Je déménage!

Vous vous demanderez pourquoi j’ai décidé de plateforme, et à quelle plateforme je suis allé ? Alors, je vous réponds tout de suite, je suis allé sur Wordpress. Pourquoi ? Parce que Wordpress offre beaucoup plus de libertés aux blogueurs et que c’est que je recherche. Donc, voilà, je suis passé là-bas.

Je serais très content que vous me suiviez dans mon nouveau blog, avec un nouveau thème, une nouvelle plateforme, je décide de commencer l’année de mon blog sous de bons auspices.

Voici le lien du blog sous wordpress. A savoir, je ne supprime pas celui-ci, mais il sera pas forcément mis à jour !

http://letteraturaa.wordpress.com/

mardi 27 septembre 2011

Le flâneur de l’autre rive, Gilles Lapouge

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Quatrième de couverture :Je n’ai pas beaucoup d’autorité sur mes souvenirs. Ils n’en font qu’à leur tête. Je suis voué à les suivre. Parfois, ils se moquent carrément de moi. Si je leur donne l’ordre d’aller vers le sud, c’est à l’ouest que je me retrouve. Ils mettent malice à me contredire. Comme ils vont trop vite pour mon pas, je boite. Ils me distancent. Ils en profitent pour me semer, comme les parents indignes, dans les contes de fées, entrainent leurs enfants dans les forêts obscures. Ils me mettent un bandeau sur les yeux. Ils me font tourner et, quand ma tête est un vertige, ils arrachent le foulard. Je me demande alors en quelle géographie je suis tombé et dans quel moment de ma vie. Je ne reconnais rien. Je suis dans un lointain. On se chamaille un peu, mais après une rapide altercation, je suis bien obligé de reconnaitre qu’en effet je suis passé dans ces écarts, il y a longtemps, longtemps, comme en un songe, et que j’avais tout oublié.
En général, mes souvenirs ont meilleure mémoire que moi. C’est pourquoi je les laisse faire. Je leur donne tous les pouvoirs.
Mon avis : Tout d’abord, j’aimerais remercier Newsbook et André Versailles éditeur de m’avoir permis de découvrir cette autobiographie. J’ai découvert un livre mais non seulement une personnalité dans cette autobiographie, moi qui ne connaissait même pas le nom de Gilles Lapouge.
Le personnage est vraiment essentiel dans une autobiographie, il est le premier personnage, et il ne doit pas avoir une vie ennuyeuse ce qui n’est pas le cas puisqu’on voyage tellement avec Gilles Lapouge du Brésil en Islande, d’Adamov à Bouvier, on aperçoit le personnage, on sent qu’on le connait très bien, il nous dévoile tous ses secrets sans faute. A la fin, on éprouve le sentiment d’avoir connu ce personnage qui a fait le tour du monde, qui connait tout le monde, c’est vraiment très agréable d’avoir ce sentiment à la fin d’une autobiographie, sa caractérise sa réussite ! Pour finir avec le personnage, on apprend qu’il est très nostalgique !
Les aventures que Gilles Lapouge nous relatent sont vraiment intéressantes, rien n’est normal chez lui, il nous dévoile son âme sans craindre les critiques, par exemple, il dévoile ses sentiments paranos sur les pensionnaires, ses “fautes” dans l’écriture de ses romans, sa vie du début à la fin. On voit que le personnage a beaucoup d’amis, puisqu’il nous les présente, eux et leurs vies. Toutes ces péripéties sont utile pour son écrit, puisqu’il continue avec ce qu’il a dit, donc l’ennuie est absent du livre de Lapouge, il est même très éducatif.
En effet, dans ce livre, on apprend beaucoup de choses utiles dans la vie courante, comme beaucoup de théories philosophiques et littéraires qu’il nous relate, de noms de livres et leur histoire, des leçons de vie (il ne faut jamais forcer quelqu'un à faire quelque chose), même s’il n’insiste pas beaucoup sur cela, sa vie nous apprend de nombreuses choses, on voit qu’il a de l’expérience.
Son écriture est vraiment très plaisante et de qualité à lire, il y a beaucoup de métaphores filées qui nous surprennent en aboutissant à quelque chose de complètement différentes, ce qui est très stimulant pour continuer la lecture. De plus, il a une écriture avec laquelle il réussit à nous faire rire ,donc ne vous fiez pas aux préjugés que c’est ennuyant parce que c’est une autobiographie, on apprend beaucoup d’autre vies. De plus, son écriture est vraiment pas vieillotte, il a une écriture contemporaine très agréable à lire.
Finalement, je vais vous parler de plagiat, non, je ne dis pas ce livre est un plagiat, loin de là, mais dans ce livre, Gilles Lapouge nous raconte comment il a plagiat quelques dialogues et personnages de Guerre et Paix de Tolstoï et aussi deux ou trois pages d’une œuvre de Rimbaud, mais il dit qu’il l’a fait pour rendre hommage aux auteurs, il écrit cela tellement naïvement, que l’on ne peut pas lui en vouloir ! Mais il a été déçu que personne ne le remarque !
Je voudrais aussi ajouter que dans ce livre, il y  beaucoup de références de livre que vous pourrez noter, des livres à lire, je crois, voilà mon ajout. Ma chronique est donc fini avec une belle touche, j’ai aimé ce livre et aussi apprécié le personnage particulier de Gilles Lapouge. Donc je vous conseille le livre pour découvrir l’autobiographie !
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Ce livre est sortie le 14 septembre 2011.

