Je déménage!

Vous vous demanderez pourquoi j’ai décidé de plateforme, et à quelle plateforme je suis allé ? Alors, je vous réponds tout de suite, je suis allé sur Wordpress. Pourquoi ? Parce que Wordpress offre beaucoup plus de libertés aux blogueurs et que c’est que je recherche. Donc, voilà, je suis passé là-bas.

Je serais très content que vous me suiviez dans mon nouveau blog, avec un nouveau thème, une nouvelle plateforme, je décide de commencer l’année de mon blog sous de bons auspices.

Voici le lien du blog sous wordpress. A savoir, je ne supprime pas celui-ci, mais il sera pas forcément mis à jour !

http://letteraturaa.wordpress.com/

mardi 31 mai 2011

Tome 2 : Harry Potter et la chambre des secrets, J.K.Rowling

imageQuatrième de couverture : Une rentrée fracassante en voiture volante, une étrange malédiction qui s’abat sur les élèves, cette deuxième année à l’école des sorciers ne s’annonce pas de tout repos ! Entre les cours de potion magique, les matches de Quidditch et les combats de mauvais sorts, Harry Potter trouvera-t-il le temps de percer le mystère de la «Chambre des Secrets» ? Un livre magique pour sorciers confirmés !

 

Mon avis : Toujours un bon livre, mais l’intrigue est un peu ennuyante, c’est ma seule déception de toute la saga !
Je pense que l’intrigue est quelque ennuyante car l’on connait pas tout les évènements autour de Tom Jedusor, donc on arrive pas à se concentrer nécessairement sur la bataille. De plus, je pense que le trop pleins d’action nous rend ce livre plus ennuyant.
Dans ce tome, il hésite, il se croit Serpentard, mais il en apprend beaucoup sur lui, son ennemi juré, Voldemort qu’il rencontrera sous la forme de Tom Jedusor. En sent encore une fois que ce jeune n’a pas peur d’affronter qui que ce soit. Donc, un tome très instructif pour nous et Harry !
Parlons du film, je pense réellement qu’il était à l’image du livre, pas très attractif, et cela pour les mêmes raisons. En outre, les actions du voyage à la chambre des secrets, est un peu mal fait et ennuyant à cause du peu d’informations que l’on a sous les yeux.
Finalement, je peut dire que c’était un peu décevant, mais quand même, on aime cette saga, donc une fausse note dans une partition, on ignore !

dimanche 29 mai 2011

Tome 1 : Harry Potter à l'Ecole des Sorciers, J.K.Rowling

imageQuatrième de couverture : (mon 100ème article !)Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient le chercher pour l'emmener à Poudlard, une école de sorcellerie ! Voler en balai, jeter des sorts, combattre les trolls : Harry se révèle un sorcier doué. Mais quel est le mystère qui l'entoure ? Et qui est l'effroyable V..., le mage dont personne n'ose prononcer le nom ?  Amitié, surprises, dangers, scènes comiques, Harry découvre ses pouvoirs et la vie à Poudlard. le premier tome des aventures du jeune héros vous ensorcelle aussitôt !

Mon avis : J’ai vraiment adoré ce livre, tant par sa simplicité d’écriture que par sa complexité d’intrigue. J’ai littéralement dévoré ce livre lors de la lecture, il y a longtemps, mais il me reste quand même de bons souvenirs. L’histoire présentant une année complète, la fin ne se base pas sur un évènement. Mais quand même, l’année se passe bien chargée, avec Nicolas Flamel, l’entrée à Poudlard etc…
La simplicité d’écriture, vous dis-je. Elle consiste à écrire comme l’on pense, sans superflues plus ou moins bénéfiques à la lecture. Cette écriture simpliste est du aussi à l'âge d’Harry, encore jeune, car, je pense réellement que plus le livre évolue, Harry grandit, plus les tomes se complexifient. Donc, ici nous avons une écriture tout à fait normal, on peut comprendre cette ouvre à tout âge.
Venons à la complexité d’intrigue, elle constitue le produit de la réussite de cette saga. L’intrigue, est selon moi, la chose la plus importante après l’écriture, car elle donne du sens aux mots. Donc, ici, l’intrigue est l’histoire incroyable de Harry Potter dans le monde que l’on connait qui bousculera dans le monde magique. Mais, cette histoire banale se transforme en de nombreuses mini-intrigues avec l’introduction de Voldemort.
Parlons maintenant de la comparaison livre-film.Je pense sincèrement que le livre révèle des détails que le film n’a pas su montré.  Donc ,c’est pourquoi, je préfère lire le livre de J.K.Rowling. Néanmoins, donnons mérite à ce superbe film qui m’a vraiment émue, surtout par le pouvoir du jeu du jeune Harry, déjà bien développé.
En conclusion, je pense que ce livre est le modèle que tous les livres fantasy, il a crée un véritable phénomène qui continue encore dans l’engouement des films. Comme vous l’avez pu comprendre par la bannière de droite, je commence cette semaine avec pour objectif de chroniquer les 7 tomes du livre Harry Potter pendant toute cette semaine.

Challenge : Un mot, des titres

Voilà, je me suis inscrit au challenge de Calypso, c’est Un mot, des titres, il consiste à lire un livre pour un jour donnée, le titre doit impérativement comporter le mot choisi.

Pour la première participation, nous allons recevoir le mot le 1er juin 2011pour la lecture jusqu’à la publication des articles le 15 juillet 2011.

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Le mec de la tombe d’à côté, Katarina Mazetti

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Quatrième de couverture : Le mec de la tombe d'à côté Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais gout de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidument. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis... C'est le début d'une passion dévorante. C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.

Mon avis : Un super livre qui vaut la peine d’être lu. C’est l’histoire d’amour impossible entre une bibliothécaire et un fermier. Bien sur, il n’y a pas un happy end, car les circonstances font que de nombreux problèmes existent entre eux. Le sujet principal est le choc des cultures entre deux personnes. Dans le livre, les cultures sont même passé devant l’amour, puisqu’à part les sentiments, ils n’ont aucune vision similaire du monde.

Les personnages, sont très attachants, même les personnages les plus insignifiants, comme Marta. Je pense que la qualité de l’auteure est qu’elle arrive à construire des personnages tellement attachants que l’on se sent obligés de lire le livre, de plus, l’auteure accorde de l’importance et de l’individualité à tous ses personnages. Donc, du point de vue personnage, le livre est une mine d’or à exploiter ! Dans le roman, un chapitre, c’est le point de vue de Benny, l’autre chapitre, c’est Désirée. Cette idée est vraiment bien construite, car elle permet l’avis des deux personnages par la suite.

