. Ce juste dans un monde horrible apporte vraiment de la joie de lire ce livre.

On croirait aussi que la vie de Julia Jarmond, la journaliste et la petit Sarah se situe à la même époque, ce qui permet de créer une lecture continue, car s’il n’y avait pas cela, on se croirait dans deux histoires complètement différentes. Mais pour arriver à ce sentiment, il faut comprendre quelque éléments de l’intrigue, donc le début est quelque peu déroutant, on croit que l’on ne se rappellerait jamais de tant de personnages. Mais par la suite, on comprend le sens de ses deux histoires d’époques différentes.

Les thèmes principaux abordés dans ce roman sont, bien sur, la rafle, la fuite, le culpabilité à vie, la psychologie de l’enfant, le secret familial mais aussi le devoir de mémoire qui se reflète autour de la journaliste. Ce sont tout ses thèmes sensibles et émouvants qui permettent de faire un livre complètement magnifique.

Le secret familial, voilà le sujet parallèle qu’entretient le narrateur, il y a de nombreuses suppositions sur les problèmes que cela pose. Et aussi, faut-il le révéler ? De plus, on apprend parfois qu’il est indispensable de le révéler car la majorité le sait.

L’écriture de Tatiana de Rosnay est pour moi une première, je ne m’attendais pas à cela, car elle écrit d’une fluidité impressionnante, qui attenue le choc de l’intrigue. Donc, je constate que son écriture est pour l’instant logique avec son sujet. Je pense lire d’autres livres de cette auteure.

Pendant toute l’histoire, on se pose tellement de questions, que la continuation devient seulement une nécessité pour atténuer notre curiosité. Tout d’abord, les questions portent sur le lien de ces deux textes, dont la réponse apparait des le début, mais la suite est “Qu’est-ce-que le secret ?”, mais la réponse apparait avec de nombreuses ambigüités qui se définissent au fur et à mesure.

C’est un coup de cœur, car j’ai lu ce livre avec haleine, car le sujet était très intéressant, car la lecture est facile avec une écriture de qualité. Je vous le conseille fortement. J’ai surtout aimé les moments en italique, quand il y a le point de vue de Sarah. Lire une page de ce point de vue, on est littéralement rongés par la tristesse.

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Le film correspondant à ce roman a été par Gilles Paquet-Brenner en 2009. Je pense le regarder très prochainement pour en parler.

La fiche du film : ici

mercredi 15 juin 2011

Ca ne coûte rien, Sylvain Saulne

imageQuatrième de couverture : Shangai 2008. Un jeune français, en attente d'un héritage arrive dans la ville des excès et découvre la vie d'expatrié nanti: les boites de nuit, la drague, les filles... les prix dérisoires et le statut d'occidental lui offrent une vie oisive et distrayante, sans le soucis du lendemain. Mais l'héritage tarde à venir et il doit revoir son budget à la baisse. Il découvre alors l'autre Shangai, celle des populations locales dont le rythme de vie est le miroir inversé des premiers. le parcours singulier de ce jeune français le fait basculer de la belle à la véritable Shangai.
Mon avis : Tout d’abord, cette bande-dessinée m’a permis de redécouvrir cet art qui allie superbement bien l’image et les mots, parfois, les images nous révèlent tous, les mots sont inutiles. Donc, je remercie Babelio et KSTR de m’avoir permis de lire ce chef-d’œuvre.
Comme vous avez pu comprendre, j’ai beaucoup apprécié ce livre qui allie royalement l’écrit et l’image. L’image n’est pas seulement un accompagnement, il devient parfois le point principal de l’histoire. Comme le fait-il ? Eh bien, il utilise de nombreuses techniques, comme dessiner en noir et blanc les choses les moins importantes et les couleurs pour les principaux objets. Je dis cela pour le personnage principal qui voit que les aliments en couleur lorsqu’il a faim.
L’histoire est celle d’un jeune français venu à Shangai, au début, il découvre la Chine des touristes avec son argent, mais quand celui-ci lui manque, il découvrira la véritable ville du quotidien.
Dans cette BD, on découvre la véritable écart entre ces deux mondes, car la véritable Chine est pauvre et défavorisé, toujours en construction, alors que l’autre Chine est belle. Notre personnage découvre à travers cela la vrai richesse culturelle de la Chine qu’il commence à aimer, il critique même ses amis français qui n’ont rien appris de ce pays. Il ne comprend pas pourquoi ces amis ne veulent pas découvrir la véritable identité du pays, puisqu’ils vivent comme en France.
En même temps, il est question de sujets sociopolitiques, comme la censure, l’augmentation du prix des VISA, les JO de 2008 dans cette ville. On découvre aussi une nouvelle vision du monde, les pensées changent.
Les dessins sont super, il sont très précis et réaliste pour la Chine, cependant, les personnages semblent quelque fois changés, de plus, ils se ressemblent. Sinon, j’ai bien aimé les dessins qui ont acquis de l’importance ici. Une belle découverte.