Pour ceux qui s'intéressent, il y a une soirée des Editions André Versaille le 15 novembre au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris pour le dernier livre de Gilles Lapouge !

lundi 26 septembre 2011

Candide, Voltaire

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Quatrième de couverture : Que signifie ce nom «Candide» : innocence de celui qui ne connait pas le mal ou illusion du naïf qui n'a pas fait l'expérience du monde ? Voltaire joue en 1759, après le tremblement de terre de Lisbonne, sur ce double sens. Il nous fait partager les épreuves fictives d'un jeune homme simple, confronté aux leurres de l'optimisme, mais qui n'entend pas désespérer et qui en vient à une sagesse finale, mesurée et mystérieuse. Candide n'en a pas fini de nous inviter au gai savoir et à la réflexion.

Mon avis : J’ai lu ce conte très vite puisqu’il est assez court, mais très concentré de critiques cachés sous forme de conte. L’histoire est bien trouvé pour avoir une morale bien consistante à la fin.

L’écriture est vraiment très agréable à lire, on ne se bute pas aux mots, son écriture coule à flot en alliant l’utile à l’agréable, Voltaire a su écrire un conte philosophique sans écrire très difficilement, je trouve que ce conte est accessible à tout le monde. Donc, l’écriture n’est pas philosophique, osez lire ce livre !

L’histoire est vraiment très bien faite, c’est l’histoire d’un jeune homme qui se nomme Candide, pendant tout le conte, on vit avec lui, soit il est heureux, soit malheureux, mais il ne perd pas son innocence en croyant à l’optimisme, il est à la recherche de Cunégonde, mais il va voir que la vie n’est pas rose sauf quelque part où tout est parfait, il grandi et murit à apprenant le monde et que l’optimisme n’est pas réel. Je vous conseille ce livre avec une histoire pas ennuyante du tout !

J’admire Voltaire pour sa manière de critiquer la société en les insérant dans des contes qui peuvent faire mine de rien, mais on voit quand même la critique de la religion, des Etats mais aussi, il nous montre que le monde est composé de gens bien et aussi mal. Donc, la morale de l’histoire est vraiment très intéressante pour ceux qui la voient !

Finalement, j’aimerais dire que tout n’est pas au mieux, qu’il ne faut pas être très optimisme même aujourd’hui où de nombreuses choses sont horribles, comme la pauvreté, les catastrophes ! Ne vous faites pas avoir par vos Pangloss ! Lisez ce livre si vous voulez connaitre les conditions de l’époque de Voltaire ! Si vous l’avez lu, quand pensez-vous ?

dimanche 25 septembre 2011

In my mailbox ! (3)

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“In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boite aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.”
Cette semaine, je n’ai pas encore acheté, il faut savoir que je suis lycéen, donc pour l’instant je n’ai pas trop d’argent mais dans quelques semaines, je pense m’acheter quelques livres. Même si je n’ai rien acheté, j’ai reçu 2 livres partenariats et empruntés trois livres à la bibliothèque, donc je m’en tire pas mal.
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- La petite sirène de Koort de Jean-François Joubert, j’ai reçu ce livre de l’auteur lui-même après l’avoir connu sur Facebook, je le remercie.
-La saga parisienne de Gilles Schlesser que j’ai reçu de la part de Babelio et Epigramme que je remercie, cette saga a l’air intéressante.
Pour les emprunts :
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- Redemption Falls de Joseph O'connor qui a su m’attirer par sa belle couverture que j’ai adoré.
- L’attentat de Yasmina Khadra, après une déception (Ce que le jour doit à la nuit) , de nouveau avec cet auteur
- L’écriture ou la vie de Jorge Semprun que j’avais promis de lire en apprenant sa mort, un récit bouleversant d’après les lecteurs.
Et vous, qu’est-ce-que vous avez reçu/emprunté cette semaine ?

samedi 24 septembre 2011

Qui à déjà entendu parler de… ?

imageAstérix est un nazi, ce n’est pas moi qui le dit mais Michel Serres dans sa chronique sur France-Info, donc il accuse le monde des Gaulois comme un monde fasciste et nazi. Mais pourquoi, me direz-vous ? Eh bien, il développe des arguments très… différents, on va dire.