L’intrigue est à la fois saisissante et passionnante, car la lecture de ce roman ne nous laisse pas le choix d’arrêter, on se sent contraint de continuer la lecture. Pourquoi ? Car l’intrigue est passionnante, on se demande ce qu’il pouvoir bien se passer, mais aussi grâce à l’écriture qui coule dans le livre. Donc, l’écriture est excellente, mais, cependant, la lecture coupé (lire par-ci, par là) dégrade la compréhension du livre, car, j’ai ressenti une difficulté de me remémorer les actions antécédentes. Mais c’est possible que ce soit seulement une réaction personnelle. A part ce “défaut”, je pense que le livre est excellent, j’attend de lire la suite.

Parlons un peu de la fin de ce premier tome, sans parler des actions. J’ai trouvé que le dénouement de ce premier tome est vraiment parfait, je ne m’attendais pas à cela. J’attend avec impatience la sortie du numéro deux en poche, pour le dévorer.

samedi 28 mai 2011

Qui a déjà entendu parler de… ? (9)

Regarde ? Tout le temps, je dis quelque chose, il prend un livre.La lecture rend sourd, mais comment ? Mais pas de la surdité comme vous le pensez, c’est une surdité à court terme, voilà les détails ci-dessous…

Il  parait que la lecture peut rendre sourd ? Comment, m’allez-vous me dire, mais c’est la réalité. Selon les études de Nilli Lavie, (University College London),  la surdité est une expérience que l’on peut effectuer tous les jours, quand on veut. La raison est que quand on lit, on est concentré sur cette lecture attentive, alors le cerveau ne peut se concentrer autre part, donc il peut ne pas entendre. Mais cela n’est pas du long terme, car cela concerne seulement pendant la durée de lecture.

Les études ont montré que sur 100 personnes, avec un casque et une activité à effectuer, 2 sur 10 n’ont pas entendu le son joué à cause de l’activité, qui était un examen de couleurs, mais ce qui nous surprend le plus est que 8 sur 10 n’ont pas entendu le son lors de la lecture effectué.

Donc, le cerveau ne peut pas se concentrer partout, lorsqu’il se donne à la lecture, il n’entend rien d’autres. Alors, si vous voulez essayer, prenez un livre. Mais il faut bien se concentrer…

vendredi 27 mai 2011

Mangez-le si vous voulez, Jean Teulé

imageQuatrième de couverture : Nul n’est à l’abri de l’abominable. Nous sommes tous capables du pire !  Le mardi 16 aout 1870, Alain de Monéys, jeune périgourdin, sort du domicile de ses parents pour se rendre à la foire de Hautefaye, le village voisin. Il arrive à destination à l’entrée de la foire. Deux heures plus tard, la foule devenue folle l’aura lynché, torturé, brulé vif et même mangé. Comment une telle horreur est-elle possible ? Comment une population paisible peut-elle être saisie en quelques minutes par une telle frénésie barbare ? Jean Teulé a reconstitué chaque étape de cet atroce chemin de croix qui constitue l’une des anecdotes les plus honteuses de l’Histoire du XIXe siècle en France.

Mon avis : Un livre vraiment surprenant par l’intrigue qui est bel et bien réelle. Ici, il y a Alain, le maire du village qui se fait tuer et manger par les villageois à cause d’un simple malentendu.

C’est la première fois que je lis cet auteur dont je n’ai pas entendu que du bien, cependant, je pense que l’intrigue est superbement trouvé. Mais on ne peut pas dire qu’il ait de la participation dans l’intrigue qui raconte une histoire vécue. Quand mémé, l’histoire est vraiment troublante, surtout à la fin du livre où l’on est indignée par la stupidité des Hommes.

L’écriture, voilà un sujet qui concerne réellement l’auteur, car c’est bien sur lui qui écrit. Je pense que l’écriture de Jean Teulé a une écriture facile à lire, les phrases sont bien construites et équilibrées. L’histoire est facilement compréhensible à partir de son écriture. Mais, je n’ai pas réussit à m’attacher aux personnages autre qu’Alain, car le reste est négligé, surtout les amis d’Alain qui essayent de le sauver.

On suit l’histoire généralement par les yeux d’Alain, donc cela nous trouble davantage, car on ressent son incompréhension envers cette situation pas commune. Mais l’on comprend aussi à quel point il souffre.

La fin, est le meilleur moment du livre, surtout à un moment où j’étais tellement surpris de leur comportement, que je me disais cela impossible. On comprend, après avoir lu ce livre, que les humains sont tellement stupides qu’ils ne comprennent rien à ce qu’on leur dit, mais à la fin, ils se font sanctionné à cause des choses qu’ils n’ont pas compris.

Donc, pour conclure, je peut dire que j’ai beaucoup aimé cet auteur que (je pense) vous retrouverez ici, de plus, ces livres sont très courts, donc ils sont facile à lire, mais ils ont une certaine qualité. Je pense que cet auteur est bon, mais je ne peut rien dire à sa façon de créer une intrigue, car ce livre ne concerne qu’un évènement historique qu’il a remis sur papier en y mêlant de l’irréel.

mercredi 25 mai 2011

Raisons et sentiments, Jane Austen

imageQuatrième de couverture : Raison et sentiments sont joués par deux sœurs, Elinor et Marianne. Elinor incarne la raison conforme aux usages du monde, tandis que l'intrépide Marianne parie sur le sentiment. Mais à l'une et l'autre de ces jeunes filles en fleurs manque l'atout indiscutable, la clé de toute réussite en ce monde : l'argent. Il leur faut donc chercher mari.


Mon avis : C’est mon premier livre de l’auteure Jane Austen. J’ai trouvé tout d’abord, que le titre est très bien construit, car il oppose les deux pensées des deux sœurs. Mais ce titre ne correspond pas seulement au titre, il correspond aussi à la vie courante où la guerre entre la raison et les sentiments persiste.

J’ai lu ce livre en pas mal de temps, car il nécessite une attention particulière, à part cela, j’ai beaucoup aimé le livre et son intrigue. Parlons de l’intrigue, deux sœurs amoureuses qui vivront la même histoire sous deux angles différents : raison et sentiments. Au début, on peut penser que l’intrigue est un peu chick-lit (littérature pour femme) mais on comprend que ce n’est pas une réelle histoire d’amour. Donc, j’ai vraiment adoré l’histoire et ses environs.

Dans ce livre, Jane Austen nous emporte dans l’ancienne Angleterre où la femme n’est rien sans ces qualités essentielles, son intelligence dont sa maitrise de soi, sa vertu et sa retenue. Ici, tous ces thèmes sont repris et traités en sous-entendus. J’ai donc beaucoup aimé les thèmes de ce livre, il sont fabuleux.