mardi 14 juin 2011

Le fantôme de la gloire, François Sautereau

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Quatrième de couverture : Tout change dans la vie d'Auguste Modeste, lorsqu'un soir de Noël, lui apparait sa grand' mère, morte depuis des années mais pas enterrée, ajoute-t-elle malicieusement ! Et elle poursuit " La gloire, ça t'intéresse ? ".
Voilà notre héros embarqué par une promesse et des exploits étonnants où le garçon a bien du mal à résister aux sarcasmes de son grand frère César, à la curiosité de sa petite sueur Cléopâtre. Drôle de cadeau, en vérité, cette cassette vidéo où sont enregistrés les évènements à venir.

Mon avis : Je trouve que ce livre est très bien, qu’il mérite davantage de célébrité, donc c’est pour cela que je met à lire des livres pas très connus, qui sortent des meilleurs ventes.

Auguste, dans cette histoire, reçoit un cadeau de sa grand-mère revenu : la gloire. C’es en fait, toutes les choses qui vont se passer l’année suivante. Mais cela dans les mains d’un enfant, tout va changer.

J’ai aimé l’écriture facile et compréhensible qu’à utilisé cet auteur, c’est tout à fait compréhensible, car c’est une œuvre jeunesse. A part cela, on ne ressent pas qu’elle simplifie les actions, car il y a de nombreuses actions que je n’ai pas vraiment comprises. Comme par exemple, il y a la situation de la grand-mère qui est vraiment ambigüe qui favorise la lecture de l’œuvre. Donc, j’ai aimé le style qui est facile à lire mais pas pour autant simpliste dans l’intrigue.

Le thème principal de l’histoire est le jeu avec le futur, or, on sait qu’il est pas très convenable de jouer avec le temps. En effet, le futur changera de nombreuses fois à cause de la négligence d’Auguste, ce qui dégradera beaucoup sa gloire. Tout ces changements sont dus à Auguste qui a donné l’information du futur à son frère, alors qu’il avait juré ne rien dire.

Parmi les thèmes, il y a le paradoxe temporel que reprend l’auteur pour en faire un vrai travail de l’enfant, car il se doit d’effectuer les évènements de la cassette. Cela est très troublant, j’avoue qu’en réfléchissant sur ce paradoxe, on s’embrouille vite, mais c’est un sujet très intéressant que Le dernier Homme Bon d’A.J.Kazinski avait déjà repris sous forme de destin.

La fin, est très bonne, car l’ambigüité du récit continue tout en donnant un point à l’histoire. L’histoire se termine par un malentendu, que je ne révèlerai pas, mais à cause de cela, tout son point de vue est chamboulé, car il ne comprend plus rien. En même temps, nous on commence à avoir nos réponses, on finit donc par une entente.

Je suis donc assez surpris de cette découverte faite dans un magasin d’occasion, je continue donc à chercher des livres hors du sentier. Je ne peut que vous le conseiller,une nouvelle expérience ne fait pas de mal.

lundi 13 juin 2011

Un changement de thème et d’arrière plan !!

J’en avais assez de cette pile de livres comme arrière-plan, j’aime les livres pas leurs images, donc j’ai décidé de changé en mettant un arrière-plan où se trouve de nombreuses images très belles ! Ouvrons-nous l’esprit, l’été arrive !

 

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Voici un endroit très plaisant où je pourrais aller, mais pas assez d’argent ! Sinon, je vais quand même partir dans un beau pays, pas tout de suite. En mi-juillet, pour y rester 15 jours à 1 mois. Je vais en TURQUIE.

Le livreur, Philippe Langénieux-Villard

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Quatrième de couverture : Il est des auteurs qui bouleversent la littérature, comme Bernard Melvile.
Aussi lorsque l'écrivain célèbre s'éclipse de la scène littéraire, son éditeur se lance à sa recherche. Pourquoi a-t-il disparu sans laisser d'adresse ? Cherche-t-il à s'effacer derrière son œuvre ? En dernier hommage ou dernière offense, l'éditeur remonte le fil d'une disparition. À travers les pages que celui-ci consacre à Melvile, se profile une réflexion sur les enjeux de la création, sur les secrets de la réussite.
Exercice d'admiration ou biographie imaginaire, Le Livreur place l'écriture en son centre.

Mon avis : Un livre très agréable à lire, qui mélange l’essai et le roman, parfois, on croirait une biographie, mais non. Ce livre qui n’est pas vraiment connu de tout le monde a été une belle découverte, je vous conseille de lire des livres que personne connait, il faut parfois sortir des sentiers battus.