Voilà les arguments contre Astérix sont que :

- les problèmes se règlent par la force

- la potion magique pour l’invincibilité serait un “éloge de la drogue”

- les mauvais traitements à Assurancetourix serait signe d’un mépris de la culture.

Ces arguments sont un peu poussés trop loin, quand à moi, je pense qu’Astérix n’a vraiment rien de nazi, pour la force, il y en a dans toutes les B-D , la potion magique n’est pas vraiment un éloge de la drogue, je ne pense pas que les petits et même les grands prennent cela comme de la drogue. Pour finir avec Assurancetourix, c’est vrai que ce n’est pas gentil, mais il chante tellement mal que…

Et vous, que pensez-vous de cette théorie ?

jeudi 22 septembre 2011

Traversées de l’Empire, Antonio Negri

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Quatrième de couverture : Nous sommes tous entre les mains d'un pouvoir qui nous rend infantiles, complètement ouverts à une exploitation totale. Mais en devenant adultes, nous faisons l'expérience des formes de la coopération, et de l'invention, nous commençons à découvrir les raisons de l'amour. Sans ces raisons, le monde n'existerait pas - parce qu'il n'y aurait pas la forme dans laquelle les hommes coopèrent, la vie se reproduit, la tristesse ou la joie s'expriment. Il y a, dans ce rapport entre la pauvreté et l'amour, un élément commun qui circule. Cet élément est monstrueux, il invente et découvre des formes de vie impossibles à contenir dans les mailles du pouvoir. Le tissu biopolitique est plein de désir, de relations amoureuses. Est-ce ce qui constitue la résistance ? Est-ce ce qui la rend monstrueuse aux yeux du capital ? Oui, probablement.
Mon avis : Je remercie Babelio et L’Herne pour m’avoir permis d’avoir lu ce livre même si je ne l'ai pas vraiment apprécié. J’ai lu ce livre en une heure et plus, donc, c’est un livre très court où est présenté les quatre discours d’Antonio Negri sur le capitalisme et le communisme.
L’écriture de ces discours sont vraiment difficile, dès les premières pages je me suis retrouvé noyé dans le vocabulaire économique et politique, mais par la suite, les mots inconnus nous sont expliqués, mais j’accorde le fait que c’est normal d’avoir un vocabulaire spécifique, puisque les discours sont destinés à des professionnels et j’en suis loin d’en être !
Le sujet de ce petit recueil de discours est le communisme et l’Empire, pour l’auteur, l’Empire est l’image qu’il utilise pour désigner la mondialisation et les pays qui y adhèrent. J’ai trouvé difficile de le lire, mais j’ai quand même compris un minimum, l’auteur critique la mondialisation et le capitalisme qui est devenue mou, il nous donne son avis sur le nouveau système qu’il voudrait mettre en place, la MULTITUDE !
Comme c’est la première fois que je lis du politique, je ne peux rien vous dire sur ses idées sauf qu’elles m’ont paru quelque peu utopique mais j’ai bien aimé les explications sur le travail immatériel qui prédit vraiment l’avenir. Le reste, on comprend bien son camp, il est contre tout le capitalisme mais n’est pourtant pas communiste, il a des divergences avec les communistes.
Je vous conseille ce livre si vous avez un intérêt particulier au communisme et à cet auteur, mais sinon, il ne faut pas sortir des sentiers battus ! Bonne lecture !

mardi 20 septembre 2011

Katiba, Jean-Christophe Rufin

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Quatrième de couverture : Quatre touristes occidentaux sont assassinés clans le Sahara. L'attaque est signée al-Qaida au Maghreb islamique, une organisation terroriste implantée dans les anciennes zones d'influence française d'Afrique de l'Ouest. Tout laisse à penser qu'elle veut aller beaucoup plus loin et rêve de frapper la France au cœur. L'évènement est présenté par les médias comme un fait divers tragique mais il met en alerte les services de renseignements, de Washington aux Emirats, d'Alger à Paris.
Au centre de leurs jeux complexes, Jasmine. Jeune fonctionnaire du Quai d'Orsay apparemment sans histoire, elle émerge peu à peu comme la pièce maitresse d'une opération d'envergure inédite. Quels liens cette Française à l'élégance stricte entretient-elle avec le monde musulman ? Quelle secrète influence pèse sur elle depuis la disparition de son mari, consul de France en Mauritanie ? C'est en démêlant les fils les plus intimes de sa vie que la vérité se fera jour et que le suspense, haletant, trouvera son dénouement. Complice, victime ou agent double, Jasmine incarne le mélange de répulsion et de fascination que le fondamentalisme religieux exerce inconsciemment sur chacun de nous.