L’écriture de Jane Austen, pour moi, était d’une beauté indéfinissable, on voyait l’esthétique de l’écriture à travers la traduction. Les dialogues surtout, je les ai tout simplement adorés, ils étaient écrit superbement bien. Donc, l’écriture de Jane Austen est superbe, je vous conseille de lire ces livres même pour comprendre ce que j’ais ressenti en lisant cette écriture originale.

Venons-en à la fin, au dénouement, je vous rassure je ne dirais rien. Cette fin, quoique très surprenante m’a quelque déçu, j’attendais une fin tragique des personnages alors que je me suis retrouvé devant une fin…


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Le film qui correspond à ce roman a été crée par Ang Lee en 1995, où l’on trouve comme principaux acteurs Hugh Grant ou Emma Thompson.
Voici la fiche du film : ici

Méditations poétiques, Lamartine

imageQuatrième de couverture : En 1849, à près de soixante ans, alors que sa figure déjà s’efface et que son récent échec à la Présidence de la République vient d’écorner sa gloire, Lamartine, dans une préface aux Méditations poétiques, confie sans gloriole inutile : « Je suis le premier qui ai fait descendre la poésie du Parnasse, et qui ai donné à ce qu’on nommait la muse, au lieu d’une lyre à sept cordes de convention, les fibres mêmes du cœur de l’homme, touchées et émues par les innombrables frissons de l’âme et de la nature. »
Et il est vrai que lorsque cette mince plaquette de vingt-quatre pièces parait en 1820, une révolution s’accomplit avec elle. Loin de l’ancienne fabrique, dans cette forme neuve qu’est la méditation, la poésie tout à coup devient émotion. En elle s’expriment des sentiments et des passions qui font rêver, des vérités qui agrandissent l’âme, et dans la simplicité d’un monde épuré  mer et montagne, lac et vallon — une expérience personnelle s’affirme, où peut se retrouver la communauté des lecteurs : « D’un jour à l’autre, écrit Sainte-Beuve, on avait changé de climat et de lumière, on avait changé d’Olympe : c’était une révélation. »

Mon avis : Un recueil saturé de sentiments que l’on ne peut lire entièrement même si l’on avait une grande volonté . Pourquoi ? Parce que ce recueil appartient au mouvement littéraire romantique ce qui correspond que les sujets principaux sont l’amour, la mort et la nature. Donc, quand l’on prend ces sujets et quand on est romantique, le résultat, des poèmes très suicidaire, ou trop mièvre. C’est donc pour cette raison que je pense qu’il est impossible de lire beaucoup de la poésie Lamartinienne.

J’ais dit “des poèmes très suicidaire” car la mort est beaucoup présente, Lamartine veut se tuer car il a le “mal du siècle”, il ne se sent pas bien dans sa peau, il espère une vie heureuse après la mort. Mais il ne faut pas se laisser prendre dans le tourbillon de Lamartine.

Par conséquent, j’ai beaucoup aimé lire quelques poèmes mais lire sans modération peut être dangereux. Sinon, le style de Lamartine est très bien formé, mais il est parfois très mièvre.

mardi 24 mai 2011

Les Fleurs du Mal, Baudelaire

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Quatrième de couverture : Avec Les Fleurs du Mal commence la poésie moderne : le lyrisme subjectif s'efface devant cette « impersonnalité volontaire » que Baudelaire a lui-même postulée ; la nature et ses retours cycliques cèdent la place au décor urbain et à ses changements marqués par l'Histoire, et il arrive que le poète accède au beau par l'expérience de la laideur. Quant au mal affiché dès le titre du recueil, s'il nous apporte la preuve que l'art ici se dénoue de la morale, il n'en préserve pas moins la profonde spiritualité des poèmes.
D'où la stupeur que Baudelaire put ressentir quand le Tribunal de la Seine condamna la première édition de 1857 pour « outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs » et l'obligea à retrancher six pièces du volume - donc à remettre en cause la structure du recueil qu'il avait si précisément concertée. En 1861, la seconde édition fut augmentée de trente-cinq pièces, puis Baudelaire continua d'écrire pour son livre d'autres poèmes encore. Mais après la censure, c'est la mort qui vint l'empêcher de donner aux Fleurs du Mal la forme définitive qu'il souhaitait - et que nous ne connaitrons jamais.

Mon avis et mon “analyse”: Nous voilà devant l’œuvre la plus imposante de Baudelaire, c’est donc pour cela que je vous propose ma chronique. Je vous l’avoue tout de suite, je n’ai pas lu tout les poèmes présents dans ce recueil, mais seulement ce qui me paraissaient intéressants. Mais j’ai quand même essayer de lire au moins un poème par parties.

Ce poète a vraiment un talent incontestable, il réussit à nous faire un poème au sujet d’une charogne. Je pense que ce poème est le meilleur, car il explique que chaque belle chose a une fin. On peut dire que ce poème exprime très bien la notion de “carpe diem”, car chaque chose a une fin.

Dans la partie Tableaux parisiens, Baudelaire nous décrit la population parisienne, il y a différentes couches sociales décrites par Baudelaire. Par exemple, il y a Les Petites vieilles. Mai il n’y a pas que la population, Baudelaire décrit aussi la ville et ses activités, comme dans Le jeu et Danse Macabre.

La partie Les Fleurs du mal, il y a essentiellement la femme et ses relations. Elle est perçue comme belle, source de débauche : tout simplement mal. L’avant-dernière partie parle de la religion, je trouve que c’est très intéressant d’avoir l’avis d’un poète. Ici, il explique la guerre entre le mal et le bien, Satan et Dieu.

La mort, la dernière partie intéressante que je vous présente. Ici, Baudelaire présente la mort comme le couché du soleil. Il fait des poèmes pour la mort des différentes personnes.

Donc, Baudelaire, n’est pas un romantique, mais il traite quand même quelque sujets romantiques qui transforme en pessimisme, en symbole. Il prend aussi le mal du siècle qui le transforme en Spleen.

Je peut dire que j’ai aimé ce style baudelairien qui se caractérise par le “Carpe Diem” qui est une philosophie à admettre. J’ai ressenti un réel plaisir de lire quelques poèmes de de recueil magnifique.

lundi 23 mai 2011

Je vous propose… (8)

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Au début des années 1900, la France est en proie à d’étranges phénomènes. A Paris, les momies disparaissent des musées, les médiums succombent à des morts mystérieuses, et les rumeurs les plus folles courent les cercles occultes. A quelques kilomètres de là, dans les campagnes, une chose sans nom décime des familles entières selon des rites d’une infinie barbarie.