L’histoire parle d’un auteur très célèbre : Bernard Melvile, un personnage très différent, qui ne prend rien à la légère quand il le veut. Il ne planifie rien, donc, un jour il s’en va sans rien dire. A partir de cette amorce, le narrateur (l’éditeur) nous raconte l’histoire de cet auteur, tout son succès et sa perte.

Je disais que c'était un essai, oui, car il nous explique à partir d’une histoire, la vie d’éditeur, d’écrivain, il nous donne son idée sur ces métiers très différents. En même temps, il a pu nous dresser le tableau d’un écrivain parfait.

C’est aussi un roman, qui raconte une histoire très particulière, il n’y a pas de véritable intrigue, mais on nous raconte des petites histoires intrigantes.

Je pense que le style de l’auteur n’est pas vraiment parfait, car je pense qu’il était bien écrit, mais qu’il y avait quelques mauvaises touches, comme la lourdeur du texte, qui se ressentait parfois beaucoup. Sinon, l’écriture est agréable à lire, il n’y a pas de fautes qui puisse nous déranger.

Pour finir, j’aimerais dire à tout le monde qu’il ne faut pas se faire des faux préjugés comme quoi les petits auteurs sont mauvais, voici le contre-exemple, donc je conseille à tout le monde de lire des petits auteurs où vous pouvez découvrir des pépites d’or.

Je vous propose… (10)

image" Qu’y a-t-il de commun entre le vol du Jugement dernier de Jérôme Bosch et l’ETA ? Entre le meurtre du vigile d’un musée de Bruges à la veille de l’exposition du Guernica de Picasso et celui d’un Espagnol dont le gouvernement est en visite officielle en Belgique ?
Du fil à retordre pour l’inspecteur Van In et à sa fidèle complice (et mère de ses enfants) Hannelore, qui devront se fier à leur intuition pour éviter une grave crise européenne !
« Après Hercule Poirot et Jules Maigret, Wallons perspicaces, félicitons l’inspecteur Van In, Flamand malin, pour porter haut les couleurs de la Belgique, ainsi réunifiée par la grâce du roman policier. »
L’Express " (www.bibliosurf.com)

samedi 11 juin 2011

Qui a déjà entendu parler de… ? (10)

imageLe célèbre écrivain Jorge Semprun est mort le mardi 7 juin 2011, à 87 ans dans son domicile parisien. Il était considéré comme un grand combattant contre le fascisme, c’est donc pour cela que sa famille et lui exilèrent en France. En France, il s’engagea dans la résistance française, de plus il entre en contact avec le parti communiste. Cependant, il sera déporté dans un camp, mais sorti, il se concentrera dans sa vie d’écrivain.
On peut compter de nombreux succès dans sa vie d’écrivain, il reçu même de nombreux prix. Il a Le Grand Voyage, La Deuxième Mort de Ramón Mercader, L'Écriture ou la Vie et Autobiografía de Federico Sánchez qui sont assez connus.
C’est donc avec ce modeste billet et la lecture de ses ouvrages que l’on peut l’honorer et se le remémorer à jamais. Donc, je vous promets de lire sans doute un des livres de cet auteur dont j’ignore le style.

vendredi 10 juin 2011

Concours de Babelio : Gagnez 10 exemplaires du dernier roman noir de CJ. Box

imageBabelio organise un concours pour gagner un des 10 exemplaires du dernier roman de CJ.Box, Trois semaines pour dire adieu . Le concours consiste à répondre à quelques questions à partir du premier chapitre du livre, voici les questions qui sont d’une facilité déconcertante :

Quel âge le narrateur avait-il au début du récit ?
Quel était son métier ?
De qui reçoit-il un appel ce jour là ?
Quelle est la raison de cet appel ?

Je vous conseille de vous y inscrire s’y vous aimez ou voulez découvrir le roman noir, alors allez à cette adresse : http://www.babelio.com/concours-cjbox.

Je me suis inscrit, j’ai tenté ma chance, essayer aussi ?

Le dernier homme bon, A.J.Kazinski

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Quatrième de couverture : Un tueur sévit à travers le monde, avec des cibles pour le moins singulières : médecins, militants des droits de l’homme, avocats…Tous œuvrent pour le bien. Les meurtres sont d’autant plus étranges qu’une marque représentant une suite de nombres indéfinissables figure chaque fois sur le dos des cadavres. Niels Bentzon, négociateur au sein de la police de Copenhague, reconnu pour son talent mais incompris par ses homologues, est persuadé que c’est au Danemark qu’aura lieu le prochain drame. Mais qui peut être la future victime ?