Mon avis : Je remercie beaucoup Folio et Clubdelecture de m’avoir permis de lire ce livre très plaisant, sans vous, je ne l’aurais peut être pas acheté mais j’ai beaucoup été surpris de la qualité d’écriture et de l’intrigue de l’histoire.

Parlons du début qui n’était pas très parfait, dans les cents premières pages, l’auteur installe le cadre mais on n’a pas encore de vrai but dans l’enquête de Providence, donc cela est un peu ennuyant, mais sinon, le cadre est très bien mis, les terroristes, l’attentat, les personnages sont très bien commencé. Mais par la suite, j’ai trouvé que l’auteur a su remonter la pente pour donne une œuvre de qualité à son lecteur dans lequel on ne s’ennuie pas du tout.

L’écriture de cet auteur qui était complètement inconnue pour moi jusqu’à Katiba, est devenue référence d’une belle écriture qui fait beaucoup ressentir, puisque l’auteur sait utiliser la façon pour sensibiliser son auteur surtout sur des sujets si sensibles du terrorisme. J’ai donc beaucoup aimé l’écriture sentimentale de cet auteur.

Les personnages de ce roman sont magnifiquement conçus, ils ne servent pas qu’aux actions, ils ont des sentiments très ambigüe et pas sur, ils sont réellement humains. Par exemple, Jasmine est très chamboulé par son passé qui la fait choisir entre l’Occident et les islamistes, mais elle hésite pendant tout le roman. Elle déteste tout autant sa face occidentale que sa face musulmane, cela m’a beaucoup émue avec le ton qu’elle le dit.

L’intrigue est vraiment très intéressante, ce n’est pas une enquête ordinaire qui se termine par la mise du coupable en prison ou la mort, mais dans ce roman, il y a tellement de choses liés que je ne peux vous parler sans spoiler, les personnages leurs faces, ils changent, ils ne sont plus présumé coupable, les enquêtes se mélangent, tout pour donner une belle fin. C’est donc une intrigue unique que je n’ais jamais lu puisqu’il rajoute aussi le coté humain.

Les sentiments est un des mots pour qualifier ce roman, il est rempli de sentiments, les hésitations des personnages, leur faiblesses alors qu’ils doivent être forts, on découvre le sentiment humain sous une nouvelle forme. Pendant toute la lecture, on est émue.

Pendant ce roman, on comprend aussi le fonctionnement interne de l’AQMI (Al-Qaida au Maghreb islamique) que j’ignorais totalement, de plus, on ne voit pas seulement l’organisation mais les humains et leur arguments pour défendre le terrorisme qui parait atténué dans ce roman. On voit que l’auteur est impliqué dans ce domaine, il est médecin dans l’aide humanitaire, le désert ne lui est pas inconnue !

Ce roman vaut donc la lecture, on est ému, on comprend beaucoup de choses, on passe un bon moment, et quoi d’autres ? Aller acheté ce livre pour le lire.Bonne lectures !

lundi 19 septembre 2011

Maktub, Paulo Coelho [abandonné]

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Quatrième de couverture : Recueil d'histoires qui sont autant de paraboles véhiculant des fragments de sagesse. Ces courts textes sont nés d'une contribution de l'auteur au quotidien brésilien la«Folha de Sao Paulo».

Mon avis : J’avais autant aimé Aleph et j’étais déterminé pour celui-là mais je n’ai pas réussi, je l’ai abandonné sur la forme coupé, car ce sont des histoires sans aucun lien entres elles, donc on n’arrive pas à se remémorer des histoires ce qui est très dommage vut les beaux souvenirs de l’auteur. Donc, ce n’était pas un abandon d’un livre que je n’ai pas aimé, mais que cela était ennuyant de lire des histoires sans liens, alors que les histoires étaient superbes !

Les histoires étaient vraiment des perles, elles reflétaient très bien le personnage qui est l’auteur avec tout son environnement spirituelle, on voit qu’il est dans son élément avec des souvenirs d’anecdotes très agréable ! Il remet les conversations avec lui et son maitre spirituel, qui est d’ailleurs un très grand penseur avec le peu que j’ai lu.