Hanté par ses propres démons, fasciné par le Mal, le romancier Guy de Timée se lance à la poursuite de la créature.

Après Léviatemps, le nouveau thriller de Maxime Chattam nous entraine des brumes du Vexin à celles d’un Paris ésotérique dans un terrifiant voyage dans le temps et le doute. (www.albin-michel.fr)

L’attrape-cœurs, .J.D.Salinger

imageQuatrième de couverture : L'attrape-cœurs, roman de l'adolescence le plus lu du monde entier, est l'histoire d'une fugue, celle d'un garçon de la bourgeoisie new-yorkaise chassé de son collège trois jours avant Noël, qui n'ose pas rentrer chez lui et affronter ses parents. Trois jours de vagabondage et d'aventures cocasses, sordides ou émouvantes, d'incertitude et d'anxiété, à la recherche de soi-même et des autres. L'histoire éternelle d'un gosse perdu qui cherche des raisons de vivre dans un monde hostile et corrompu.

Mon avis : Un livre très originale qui reflète très justement la vie d’un adolescent sous tous ces points de vue. Holden Caulfield, jeune de 17 ans est expulsé de l’école, il vivra deux jours, soit quarante-huit heures à balader dans les rues de New-York. Ces 48 heures, montre tous les aspects de la personnalité de Holden. Il nous explique et décrit, sa solitude, ses défauts, ses qualités. Il est peut être mauvais, mais on comprend qu’il a un réel cœur, qu’il sait réfléchir. L’intrigue est d’une complexité qui nous permet de finir le livre malgré l’écriture.

En effet, l’écriture n’est pas vraiment le point fort de ce livre (pour moi). J’ai trouvé que le langage familier voire grossier détruisait complètement l’intrigue. Pourquoi ? Le langage familier est la façon de parler de Holden, mais à l’écrit, je pense que cela m’a vraiment déstabilisé, car il y a quelques tournures dont le sens m’est complètement inconnu. Donc, j’aurais aimé avoir lu ce livre sans l’écriture de “jeunes”.

J’ais appris que ce livre avait fait scandale après sa sorti en 1951. Le scandale a éclaté car ce livre présente tous les mauvais comportements possibles d’un adolescent. Donc, même aujourd’hui, il est interdit au moins de 16 ans aux Etats-Unis. Je pense que c’est vraiment inutile de recourir à cette censure d'âge, car tout le monde devrait pouvoir lire ce livre. Mai d’un autre coté, on se dit qu’il est censuré jusqu’à cette âge pour que ce livre soit bien compris, puisque sinon il pourrait donner lieu à un exemple de mode de vie.

Au final, j’ai aimé le livre après beaucoup de réflexions, mais comme je l’ai déjà dit, il reste à comprendre ce livre pour ne pas être Holden.

jeudi 19 mai 2011

Contes, Charles Perrault

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Tous les contes qui ont berceau presque tout le monde, tant à l’école qu’à la maison. Il y a Le Petit Chapeau Roue, La Barbe Bleue, Le Chat Botté, Les Fées, Cendrillon, Le Petit Poucet. C’était un pur moment de pouvoir se remémorer tous les instants de ces contes que tous le monde connait presque par cœur,  surtout pour l’intrigue.
Dans ces contes, l’écriture est fluide, et aucun mot inconnu arrête notre lecture si douce et si enfantine. Je vous conseille de lire ces contes pour seulement vous rappelez des moments où vous l’avez entendu.
Je pense qu’il n’y a que mon avis qui compte, puisque le résumé je vous le laisse. Passons aux adaptations cinématographiques de tous ces contes, il y en a toujours eu. Il y a même une nouvelle version du petit chaperon rouge en film, réalisé par Catherine Hardwicke.
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Les films correspondant à ces contes sont Barbe Bleue en 1972 (ici), Le Chaperon Rouge (ici) en 2011, Le Chat Botté en 2008 (ici),  Cendrillon revisitée en 2009 (ici) et pour finir, Le Petit Poucet (ici).

mardi 17 mai 2011

Opération Marcellin, Claire Mazard

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Un livre d’enfance, de mon enfance que j’ais relu pour voir combien c’était une œuvre faite pour des enfants par une âme d’enfant. C’est un peu du “Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil”, en même temps, c’est normal , c’est fait pour les enfants. Les enfants se font une idée de monde idéal mais lorsqu’ils rencontreront le monde réel, il seront bouleversé, donc je suis pour des œuvres quelque peu réalistes.

Mais sinon l’histoire montre le courage et la persévérance d’une classe envers une personne qu’ils ne connaissant que par des papiers.

J’avoue que cette fois-ci, la lecture n’était pas difficile, même le contraire. Mais il faut lire quelque œuvres jeunesse pour se remettre de la lecture de “grands”.

Céline a une très bonne, parrainer un enfant pauvre, elle en parle à son meilleur ami qui le propose à toute la classe, ils acceptent. Donc, ils demandent un enfant d’Haïti, ce sera Marcellin.

Au début, Marcellin ne veut pas venir au centre, mais il accepte, il peut vivre en toute tranquillité grâce à la classe. Il va maintenant à l’école.

Spoiler (moment intense de l’intrigue) :

Mais un jour, Laura ne donne pas son euro pour Marcellin, Céline l’a frappe, personne ne veut plus rien donné. Mais elle s’excusera, tout deviendra normal. Marcellin les a envoyé un dessin de remerciement.

dimanche 15 mai 2011

Le portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde

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Quatrième de couverture : “Au centre de la pièce, fixé à un chevalet droit, se dressait le portrait en pied d’un jeune homme d’une extraordinaire beauté physique, devant lequel, à peu de distance, se tenait assis le peintre lui-même, Basil Hallward, celui dont, il y a quelques années, la disparition soudaine a, sur le moment , tant ému le public et donné lieu à d’étranges conjectures.” 

Or Dorian Gray, jeune dandy séducteur, a fait ce vœu insensé : garder toujours l’éclat de sa beauté, tandis que le visage peint sur la toile assumerait le fardeau de ses passions et des péchés. Et, de fait, seul vieillit le portrait où se peint l’âme noire de Dorian. Ce livre nous conduit dans un Londres lugubre, noyé dans le brouillard et les vapeurs d’opium, mais nous ouvre également la comédie de salon des beaux quartiers. Lorsqu’il parut en 1890, il fut considéré comme immoral. Mais sa singularité, bien plutôt, est d’être un roman réaliste, tout ensemble, et un roman d’esthète – fascinants, l’un et l’autre, d’une étrangeté qui touche au fantastique.