Aidé par l’astrophysicienne Hannah Lund, Niels va tenter de décrypter les brûlures laissées sur les victimes. Personne ne prend au sérieux ces deux personnages un brin fêlés, pourtant brillants, dont la quête devient de plus en plus impossible. La clé de l’énigme réside dans ces chiffres – mais que signifient-ils ? Qui est le mystérieux assassin et que cherche-t-il à montrer ? Véritable page-turner, Le Dernier Homme bon combine profondeur psychologique, action et suspense jusqu’au dénouement qui surprendra plus d’un lecteur.

Traduit du danois par Frédéric Fourreau

Derrière A. J. Kazinski se cachent Anders Rønnow Klarlund et Jacob Weinreich. Scénariste et réalisateur, Rønnow Klarlund a fait ses débuts d’écrivain avec le roman Les Dévoués. Weinreich, scénariste, écrit des romans depuis une dizaine d’année, dont plusieurs sont destinés à la jeunesse. Le Dernier Homme Bon.

Mon avis : Ce livre m’a été gentiment offert par JC Lattès par l’intermédiaire de Clubdelecture, j’ai lu ce livre en cinq jours, alors que j’avais peur de le commencer, vu le nombre de pages.

Cependant, le nombres de pages n’importe peu lorsque l’on s’installe pour commence à lire ce chef d’œuvre. Personnellement, cette lecture passait très vite, je ne voyais pas les pages tellement que l’action était abondante. Donc, c’est un livre dans lequel on ne peut s’ennuyer, car l’action est toujours présente. C’est pourquoi, vous lirez ce livre en moins d’une semaine.

L’action, dans ce livre est abondamment présente, car l’histoire est fondé sur une enquête de meurtres en série dans le monde, donc le début consiste à montrer quelques affaires pour l’exemple, la suite est constitué de l’enquête, pas comme dans les livres policiers, car l’enquête tourne autour de quelque chose d’autres, quoi ? Cependant, l’action n’est pas toujours présente, elle se fait parfois oublié pour revenir de meilleur forme. C’est le style des auteurs, il commence par des enquêtes, donc de l’action, mais l’enquête finie, l’action chute quelque peu pour donner lieu à un temps de repos. On peut par exemple s’ennuyer pendant ces chutes, mais il faut persévéré pour revenir de nouveau à l’action. Je trouve que ce phénomène peut être tant bénéfique au livre, il crée un effet d’attente, comme sur moi mais peut aussi être considéré comme un défaut, car l’action peut décevoir l’attente, ce qui n’était pas pour ainsi dire mon cas. Donc, j’ai trouvé que cela était plutôt une bonne idée.

Parlons un peu des personnages, qui étaient très ambigües, mais leur caractère apparaissait au cours de la lecture. Prenons le cas pour Niels, le personnage travaille à la police de Copenhague comme négociateur, on peut assister à son métier lors de sa négociation avec un suicidaire, mais il a un problème, il a la phobie des voyages, donc c’est pour cette raison qu’il n’a pas suivi sa femme Kathrine. On sait qu’il est maniaque-dépressif, sinon, on ne sait pas grand chose. Mais c’est par la suite qu’on découvrira un caractère très bon, qui le lancera quelque part. Je trouve que ce personnage est très intéressant, il mérite de se pencher dessus, car on apprend sa vie et tout ce qui va avec tout le long de la lecture. Donc, le livre est très bien conçu pour permettre une découverte progressive du personnage.

Je trouve que ce livre est très bon en général, mais il y a un hic, le début qui ne commence pas tout de suite. On peut comprendre que l’auteur prend le temps de décrire la vie des principaux personnages, mais cela ne laisse pas place à la véritable intrigue. Donc, cela peut causer un tort à l’auteur, on pourrait croire qu’il est ennuyant, alors que c’est faux.

Au contraire, je pense que ce livre est mon coup de cœur du mois, car c’est un nouveau style pour moi qui lisait une autre lecture. J’ai découvert ce style qui se partage entre le policier et le thriller. Je pense lire davantage de thriller à partir d’aujourd’hui. De plus, c’est mon coup de cœur car le style de l’écriture est vraiment bien, on découvre l’action avec ses mots, bien choisis.

Parlons de la fin qui m’a vraiment permis d’apprécier cette œuvre, car elle consiste à chambouler tout ce qu’on savait, en donnant un tout autre ordre, car le destin est au premier plan vers la fin, c’est inévitable, mais l’on ne sait vraiment pas si cela va se passer. Donc, à la fin, les auteurs font un bon mélange entre la science et la religion, pour arriver à une entente, car les deux apparaissent dans l’intrigue.

Dans l’intrigue, on se beaucoup de questions sur les raisons de tuer des bonnes personnes, qu’elle serait le motif ? On se pose beaucoup de questions au début pour venir à une avalanche de réponses de la part du livre. Un pure bonheur, une expérience unique.

En disant science et religion, j’ai pu constater agréablement que dans ce livre, il est question de la relation ambigüe entre ces deux matières, car il y a Hannah qui représente la science contre la nature et la Bible qui sont la religion. Cette confrontation est vraiment bien construite, car l’on bouscule entre ces deux matières, mais ici, la science aide la religion est vice-versa.