Je suis très désolé de ne pouvoir continué ce livre, donc c’est un abandon triste ! Mais le livre n’est pas mal écrit ou autres, c’est un problème d’histoires non liées et de temps, donc je dis bien que Paulo Coelho est un bon auteur du fameux Aleph que j’ai lu ! A la lecture, les histoires détachées les uns des autres m’a beaucoup ennuyé parce que j’aime avoir un ensemble que des petites histoires, donc je l’ai abandonné !

dimanche 18 septembre 2011

In my mailbox ! (2)

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“In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boite aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.”

Je commence par les partenariats de cette semaine, eh bien, j’ai reçu trois livres qui m’ont vraiment tenté, j’en ai même commencé un. Les voici :

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- Katiba de Jean-Christophe Rufin que j’ai reçu de la part de Folio grâce à l’aimable et gentil Clubdelecture. Je l’ai déjà commencé et il s’annonce très bien.

- Le flâneur de l’autre rive de Gilles Lapouge choisi chez Newsbook (merci beaucoup !) , ce livre me tentait par curiosité sur sa forme, et les souvenirs qui viennent.

- Jusqu’à la folie de Jesse Kellerman était vraiment irrésistible par la quatrième de couverture donc j’ai postulé sur Madame Charlotte que je remercie.

Il n’y a pas que ça, j’ai aussi emprunté des livres de la bibliothèque, en tout, quatre livres qui sont vraiment très bien :

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- En cas de bonheur de Foenkinos que j’ai déjà lu avec un plaisir immense de redécouvrir l’écriture de Foenkinos.

- Maktub de Paulo Coelho que j’ai un peu lu mais que j’ai arrêté faute de temps au spirituel.

- Les dangers de l’inconduite déjà lu qui m’a permis de rentrer dans l’écriture de Balzac sans engloutir des pages.

- Bienvenue au club de Jonathan Coe que j’aimerais lire après mes partenariats.

Et encore une fois, je n’ai rien acheté, mais j’ai quand même beaucoup de lectures, les achats ça sera après… Bonne lecture.

samedi 17 septembre 2011

Qui à déjà entendu parler de… Jean-François Joubert ? (18)

imageC’est la première fois que je publie un interview fait par moi-même, et j’espère que cela durera tant que les auteurs accepteront, mais ne soyez pas très exigeant, je suis novice dans l’art.

Jean-François est un auteur de livre originaire de la Bretagne, il a déjà écrit quelques livres, pour ma part, je n’ai encore lu que Divagations d’un loup solitaire que j’avais beaucoup aimé après un temps de réflexion. C’est pourquoi, je me suis dit pourquoi lui posé les quelques questions qu’on voudrait poser à un auteur, de plus j’avais la possibilité de le contacter sur Facebook, donc il a accepté ma demande et voilà notre conversation dans laquelle l’auteur a vraiment répondu avec un minutie visible :

Letteratura Littéraire En Herbe

Tout d'abord, je vais vous posez des questions sur votre vie d'écrivain : Aimez-vous la lecture ? Quel genre de livres (polar, contemporain, SF) ?

Jean-françois Joubert

Je viens de la littérature blanche, les folio plus exactement, Gary, camus, Sartre et Vian, Céline, m'ont ouvert l'esprit, donc je cause plutôt avec des morts bien que mes "amis" de Facebook soient des auteur en herbe ou reconnu que je croise parfois sur des salons en Bretagne

Letteratura Littéraire En Herbe

Je vois, donc, vous êtes plutôt pour les classiques, ne lisez-vous pas des auteurs contemporains comme Amélie Nothomb ou Marc Levy ?

Jean-François Joubert

Amélie Nothomb, j'en ai lu un stupeurs et tremblements, je me suis amusé, et concernant Marc Levy, je ne suis pas encore tombé sur un livre de disponible, je crois que les 4° de couvertures, l'esprit de ses livres me plairaient, et oui j'aime aussi les auteur(e)s contemporains à conditions qu'ils sortent de la norme ce qui est le cas pour les deux, j'aime style et imagination dans un livre, c'est pourquoi quelques lignes parfois arrêtent ma lecture. En ce moment, je me tourne vers des magazines comme Bretagne pour découvrir auteur ou légende, et j'ai dévoré littéralement parlant Brest de Pierre Mac Orlan

Letteratura Littéraire En Herbe

Merci pour cette réponse, savez-vous quel livre vous vraiment envie d'écrire ?

Jean-françois Joubert

Oui, un livre sur les hallucinations des coureurs de haute mer, le figaro, j'aimerais faire des interviews sur ses rencontre liées à la fatigue, le rouge, un discute avec sa sœur, l'autre voit un way point sur l'eau, enfin il attend que son GPS le dessine pour lui afin de virer de bords, etc... Pour cela il faudrait que je les rencontre ce qui ai possible mais quand et où et parleront-ils de cette folie maritime ? Une énigme

Ce serait un recueil de nouvelle des petites histoires vraies

Letteratura Littéraire En Herbe

Depuis quand écrivez-vous ? Quel a été votre premier écrit ? L'avez-vous publié ?