Mon avis : C’est pour la première fois que je lis ce grand classique anglais, et je peut vous dire qu’il vraiment avant de mourir. Pourquoi ? Puisque le roman est fantastique, philosophique et a une écriture des plus fascinantes.

Le roman est fantastique, en effet. L’évènement fantastique arrive dans un cadre tout à fait réaliste, on doute même qu’au début il y a du fantastique. Après, on est complètement sur que c’est fantastique. Mais le fantastique n’est pas dominant, c’est seulement un élément. De plus, cet évènement ne sert qu’à montré quelque chose sur le personnage principal.

Ce roman est philosophique, car il m’a beaucoup fait réfléchir sur la vie, la vie vaut-elle vraiment d’être vécu à 100% ? Mais aussi sur la beauté, on se demande si elle sert vraiment à quelque chose après son heure. Si cette beauté peut être obtenu à tout prix. Il y a aussi une partie sur l’amour, la passion qui dévore le personnage, mais soudain il ne ressent plus rien. On se demande comment ? pourquoi ?

Venons-en à l’écriture qui est tout exceptionnel, j’ai sincèrement été emporté dans le monde d’Oscar Wilde. Il allie avec une justesse impressionnante, l’histoire et les réflexions, ils les mélangent et nous fait ce récit surprenant. Je e trouve pas assez d’adjectifs pour représenter mon admiration envers l’écriture de Wilde qui me motive pour lire d’autres de ses livres.

Je voudrais aussi parler de l’ambigüité des sentiments dans ce livre, car on se trouve dans un environnement uniquement masculin au début, ce qui nous intrigue. Mais surtout, on se pose la question de la relation d’amitié entre Dorian Gray et Lord Henry.

L’intrigue se passe dans le Londres de l’époque victorienne qui était très semblable à l’atmosphère de L’Etrange Cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde. Une atmosphère tout à fait intrigant où rien n’est vraiment bien défini.

Parlons de la fin, une fin qui m’a tout simplement époustouflé, car avec les ingrédient qu’il avait, Wilde nous construit une superbe fin qui vaut la lecture de tout le livre. C’est donc mon coup de cœur, disons du mois.

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L’intrigue se déroule dans la ville de Londres, c’est pourquoi il appartient à ce challenge.

 

 

 

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Ce roman appartient à la liste établie, donc ce livre appartient aussi à ce challenge.

 

 

 

 

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Ce livre a été adapté par Oliver Parker en 2009.

Voici la fiche du film : ici

vendredi 13 mai 2011

Allah Superstar de Y.B.

imageQuatrième de couverture: " Une fatwa, voilà ce qu'il me faut pour devenir à la mode. C'est plus rapide que Star Academy, ça dure plus longtemps, tu voyages dans le monde entier, tu donnes des conférences, tu descends dans des palaces, tu montes sur scène avec U2, tu prends le thé avec le pape, une bière ou deux voire trois avec Chirac, une vodka givrée avec Poutine, un cigare humide avec Clinton, une grosse ligne avec Bush Junior, un masque à gaz avec Saddam Hussein, à chaque fois que tu dis une connerie tout le monde entier il t'écoute vu que tu as une fatwa au cul le pauvre, alors que le monde entier il est autant dans la merde que toi vu que c'est bientôt la fin du monde pour tout le monde.  Y.B
Un roman extrême contre les extrémismes

Mon avis : Un superbe livre qui traite de nombreux sujets encore sensible, qui sont beaucoup stigmatisés, l’Islam et le terrorisme. Le roman, traite sur les nombreux préjugés des nations Chrétiennes envers l’Islam. Le narrateur se présente comme un jeune d’origine difficile qui veut devenir star du one-man-show.

Ce jeune représente en réalité, toute la couche sociale des jeunes d’origine difficile, il présente tous les discriminations qu’il a subit, mais tente de remonter la pente.

En même temps, il présente tous les rites musulmans, mais aussi la relation avec Al-Quaida. Il décrit les extrémistes avec une touche d’humour sans lequel, ce texte serait très lourd à lire. Alors que, ici, la lecture est très agréable, mais attention, les fautes d’orthographes et le verlan sont très nombreux.

J’ai trouvé que la fin était très tragique pour dire, sans la raconter, j’aimerais dire que la fin est très ambigüe, il nous montre la vrai face des personnes, sincèrement, j’ai été tout simplement choqué de la fin. Mais la surprise, est un des moyens qui permettent de dénoncer quelque chose. Donc, bravo à Y.D.

Je vous le conseille ou pas ? Si vous voulez savoir tous les rites et préjugés envers cette religion, et envers les musulmans, je vous le conseille fortement.

mercredi 11 mai 2011

La Vie intérieure de Martin Frost, Paul Auster

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Quatrième de couverture : Un écrivain, Martin Frost, s’installe dans une maison prêtée par un couple d’amis, les Restau, afin d’y jouir d’un peu de calme, loin du rythme épuisant de la vie new-yorkaise. À peine arrivé dans cette demeure isolée au milieu des bois, il découvre qu’une mystérieuse jeune femme, Claire – la nièce de Diane Restau ? –, y a également pris ses quartiers... Elle se révèlera être la « muse » de Martin... Paul Auster, dont on connait l’intérêt pour le cinéma depuis Smoke et Lulu on the Bridge, est à la fois l’auteur et le réalisateur de ce fi lm produit par Paulo Branco et tourné au Portugal.

Mon avis : Ce n’est pas un livre “normal”, c’est un scénario que nous délivre Paul Auster, un auteur tout à fait nouveau pour moi qui m’a vraiment plu. Le scénario n’est pas long, car il est destiné pour un court-métrage.

Venons en à l’histoire, c’est l’histoire de Martin Frost. Un auteur, qui s’installe dans la maison de vacance de son ami. Là-bas, il décide d’écrire un livre, mais il découvrira quelque chose qui lui apportera de l’amour, mais aussi un nouveau monde qu’il découvrira.

L’histoire est très simple, l’intrigue n’est pas d’une complexité incompréhensible. Il y a seulement quatre personnages qui parlent dans un cadre tout à fait restreint. Dans le Making Of , la simplicité du cadre et des personnages est justifier par les moyens financiers pour le film, puisque ce scénario était tout d’abord destiné au septième art.

Qui est Paul Auster, me direz-vous ? Eh bien, je viens de l’apprendre. Je ne connaissais pas cet auteur qui est américain selon Wikipédia. Mais je peut dire que je n’ais pas pu comprendre vraiment le style de l’écrivain, car le scénario n’avait recours qu’à des phrases courtes ou descriptives.