Pour conclure, j’ai adoré et dévoré ce livre, j’espère retrouver encore de si bons livres à lire, donc, évidemment je vous conseille de le lire.

jeudi 9 juin 2011

Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl

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Quatrième de couverture : Charlie est un petit garçon qui vit avec son papa et sa maman, mais aussi avec ses quatre grands-parents. Tout ce monde est entassé dans deux pièces seulement car la famille de Charlie est très pauvre. Lorsque son papa perd son travail, la situation devient dramatique, ils meurent presque de faim. Mais dans la ville où ils demeurent, il y a une mystérieuse chocolaterie : nul n'y entre ni n'en sort jamais. Son propriétaire, Mr Wonka, lance un grand concours : les cinq gagnants pourront visiter l'usine et gagner des sucreries pour toute leur vie. Mais les enfants mal élevés doivent se méfier : ils seront punis par où ils auront péché.
C'est à une merveilleuse exploration que nous convie Roald Dahl, à l'intérieur d'une usine fabuleuse qui recèle absolument tout ce dont n'importe quel gourmand peut rêver et aussi d'autres choses qu'il n'aurait pas osé imaginer : des machines qui fabriquent des bonbons inusables ou des chewing-gums-repas, des cascades de chocolat, des caramels qui font pousser les cheveux... Ce roman fantastique plein de saveurs est à déguster comme un bonbon. C'est en même temps un conte moral où les méchants sont punis et l'injustice réparée. Voilà une gourmandise dont on aurait tort de se priver !

Mon avis : Je me rappelle avoir tout simplement dévoré ce livre qui peut être définie de vraiment magnifique, surtout pour les jeunes. L’histoire est saisissante, l’écriture fluide, que demander de plus ?

SPOILER  :L’histoire commence par la présentation de Charlie et de sa famille, nous sommes déjà convié chez eux, tellement ils sont sympathiques. Ils ne sont pas riches, certes, mais ils ont de la sympathie, ce qui m’a permis de rentrer dans l’histoire. Jusqu’au jour où son père perd son travail, ils vivent bien même s’ils ne roulent pas dans l’or. Mais quand le père n’a plus de travail, ils s’appauvrissent. En même temps, le lecteur empathie sur le sort de cette famille. Mais comme dans toutes belles histoires, Charlie gagne le ticket grâce à son grand-mère, il pourra gagner du chocolat, ce qu’il reçoit seulement pour son anniversaire. Une belle aventure attend le petit Charlie.

L’intrigue est donc magnifique, elle regroupe tous les éléments pour plaire, il y a même une morale qui sort de cette œuvre de jeunesse. Chaque élément du décor représente un symbole, comme les enfants, qui représente la gâterie contrairement à Charlie qui est l’enfant pur. Donc, une œuvre à faire aux enfants pour donner gout à la lecture.

J’avais aussi beaucoup aimé l’écriture, qui est tout à fait simple et amusante pour les jeunes enfants. De plus, l’auteur n’entre pas dans les détails superflues qui ennuierait le lecteur, il a simplifié l’œuvre à destinée des enfants.

La fin est vraiment très intéressante, car l’on comprend que Charlie représente réellement la pureté, nous sommes donc convaincus de ça avant la fin de la lecture. En outre, la lecture est très rapide, elle pourra vous prendre pas plus d’une journée, car l’enthousiasme vous pousse à continuer et à finir le livre.

En conclusion, l’œuvre est très adapté à un public enfant, il est fait pour ça, remplis de symboles, il ne permet seulement pas de se divertir, mais de réfléchir sur d’autres choses.

mercredi 8 juin 2011

Quand j’avais cinq ans je m’ai tué, Howard Buten

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Quatrième de couverture : Gil n'a que huit ans. Mais son petit cœur a déjà connu de bien grands sentiments. Trop grands. Trop forts... A cause de ce qu'il a fait à Jessica, le voici dans une résidence spécialisée. Seul, face à la bêtise des adultes qui transforment ses rêves en symptômes cliniques, et son amour en attentat. Seul dans une forteresse de silence. Qui pourra l'y rechercher ? Une émotion pure, dans une langue merveilleusement préservée.

 

Mon avis : C’est un très bon livre, mais le seul problème est que le “crime” de Gil nous est expliqué seulement à la fin. Sinon, j’ai trouvé que ce livre était bien construit, sur un point de vue uniquement enfantin, en utilisant parfois des dossiers, l’auteur nous donne les deux points de vue.

Le livre est écrit avec comme narrateur le petit Gil de 8 ans, donc cela implique des fautes d’orthographe, des néologismes et tout ça. Mais cela permet de donner de l’originalité et du sentiment à cette œuvre, car si cette œuvre était écrite par le point de vue d’un psychiatre, on ne serait pas compatissant. Donc, j’apprécie beaucoup ce point de vue.