Jean-françois Joubert

Plus de vingt ans, j'avais écrit un premier roman, 1992 en 99 "mon père et la mer" a trouvé un échos il est sur le podium d'un concours national de la poste, et j'ai actuellement, la petite sirène de Koort, divagations d'un loup solitaire, Bleu Terre, et désirs d'îles, en Novembre 2011 aux éditions Kirographaires va sortir le premier roman que j'ai écrit il devait s'appeler "chienne de vie" mais trop d'autre auteur ont choient cette expression alors ce sera la contraction volontaire de paradis et enfer et le titre "parafaire ordinaire" la couverture est en fabrication, je vous invite à la découvrir sur mon mur facebook, vous comprendrez que c'est une sorte de planète des chiens, anthropomorphisme du dieu unique déplacé sur notre Terre. ce livre est aussi un pamphlet contre la société qui nous formate ou nous range dans des cases, esprit étriqué, un peu obtus dans la majorité des cas, d'où mon évasion par l'écriture seul moyen d'expression que je possède, de la science-fiction policière en février 2012.

Letteratura Littéraire En Herbe

Oui, j'ai bien vu la couverture avec l'humain en laisse. Donc, vous avez beaucoup de projet pour l'avenir.

Pourrais-je vous posez la question de savoir si vous vivez avec votre plume ou pas ? Sinon, travaillez-vous ?

Jean-françois Joubert

Oui, spectacle vivant pour faire vivre les mots et moi aussi de la même façon, des rencontres, des spectateurs, je l'ai fait le 1 mai de cette année à la salle Heri léon à Porspoder, Melon, et je cherche salle et moyen financier pour réunir la troupe de musicien et le peintre Ludovigh, un ami, un talent pur et une bête de travail, de plus mes livres sortent en numérique aux éditions syllabaire, dont un conte pour enfant et adulte sur la maladie de la progéria, sans je l'espère aller trop dans le gnangnan, puisque l'histoire est celle des dernières heure d'une injustice de la nature une maladie orpheline vieillir de dix ans par année de vie

Letteratura Littéraire En Herbe

Ambitieux, c'est le mot pour vous définir. Sinon, les ventes sont-elles correctes ? (vous n’êtes pas obligé de répondre)

Jean-françois Joubert

Je vis pour ma plume et pas encore de ma plume, je n'ai que deux ans d'exploitation de mes sujets de livres par des éditeurs de petite taille, et je n'ai pas vraiment les chiffres," le mage du Rumorvan" un livre policier sur la Bretagne ressort en 200 exemplaires et j'avance les frais de tirage, pour ce qui est de mon statut professionnel, je suis adulte handicapé (psychologique) et auto entrepreneur éditeur mais dans ce secteur il me manque les moyens et le temps de bien faire

Letteratura Littéraire En Herbe

Je comprends, vous aimez la littérature pour la littérature et pas pour l'argent. Voici ma dernière question concernant l'écriture, comment écrivez-vous ? Avez-vous une méthode précise ?

Par la suite, je voudrais vous posez des questions sur Divagations d'un loup solitaire.

Jean-françois Joubert

Oui, un titre, un thème, une obsession après je dérive vers l'ailleurs, je tiens la route sur les romans en lisant et relisant chaque matin les pages du soir, il faut de l'énergie, il faut du temps de la passion, et j'aime les mots, si vous voulez-bien je vous réserve un parafer ordinaire pour le plaisir de lire un livre de jeunesse vous verrez la différence entre le premier roman et le dernier puisque divagation est le dernier

Letteratura Littéraire En Herbe

J'avais écrit que je n'avais pas très bien compris le début, surtout pour les personnages, j'aimerais savoir si le personnage de la 1ere et 2ème partie sont les même ? Si oui, pourquoi à la page 14 vous écrivez "et moi, c'est moi, Jean-François Joubert" Ma prochaine question est sur la chronologie entre les 2 parties, pouvez-vous m'expliquer ?

Letteratura Littéraire En Herbe

Pour Un parafer ordinaire, je l'achèterais peut-être, mais je ne peux rien dire car je suis mineur et je n'ai pas toujours d'argent. Donc, si je peux l'acheter, ce sera à sa sortie.