La forme du scénario, agréable ou pas ? La forme du scénario, est très pratique pour ce qui n’ont pas vu le film, car on peut le voir dans notre tête, car il y a tous les détails présents en italique.

Je vous le conseille ou pas ? Oui, bien sur, une expérience nouvelle de lecture pour vous comme ça le fut pour moi.

imageLe film correspondant à ce film, est La vie intérieure de Martin Frost.

Voici la fiche du film sur allociné : ici

mardi 10 mai 2011

Le fils de la sorcière, Michael Gruber

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Quatrième de couverture :  On l'appelle Tibou le laid, le difforme, plus gobelin qu'humain. Enfant abandonné, il est recueilli par une sorcière et élevé par une ourse. Ses seuls camarades de jeu sont les créatures de la forêt. Il apprend même à parler leur langue. Mais un jour, le fils de la sorcière entre dans le monde des humains. Amère désillusion : leur cruauté transforme son innocence en un désir de vengeance qui lui fait courir de grands dangers. Pour Tibou, c'est le début d'un voyage fascinant dans un univers qu'il ne connait pas.
C’est l’un de mes premier livres au sujet de la magie que j’ai lus depuis l’ouverture de ce blog. Je ne me rappelais plus de ce genre plutôt plaisant, donc, à partir d’aujourd’hui, je pourrais lire des livres de cette sorte-là.
J’ai beaucoup aimé ce livre, mais je suis prévenant, donc je ne vous dévoilerait plus de spoilers. Voilà, j’ai très apprécié la forme d’écriture du livre, même si c’était une traduction. De plus, j’ai aimé les nombreuses références aux contes populaires que s’approprient les personnages.
Tibou, est comme vous avez pu le lire dans la quatrième de couverture : un enfant moche, il va vivre de nombreux périples où il apprendre ou pas à assumer sa laideur.
A travers une histoire saisissante, l’auteur nous dévoile de nombreux sujets polémiques, comme la laideur, la mère nourricière, les problèmes d’adolescence. Je vous le conseille fortement.
La magie, est ici, dans un cadre très dangereux, car cette sorcellerie a de nombreux danger, qui pourra inciter ou éloigner le petit Tibou à la magie. Ici, la magie est aussi un moyen de s’envoler vers une autre destination pour fuir les problèmes.
Comment j’ai découvert ce livre ? J’ai reçu ce livre en cadeau, il y a bien longtemps de cela, ma tante me l’avait offert, mais je n’avais pas eu l’occasion de le lire, voilà, maintenant c’est fait.
Comment vous le procurer ? Je ne sais même plus s’il reste encore dans le catalogue de Pocket Jeunesse, car je n’ais pas pu le trouver. Cependant, il se trouve dans les sites de ventes de particulier.
Pourquoi je ne met plus de résumé de l’histoire ? Je n’en met plus, car j’ais très peur des spoilers, puisque je vient d’apprendre cela à partir d’un commentaire que je remercie de m’avoir avertie. Si vous en voulez vraiment, vous pouvez me le demander par commentaire. Sinon, je mettrais la quatrième de couverture, comme dans d’autres blogs.

lundi 9 mai 2011

Welcome to London [Challenge]

imageVoilà, plus le temps passe, plus je commence à m’intégrer davantage dans la blogosphère littéraire, par conséquent, je découvre toutes sortes de choses. Les challenges, comme La littérature fait son cinéma ou Les classiques 2011. Mais aujourd’hui, c’est le challenge de Meryl, avec son blog monclubdelecture. Je participe à ce challenge niveau Reine Elisabeth II, donc du fort.
Mais en quoi consiste-t-il ?
Il faut choisir un niveau, il existe les niveaux :
1. Le niveau Prince William : 1 à 3 livres
2. Le niveau Prince Charles : 4 à 6 livres
3. Le niveau Reine Elisabeth II : plus de 6 livres
Il faut donc lire le nombres de livres selon le niveau, les actions des livres doivent se passer à Londres.

J’avais dix-huit ans, Elisabeth Fanger

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Un livre exceptionnel, d’autant plus époustouflant quand on sait que c’est une histoire vrai. Une fille qui suit son petit ami alors qu’elle a vie de bourgeoise à Paris, mais dans sa cavale, elle se retrouve seul à Athènes où elle vit des expériences très troublantes pour une fille de son âge.

J’ai beaucoup plus aimé l’intrigue que le style qui est moins vertueux. Mais l’intrigue nous saisit sans même regarder le style qui est tout à fait correct, mais pas d’une grande originalité. La fin est vraiment intéressante, puisqu’elle est dans une position inconfortable mais veut quand même le voir, voici la réalité.

Le livre nous montre les principaux dangers de la passion envers un individu qui peut nous faire descendre facilement aux Enfers, comme ici. Elle a écrit ce roman pour les dix-huit ans de sa fille, après la mort de son père pour que ce dernier ne soit pas embarrassé et pour que sa fille ne fasse pas la même chose.

Elisabeth est une fille de 18 ans,  elle fume, boit et couche mais elle cherche le vrai amour. Elle découvre Bada, avec lequel elle est heureuse. Un jour, elle apprend que Bada a fait un braquage, il est recherché par la police. Bada s’en va au Maroc avec Franck et et Elisabeth.

Spoiler (moment intense de l’intrigue) :

Il change de pays pour Athènes, où Elisabeth est contrôlé et n’ose pas aller dans la voiture, elle a peur de faire attraper les autres. Ils se donnent rendez-vous, mais ils viennent pas. Elle va reste à Athènes, seule.  C’est une descente aux Enfers, elle est abusé par de nombreuses personnes, par un vieux, une lesbienne.

Elle finit par appeler ses parents, qui viennent la chercher. Elle pense que les autres ne risquent rien après tout ce temps. Elle est jugée puis amnistiée.

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Le film qui correspond à ce livre, est A tout de suite, réalisé par Benoit Jacquot.