Parlons du titre, que j’ai bien aimé car il se montre très bien entre la masse de livre, mais pour comprendre la signification, j’ai vraiment du réfléchir beaucoup, mais je l’ai comprise. Le titre signifie “quand j’avais cinq ans je me suis tué” , c’était bien mon hypothèse, c’est pourquoi j’attendais un suicide d’un enfant, mais c’est complètement le contraire. De plus, pour comprendre le titre, il fallait savoir le titre original qui était “When I was Five I killed myself” , donc il faut travailler pour comprendre ce titre.

Vous savez pourquoi il a été dans un hôpital psychiatrique le petit Gil ? C’est cette question qui nous permet de continuer la lecture de ce livre. Gil nous dit la réponse de cette énigme à la fin, car pendant tout le récit il alterne récit de l’hôpital et récit de sa vie d’avant. La raison n’est pas le “crime” de Jessica, non, c'est quelque chose de tout bête, que personne ne peut punir : l’Amour.

Donc, pendant tout le récit, le psychiatre essaye de soigner un enfant de l’Amour, c’est ce qui montre le réel paradoxe entre enfant et adulte, car l’enfant n’est pas malade, il est amoureux. De plus, ce livre permet de montrer la stupidité des adultes qui veulent tout comprendre comme des symptômes.

Finalement, je peut dire que j’ai beaucoup aimé ce livre, mais que le hic était la situation de Gil expliqué à la fin, mais on peut considérer cela comme une qualité, car l’on croit à un “meurtre”, ce qui justifiait la thèse des psychiatres, mais après la connaissance de l’accusation, on comprend immédiatement la stupidité. Donc, je vous le conseille, le livre mais aussi le film très sentimental.

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Le film de ce livre est français, il a été crée en Jean-Claus Sussfeld en 1994.

La fiche du film : ici

mardi 7 juin 2011

Une seconde chance, Patrick Cauvin

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Quatrième de couverture : Jusqu'à présent, tout a roulé pour Zéphyrin. Le petit appartement à Montmartre avec sa mère, les copains, le lycée. Dans l'ensemble, la vie est belle et sans secousses.

Jusqu'à ce que Supertanker, la prof d'art, organise une visite au Louvre. Zéphyrin, que les primitifs italiens ne passionnent guère, quitte le groupe, entre au hasard dans une salle et, là, sa vie bascule.

Est-il possible qu'un garçon né en 1994 tombe en un dixième de seconde raide amoureux d'une fille ayant vu le jour au début du XVIIe siècle et dont le portrait se trouve devant lui ? Et surtout, qu'est-ce qui explique cette blessure soudaine, ce sang qui coule à son bras ?

Aidé par un flic perplexe et un vieux savant, va-t-il éclaircir le mystère de la seconde chance ? Celle qui est donnée à ceux qui se sont manqués dans une première vie...

Mon avis : Je viens de découvrir un auteur, disons un vrai talent que j’ignorai jusqu'aujourd’hui. Patrick Cauvin est un auteur fabuleux qui a vraiment de l’imagination, je peut dire que j’est réellement été englouti par l’histoire. Même si je m’attendais une fin différente, mais la fin est cependant tout à fait superbe. 

Parlons un peu de l’histoire, c’est l’histoire d’un jeune qui devient amoureux du portrait du portrait d’une fille du XVIIème siècle, mais cette histoire d’amour est quelque peu bizarre, c’est pourquoi il continue de la chercher. J’ai trouvé que son histoire est très différente des histoires que l’on a déjà pu entendre, cependant, quelques éléments m’ont rappelé La Secte des Egoïstes d’E.E.Schmitt mais je ne dis pas que c’est pareil, seulement le schéma quelque peu ressemblant.

L’écriture de Patrick Cauvin est tout à fait innovant pour ma part, il est écrit comme un adolescent de 15 ans, néanmoins, il n’oublie son style propre à lui, car le personnage lui permet seulement de faire des blagues qui sont assez drôle. Donc, j’admire l’écriture de cet auteur dont je pense lire d’autres livres. De plus, on arrive à se rappeler du fil de l’histoire grâce à la simplicité mêlé au style.

Parlons de la fin, sincèrement, je ne m’attendais pas à cela, cependant j’ai été agréablement surpris de cette fin que l’on pourrait qualifier de romantique. Il y a un happy end comme on les aiment. Alors que moi je m’attendais à la destruction de l’environnement par la chute, mais je suis satisfait de cette fin.