Jean-françois Joubert

Oui, je partais sur un livre nouveau, un livre où je parcourrez le monde, et puis je me suis rendu compte qu'il est trop tôt pour le fabriquer que je me briserais les ailes, mes personnages changent de nom, et je cite mon patronyme car je me suis vraiment mit en colère contre le divin, j'ai hurlé, je me suis mis à nu sans autre protection que ma peau et ma colère, après c'est des souvenirs d'enfance jusqu'à l'adolescence, et puis viens les possibles, je me suis rendu compte que ce texte le temps d'une révolution allez comme un gant à ma morsure, qu'il est plus léger, et que me basant pour les autres univers possible dans ce trou noir qu'est la mort de l’âme, l’absence la perte d'identité, je pouvais laisser mon nom quitte à douter le lecteur, entre les deux parties du livre, mais l'épilogue est un complément, sur ce que j'envisage d'univers abstrait et merveilleusement coloré

Letteratura Littéraire En Herbe

Ah d'accord j'ai bien compris, je me demandais bien que c'était bizarre, donc si j'ai bien compris, les 2 parties sont complètement différentes, ils appartiennent à 2 types d'humeur Sinon, j'ai adoré la fin avec la moral de l'histoire

Merci beaucoup pour cette interview et pour le temps que vous m'avez consacré, surtout pour les réponses très développés que vous m'avez donné. Si vous n'avez rien d'autre à dire, j'aimerais mettre fin aux questions

Jean-françois Joubert

Si merci de cet entretien, c'est un plaisir de s'expliquer. Bonne continuation

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Merci, au revoir, j'espère vous revoir avec de nouveaux livres. Bonne soirée

vendredi 16 septembre 2011

En cas de bonheur, David Foenkinos

imageQuatrième de couverture : Claire et Jean-Jacques vivent ensemble depuis huit ans. Mais, leur tendresse apparente, qui les fait citer en exemple par leurs amis, cache la véritable érosion de leur amour... Dissection d'un couple pas comme les autres... Un couple comme tous les autres.

Mon avis : Un livre très léger qui se lit rapidement sans aucun problème ! C’est du bon Foenkinos comme dans La délicatesse !

L’écriture de ce roman est encore très plaisante à lire, on ressent la légèreté de son écriture surtout avec son point de vue du monde, on voit bien que l’auteur est très optimiste, qu’il aime rire, car c’est ainsi que l’on comprend dans le livre ! Mais, plus le temps passe, plus le caractère devient davantage tragique, car l’histoire s’y prête.

L’histoire est vraiment très intéressante, une histoire d’amour et de couple en chute libre qui donnera lieu à de très belles pages qui m’on beaucoup fait plaisir ! Claie et Jean-Jacques sont vraiment très intéressants car ils montrent le couple parfait symbole du bonheur qui va explosé pour faire apparaitre les affinités de l’un et de l’autre et leur lien inséparable ! Dans ce roman, Foenkinos a beaucoup joué sur les clichés, donc on connait les principales histoires, mais les conditions et les réactions sont complètement différentes.

Le personnage Jean-Jacques est aussi important, car quoi qu’il fasse, on sent que le narrateur est à coté de lui, qu’il le soutient au début, donc on est pas énervé par ses comportements, au contraire, on le comprend. Donc les personnages sont vraiment situés selon l’envie du narrateur !

Le thème du bonheur est vraiment dominant dans ce livre, puisqu’il nous raconte que tout bonheur à une fin donc qu’en cas de bonheur, il faut y faire attention car “on se réjouit du malheur de ce qui ont été heureux”. J’ai beaucoup aimé la façon dont Foenkinos nous raconte sa théorie sur le bonheur.

La fin est vraiment très bien construite, on comprend l’ironie du sort entre le couple et leur parents ! Mais je vous assure, la fin vous surprendra beaucoup car pendant toute le milieu on se crée une fin que Foenkinos commence à effacer petit à petit pour nous donner sa version superbe !

Parlons finalement de la couverture, elle ressemble beaucoup à celle de la délicatesse avec le bas corps d’un couple ! Je ne peux pas dire que c’est un coup de cœur, cependant, je l’ai bien apprécié !

mercredi 14 septembre 2011

Les dangers de l’inconduite, Honoré de Balzac

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Quatrième de couverture : Pour les beaux yeux de son amant, Anastasie de Restaud, non contente d'être infidèle, a mis en gage une parure de diamants d'une valeur inestimable. Le comte de Restaud, accablé de chagrin, est prêt à tout pour récupérer le bijou et l'usurier Gobseck entend bien profiter de sa faiblesse...
Sous couvert d'inculquer de bons principes en donnant cette triste histoire en exemple, Balzac peint l'étonnant portrait d'un homme d'argent.

Mon avis : Un classique, oui, et ça faisait longtemps que j'en avais pas lu ! Je vous rassure c’est un livre d’une centaine de pages qui se lit d’une traite et qui est très bien pour la découvertes de Balzac, oui, je viens de découvrir Balzac et sa belle écriture !