Voici la fiche du film : ici

Je vous propose…(7)

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" Gisèle Halimi a raconté le désamour de Fritna, sa mère, sa souffrance, son obstination farouche pour la forcer à l’aimer, et son échec.
Elle a raconté sa frustration de ne pas avoir eu de fille, avec qui elle aurait voulu mettre à l’épreuve son engagement féministe. La naissance de sa petite-fille, M, signifie pour l’avocate irrespectueuse une plénitude, un accomplissement en même temps qu’un éblouissement affectif : l’irruption d’« une vie de fille dans sa vie ». Pour la première fois, elle est le témoin direct de ce qui « fabrique un individu de sexe féminin ».
Mais, au-delà de l’expérience féministe, et au-delà même de la raison, allant d’émerveillement en étonnement, éprouvant une nouvelle jeunesse, c’est une véritable passion que Gisèle Halimi nourrit pour celle qu’elle surnomme très vite « Tahfouna » ? la rose, l’irrésistible. La petite fille, qui lui déclare « Mamie, on est amoureuses ! », le lui rend au centuple. Jusqu’à la rupture brutale et complète qu’imposera « l’Autorité parentale », les parents de l’enfant.
Dans un désespoir aggravé par l’incompréhension, il faut alors « apprendre l’art de ne plus être grand-mère ». Il faut continuer de vivre. Après trois années de séparation, la grand-mère et la petite-fille pourront se retrouver, transformées. Dans ce livre qui fait écho à Fritna, Gisèle Halimi raconte sa « passion totalitaire » pour sa petite fille et confesse, à travers ce récit sans faux-semblants, une part d’elle-même qu’elle ne soupçonnait pas. (www.bibliosurf.com) "

dimanche 8 mai 2011

Le sentiment de l’existence, Jean-Jacques Rousseau

imageCe livre est vraiment inattendu, puisque j’attendais un livre d’une difficulté conséquente, alors que ce livre est très facile à lire. On sent voyager dans toute l’ile grâce aux écrits de Rousseau. L’histoire de Rousseau est tellement complète, que l’on pourrait croire un roman à part entière, parce qu’il a vécut tant de choses en si peu de temps. C’est sincèrement la première fois que je lis du Rousseau, que je pensais très difficile à lire, alors qu’il est un auteur et philosophe tout à fait accessible.
Je pense que les œuvres intégrales des extraits sont très lourds à lire, alors qu’une œuvre qui présente seulement un aspect de sa vie est d’autant plus intéressant que la vie entière présenté sans détails. Cet évènement de l’ile St Pierre nous est présenté sous trois formes différentes, sous la forme d’un portrait de l’ile, sous la forme de correspondance avec l’extérieur et finalement, sous la forme d’une chronologie en prose.
La fin du livre comporte une surprise, la chronique de la description de la ville aujourd’hui, par Françoise Fravetto. Il semblerai que beaucoup de choses est changé.
Rousseau est expulsé de Suisse. Alors, il s’en va à l’ile St Pierre, qui appartient à la Suisse. Il ramène sa femme et ses bagages.
Pendant ces temps libres, il fait beaucoup de botaniques qu’il considère comme un état d’oisiveté. Il apprend de nombreuses choses en rapport avec la botanique. Il vit ici grâce à la pension que lui verse M. Du Peyrou, en échange d’une prochaine autobiographie.

Spoiler (moment intense de l’intrigue) :

Mais le gouvernement Suisse ne le veut plus, donc il est contraint de s’en aller. Il ira à Bienne, gouvernement indépendant où il ne sera pas en confiance, alors il continuera son périple vers l’Angleterre.

samedi 7 mai 2011

Challenge Classique 2011

Voici mon deuxième Challenge depuis l’ouverture de mon blog, celui-ci concerne les classiques, il est organisé par le forum Club de lecture. L’objectif est de lire un maximum de livre de la liste ci-dessous pendant toute l’année 2011. Je compte lire au minimum ces 17 livres en gras.
1. Orgueil et préjugés de Jane Austen
2. Raisons et sentiments de Jane Austen
3. Northanger Abbey de Jane Austen
4. Emma de Jane Austen
5. Persuasion de Jane Austen
6. Les hauts de hurle vent d'Emilie Brontë
7. Jane Eyre de Charlotte Brontë
8. Romeo et Juliette de William Shakespeare
9. Notre-Dame de Paris
10. Mme Bovary

11. La gloire de mon père
12. Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos
13. Le rouge et le noir
14. Le portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde
15. Tess d'Urberville de Thomas Hardy
16. La princesse de Clèves
17. Nana
18. Germinal
19. Autant en emporte le vent
20. Dracula
21. Les 4 filles de Dr March
22. Les filles du Dr March se marient
23. Moby dick
24. La peste
25. L'étranger
26. Hamlet
27. Le tour du monde en 80 jours

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L’enfant d’Hiroshima, Isoko et Ichiro Hatano

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Un livre très touchant destiné tout d’abord aux jeunes de 10 à 12 ans, que j’avais lu il y a bien longtemps de cela.  De quoi s’agit-il ? C’est une correspondance réel entre la mère et son fils. On rentre littéralement dans la vie intime d’une relation mère-fils. On ressent toutes les peurs, les sujets du quotidiens si banal qu’un roman ne pourrait y du temps.

Le fils se plaint et a peur de l’adolescence qui peut l’éloigner de sa mère qu’il aime tant. Mais on vie aussi avec eux dans le temps de la guerre, de la bombe d’Hiroshima. Un livre qui nous raconte les moments les plus importants de l’histoire du Japon.

Ici, on voit dans la couverture le petit Ichiro sans-doute au lycée mais aussi peut être dans sa chambre. Une couverture très bien faite, qui nous montre cet enfant en train de réfléchir. Mais je me rappelle de l’ancienne version où il n’y avait que des deux mains avec des stylos pour écrire. Je trouve donc cette couverture plus appropriée pour reflété les sentiments de l’enfant. Je vous conseille de lire ce livre pour mieux comprendre, l’adolescence et aussi la guerre d’un point de vue hors du commun. Ayant lu ce livre il y a longtemps, je ne peux vous proposer de résumé. Excusez-moi

Qui a déjà entendu parler de… ? (8)

imageEncore rien à faire d’original pendant le week-end, alors partez au programme “Paris en toutes lettres” une sorte de fête de la littérature qui se déroulera dans trois lieux différents : la Gaîté Lyrique, le Centquatre et le Point Ephémère.

Voici les différents programmes des différents lieux. Il y aura de nombreuses auteurs invités, des concerts littéraires, le bal littéraire, alors n’hésitez pas, jetez-y un coup d’œil !

Cette année, Paris en toutes lettres sera sa troisième édition depuis le début, en 2009. Cette année, cette évènement à commencer le 5 mai, donc jeudi, pour finir ce dimanche soir. Alors, il reste peu de temps pour voir cet évènement.

jeudi 5 mai 2011

La délicatesse, David Foenkinos

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Un livre d’un auteur encore inconnu pour moi, David Foenkinos et son œuvre qui a reçu dix prix littéraires. Je pense sincèrement que ce roman méritait fortement ces prix.  J’ai beaucoup aimé la forme et le style, qui était très drôle. De plus, j’ai littéralement adoré l’histoire d’une veuve qui retrouve l’amour sans le chercher. L’écriture est compréhensible, avec une qualité toute facile.
Un livre sur le hasard, mais aussi sur le moment de découverte d’une personne, comme François découvert dans la rue.
La délicatesse, d’où vient le titre, il vient de Markus et sa délicatesse mais aussi de Charles et son manque de délicatesse.
Je pense, que je lirais d’autres romans de cet auteur fabuleux, je vous conseille de le lire fortement. Il se lit avec vite, mais avec un contenu riche en émotion. Puisque l’intrigue ne va pas du coté que l’on veut, au début, on croirait une description d’une relation parfaite, au milieu, on croit que c’est un livre de deuil mais la fin, nous déstabilise complètement.