Discutons du titre, un très beau titre qui reflète bien l’essence même de l’œuvre, car tout le monde voudraient une seconde chance, malheureusement, ce n’est pas possible. Dans le monde de Zéphyrin, es-ce possible ? Si vous voulez savoir, je vous conseille de lire le livre.

lundi 6 juin 2011

Je vous propose…(9)

image« Un festival de cinéma au Maroc. Six femmes d’horizons totalement différents, enfermées pendant six jours dans le huis clos d’un jury. Une Egyptienne, une Marocaine, une Portugaise, une italienne, une Camerounaise et moi, la présidente du jury. Au fur et à mesure des projections, des différences se dessinent, de plus en plus violentes. Les opinions divergent, les passions se déchaînent…
Moi qui avais innocemment accepté de participer à ce festival afin de retrouver les lieux de mon enfance et passer quelques jours au soleil avec mon compagnon, me voici prise dans un tourbillon de conflits et de turbulences sentimentales. Cette semaine a marqué ma vie à jamais. »

Macha Méril (www.albin-michel.fr)

La poisse, Leena Lehtolainen

imageQuatrième de couverture : Une maison en bord de mer dans une banlieue chic d'Helsinki avec son petit ami, un nouveau job d'avocat, l'été s'annonce plutôt bien pour maria Kallio. jusqu'à ce qu'elle trouve le corps étranglé d'Armi, charmante blonde à lunettes, plutôt futile, un rien pipelette, celle qu'on surnommait " la poisse ". très vite il apparait que Kimmo, le petit ami de la victime, aime le cuir, le latex et les menottes. pour la police, aucun doute : c'est un dangereux pervers. mais cela suffit-il à faire de lui un meurtrier ? maria ne le pense pas, et accepte d'assurer la défense de Kimmo. pour mener son enquête, elle devra gratter le vernis rutilant de la bonne société finlandaise. et de son entourage, puisque Kimmo et Armi sont de la belle-famille de son petit ami : dérives de chacun, rivalités familiales, ombres du passé remontent à la surface. et sans cesse ressurgit le souvenir de Sanna, la sœur de Kimmo, qui s'est suicidée l'année précédente. suicidée ?.

Mon avis : Tout d’abord, j’aimerais vous dire que je ne lis pas ou presque pas de policier, donc c’est ma découverte de ce genre tout à fait agréable à lire. Ce livre se lit très facilement, cependant, il faut essayer de bien se concentrer pour comprendre les affiliations des différents personnages.

Je vais commencer par vous parler du personnage principal qui est Maria Kallio, un personnage tout à fait original, car elle est ex-policière avocate, mais semble aimer davantage les enquêtes. Pendant toute l’intrigue, elle enquête sur le crime d’Armi. Mas à la fin, le policier lui dit fortement qu’elle ne devrait pas faire ça. Je pense que ce personnage va tout à fait avec ce genre de livre, donc je la trouve très sympathique, un bon caractère.

Les autres personnages sont complètement différents, il y a toute la gamme de caractère, de tendances… Il y a Sanna et son frère qui s’occupent de très près des pratiques SM. Jusqu’au point de se faire de véritable blessure, pour Sanna, alors que Kimmo ne se fait pas si mal que ça. Après, il y a la famille, où tout le monde diffère sur des questions comme la mort de Sanna. Donc, par conséquent, on peut dire que les personnages décrit toute la couche riche finlandaise.

Parlons un peu de l’écriture de Leena Lehtolainen, du moins de sa traduction, je pense qu’elle écrit d’une très belle façon avec de nombreux styles, je dirai que je comprend aisément ce qu’elle dit, de plus, le vocabulaire employé est tout à fait convenable pour moi. Elle a une écriture fluide qui veut absolument que l’on continue la lecture.

La fin, bien sur, la résolution de l’enquête, les méchants sous les barreaux et les gentils à l’air libre. Mais ici, le véritable meurtrier est trouvé, cependant il est retrouvé dans une situation délicate. En outre, la résolution faite par Maria est complètement astucieuse et très intelligente, car on a du mal à comprendre sa stratégie. Donc, globalement satisfait de la fin.

Le lieu de l’action est la Finlande, ce qui me rappelle soudain le salon du livre où la littérature nordique était à l’honneur. Donc, je pense que cette littérature s’est bien développée, car je commence à lire de plus en plus de livres du Nord et j’apprécie.

En conclusion, je peut dire que j’ai trouvé ce livre tout à fait agréable à lire, il a permis d’essayer le policier dont j’avais des faux préjugés comme quoi ils ressemblaient aux séries policières, mais cette auteure finlandaise m’a fait comprendre le contraire. Je remercier l’auteure, l’éditeur J’ai Lu et bien sur le forum Accros&Mordus qui m’a permis de recevoir le livre.

dimanche 5 juin 2011

Mon premier SWAP ! Swap spécial vacances

Voici mon premier SWAP auquel je suis inscrit, depuis mon entrée dans la blogosphère littéraire, je me demandais bien ce que pouvais bien dire SWAP, j’avais cherché sur le net, est c’est ça :

“sur la blogosphère le swap est un échange de cadeaux entre internautes autour d'un thème donné : une personne prépare un colis et une gentille lettre en fonction des goûts de sa « swappée » afin de lui faire plaisir. Celui qui reçoit le cadeau fera pareil à son tour” selon Wikipedia.

Je trouve que cette pratique est très agréable pour tout le monde, il permet de développer le sens de “Plaisir d'offrir, joie de recevoir”, donc je me suis inscrit sur le SWAP de Strawberry du blog Openbook , je pense être le seul être masculin de ce SWAP, comme vous savez, les être masculins sont en minorité dans la blogosphère littéraire, pourquoi ?

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Donc, ma swappée est nommé Tigrouloup, d’après mon enquête, elle a un blog très sympathique, le grimoire de Trigouloup, qui traite beaucoup sur les livres bit-lit, chick-lit et thriller. Donc, dans mon colis je vais essayer d’y insérer des livres de ce genre. Je réflechis à ce que je devrais mettre, puisqu’il faut un roman (en complément avec une BD ou un manga, mais ma swappée n’aime pas les mangas comme moi) , un magazine de jeu, un marque-page, une carte postale, une friandise, une boisson.

Tome 7 : Harry Potter et les reliques de la mort, J.K.Rowling

imageQuatrième de couverture : Cet été-là, Harry atteint ses dix-sept ans, l'âge de la majorité pour un sorcier, et s'apprête à faire face à son destin. Soutenu par Ron et Hermione, Harry se consacre pleinement à la mission confiée par Dumbledore avant de mourir, la chasse aux Horcruxes. Mais le Seigneur des Ténèbres règne désormais en maître absolu. Traqués, en exil, les trois fidèles amis vont connaître une solitude sans précédent, où leur courage, leurs choix et leurs sacrifices seront déterminants dans la lutte contre les forces du mal. Leur quête croisera celle des Reliques de la Mort, et fera surgir du passé des révélations capitales et parfois douloureuses. Ces épreuves conduiront Harry, sans détour, vers sa destinée, l'affrontement final avec Lord Voldemort.

Mon avis : Je trouve que la fin de ce tome est très construite, c’est le travail de l’expérience de l’auteure, une superbe fin qui ne m’a pas beaucoup surpris du point de vue de l’action.

En effet, l’action de la fin du livre n’est pas vraiment surprenante, c’est la chose que l’on attendait depuis le premier tome, mais les circonstances pour arriver à cela sont si exceptionnelles que l’on peut dire que c’est un livre fabuleux. La principale raison est que l’auteure a su utiliser tout pour faire paraitre que l’action final qui concerne le duel Harry-Voldemort n’aura pas lieu.

De plus, ici, les péripéties sont tellement bien développées et nombreuses que l’on se sent vraiment dans le monde d’Harry Potter avec tous ses problèmes. Je ne peux pas dire qu’il y a des incohérence, car le tout est parfait. La principale action est la lutte contre Voldemort et la recherche des Horcruxes, mais dans cette recherche, on assiste à des autres actions presqu’aussi importante concernant encore les deux protagonistes.

La fin de ce livre, avant l’épilogue est très poignante, car l’on hésite entre ce qu’il va se passer avant le duel, s’il va se passer un réel duel, on croit que Voldemort à gagner alors que l’on sait par cœur que Harry Potter va gagner. Mais en est-on sur ? Voici la question qui vous reviendra si vous lisez le livre jusqu’à la fin.

Abordons un peu l’épilogue, un happy end qui nous fait sourire après tant de labeurs, Harry devient une personne tout à fait normal, comme les autres, il est marié avec ? et a des enfants. Malgré cette belle fin, on regrettera Harry Potter et ses aventures, mais il y a le film.

Le film de Harry Potter et les reliques de la mort a été crée en deux parties car il comportant tant de matières, donc la première partie est sortie, vous pouvez la voir en DVD, il a été vraiment époustouflant, la création est superbe. La deuxième partie va sortir le 15juillet à ce que je sache. Donc, on comprend que c’est le talent des acteurs et aussi du réalisateur.

samedi 4 juin 2011

Mon bilan de lecture mois de Mai 2011

A partir de ce mois-ci, je commence à faire le bilan de mes lectures mensuel, donc, cette fois je commence pour le mois de mai. Pendant ce mois, j’ai lu et écrit une chronique pour les livres suivants :

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J’ai revu et jetez un coup d’œil aux livres suivants que j’avais déjà lu ou étudier avant  :

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Ce mois, j’ai abandonné la lecture d’un seul livre, pour le continuer après, et c’est :

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Mon coup de cœur du mois est affiché à droite, en dessous des lectures du moment.