Nathalie et François se sont rencontrés dans la rue, ils vivent une relation parfaitement parfaite. Mais François meurent dans un accident, Nathalie est sous le choc.
Elle arrête son travail pour un moment, ne fait rien à part penser à son mari défunt. Mais elle décide, grâce à son patron, de commencer à travailler, alors elle se dévoue entièrement à son travail. Charles l’apprécie, mais elle ne veut plus voit d’homme dans sa vie.
Mais pris d’une pulsion, elle embrasse Markus, un collègue très insignifiant même laid. Mais celui-ci, l’aimait déjà. Donc une histoire d’amour commence avec l’initiative d’un rendez-vous, mais cette relation s’arrête pour un moment, lorsque Markus a peur du bonheur mais leur relation tiendra le coup ou pas ?… Je ne vous raconte plus la fin de l’histoire, un peu de suspense, lisez le livre.

mercredi 4 mai 2011

Je suis sur Twitter !

Voilà, depuis quelques minutes, j’ai inscrit le blog sur Twitter, Letteratura1. Sur ce compte Twitter, je vais ajouter toutes mes chroniques au fur et à mesure, j’ajouterais aussi mes lectures en direct.

Voilà un bon pour le blog, je vous invite à vous abonné. Appuyé sur le petit oiseau, vous viendrez sur ma page de profil.

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[Madame Bovary, Flaubert]

imageJe sais que vous allez me détester, me huer, mais j’abandonne le livre Madame Bovary. Mais Pourquoi ? Parce que je n’ais pas le temps de lire un livre un épais et imposant, donc je n’aurais pas le temps de me faire plaisir avec cette lecture. La raison n’est pas du tout par rapport à la qualité et la forme ou bien l’intrigue. Puisqu’au contraire, j’ai trouvé le livre d’une qualité irréprochable et une intrigue bien filée.

Donc, j’ai décidé d’arrêter ce livre pour le reprendre pendant les vacances où j’aurais assez de temps pour profiter du livre.

Je vais quand même vous parler de ce que je pense du livre. Tout d’abord, je n’ais pas réellement adhérer aux premières pages qui nous ennuient littéralement. Mais la suite était tout à fait bien écrite.

mardi 3 mai 2011

Qu’est-ce-qu’un (livre) classique ?

Pas encore de critiques, puisque Madame Bovary est long à lire et je n’est pas tout mon temps, donc vous m’excuserai ! Mais aujourd’hui, on va parler du livre classique et de sa définition tant général que subjectif. Par exemple, ce que je suis entrain de lire est un classique, ou pas ? Tel est la question !

imageTout d’abord, on désigne un livre classique comme un roman qui appartient au courant littéraire qu’est le classicisme. Mais qu’est-ce-que le classicisme ? Le classicisme est un mouvement littéraire européen du XVIIème siècle où il existe un idéal qui est la perfection avec “l’honnête homme” . Cette période classique se situe entre 1650 et 1700, bien sur, ce ne sont que des données arbitraires à seul but de donné une vision de la durée du classicisme.

Donc, théoriquement, tous les livres qui ne se présente pas de cette sorte-là ne sont pas des classiques, mais d’autres romans. Mais, en pratique, le sens a-t-il changé depuis ? Parle-t-on d’autres choses qu’en on dit “un classique” ?

Effectivement, aujourd’hui, surtout dans l’éducation, tous les les livres anciens et non-contemporains sont perçus comme des classiques, comme par exemple, le célèbre Zola et ses livres classiques. Donc, on peut bien sur dire qu’un livre est classique s’il on veut tout simplement dire qu’il est connu et écrit il y a longtemps.

Mais il y a des livres, écrit tout juste, considéré comme des classiques, mais pourquoi ? La réponse à cette questions est qu’un classique n’est pas obligé d’être ancien, mais il doit être connu mais pas seulement, sinon, même Marc Levy serait classiques, donc le livre doit avoir une certaine qualité d’écriture, il ne doit être un livre écrit forcément pour être lu.

Finalement, je vais vous dire ce que je pense d’un classique, sa définition pour moi, un classique est pour moi un livre dont on connait l’intrigue parfaitement, comme tout le monde mais suscite sa lecture par sa qualité et sa forme.

dimanche 1 mai 2011

Le faucon déniché, Jean-Côme Noguès

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Un livre facile vu qu'il est destiné aux jeunes, mais ce n’est pas pour autant une intrigue juvénile. Donc, j’ai aimé m’intrigue où Martin, un paysan veut à tout prix un faucon qu’il dénichera sans l’accord du seigneur, à la suite il sera emprisonné pour cette faute. Mais le point essentiel n’est pas ici, c’est la suite qui est vraiment inattendu.

Ce livre nous permet d’en savoir plus sur le moyen-âge, comme l’interdiction de possédé un faucon si on est paysan, mais aussi que les églises et monastères étaient des asiles pour les fautifs. Et encore autant de réponses aux questions sur le moyen-âge à travers une intrigue qui nous emmène dans des lieux très différents.

Martin se déniche un faucon qui appartient au seigneur, de plus, il n’a pas droit d’avoir un faucon. Il se fait prendre par le fauconnier qui l’envoie en prison.

En prison, il voit l’armée ennemie qui vient, il se sauve et sonne le tocsin. Tout le monde se rue dans le château, Martin trouve ses parents qui s’étaient inquiétés pour lui. La bataille finie, il s’en va avec ses parents mais à très peur de se refaire attrapé.

Spoiler (moment intense de l’intrigue) :

Le prêtre raconte l’enfant au seigneur, alors, il décide d’appeler l’enfant pour le récompenser. Mais Martin croit qu’il va repartir en prison, alors il s’en va au monastère et demande l’asile.

Un jour, il entend que son faucon va participer à la chasse, il va le voir. Et pendant la chasse, il intervient et le seigneur le rencontre et lui demande ce qu’il veut pour sa loyauté. Il veut le faucon, il le prend et s’en va avec. Mais il comprend que l’animal ne le reconnait plus, alors il décide de le laisser, mais il le prend et le laisse voler mais il sera tuer.