J’ai été réellement surpris de l’écriture, puisque je ne m’attendais pas du tout à ce type d’écriture du type contemporain, je croyais que ça allait être du ton de Zola, mais c’est complètement différent, ça m'a beaucoup troublé mais je ne pense pas que son écriture n’est pas belle, elle a son propre charme.

Pour l’histoire, j’ai aimé le contexte pour décrire un personnage dévoué au capitalisme, sans pour autant en faire en documentaire, donc j’ai aimé le style d’insertion la raison d’être du texte. Mais j’ai beaucoup été surpris sur la réaction de la Vicomtesse de de Grandlieu et de sa fille sur le récit de l’avoué, je n’ai pas compris pourquoi une réaction d’horreur, mais sinon le déroulement du récit est vraiment très intéressant.

Je ne vais pas pouvoir dire grand chose sur ce livre d’une centaines de pages qui était à l’origine dans le recueil Nouvelles et contes I, c’est donc une belle initiative de mettre Balzac en publiant les nouvelles un par un, ça ne fait pas peur ! Je ne sais pas si cette nouvelle passerait dans le challenge Balzac mais pour savoir, je rajoute la bannière.

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mardi 13 septembre 2011

Tome 5 : Le secret de l’Ange, Melissa de la Cruz

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Quatrième de couverture : Théodora et Jack ont fui en Italie où ils peuvent enfin vivre leur amour librement. Mais Théodora doit aussi y poursuivre la mission initiée par Lawrence Van Alen, son grand-père : trouver la Porte de la Promesse avant Lucifer et découvrir le secret de l’ange déchu…
Pendant ce temps, à New York, la belle Mimi Force a été élue Régente à la tête du Conclave. Elle est confrontée à un choix déchirant : traquer Jack qui l’a rejetée pour Théodora, ou tenter de sauver des Enfers Kingsley Martin, le Sang-d’Argent qu’elle aime en secret.
Qui des deux éternelles rivales accomplira sa mission sans perdre l’amour de sa vie ?

Mon avis : Spoiler des autres tomes !! J’ai trouvé ce tome était vraiment superbe c’est pourquoi j’ai pu le lire en une journée, c’est tellement un bonheur que de continuer une série qu’on aime ! Je peux encore dire que c’est un coup de cœur par tout les points de vue !

Parlons de l’intrigue, sans spoiler bien sur, elle est composée de trois grandes parties, qui présente Théodora Van Alen, Mimi Force et Deming Chen, une nouvelle personnage que vous allez beaucoup apprécié tant par sa beauté que sa force de vampire ! J’ai beaucoup aimé l’idée que l’auteur sépare les trois personnages en trois groupes, c’est mieux, de plus, les histoires se lient à la fin.  Donc, on voit que l’auteur se bonifie en écrivant !

La seule chose que je regrette dans ce tome et à partir de ce tome, c’est l’absence de Bliss qui était un personnage très sympathique, mais malheureusement elle s’est suicidée pour ne pas tuer sa meilleure amie dans le tome précédent ! On peux peut-être croire à un nouveau cycle de Bliss mais cela n’est pas possible, donc il faudra faire sans ! C’est sans doute le point le plus sombre de ma critique.

L''écriture est de plus en plus agréable, comme tout le monde, je remarque que l’auteur commence à acquérir un style bien particulier sans les paillettes des premiers tomes qui étaient un peu agaçant ! On est passé progressivement de la chick-lit avec des vampires à une bit-lit pure et dure que j’apprécie beaucoup ! J’apprécie vraiment l’écriture de cette auteur dont je lirai sans doute d’autres série, mais pas de la chick-lit !

Les relations entre les personnages sont complètement bousculés, les rôles aussi, les gentils passent pour des briseur de cœur alors que les soi-disant méchants se retrouvent un cœur qu’ils utilisent pour de nouvelles amitiés qu’on n’aurait pas cru ! L’amour est très présent dans le roman lié aux relations, c’est soit un amour mort soit une vengeance, voilà les thèmes principaux de ce roman.

On découvre un nouveau genre dans ce roman, je ne vous dirais pas lequel mais il est hybride très originale qui nous arriverait jamais à l’esprit ! Je vous laisse réfléchir et vous dit que l’auteur a su nous perturber pendant tout le roman, car elle commence à nous donner de fausses pistes qui nous troublent et nous font rechercher la vérité très compliqué !

Pour finir, je voudrais dire que j’attends avec impatience la sortie du prochain tome en novembre (je crois !), il devrait être explosif comme tout les autres ! Bonne lecture, et n’oubliez pas, lisez ce livre !

lundi 12 septembre 2011

Les fabuleuses aventures d’un Indien malchanceux qui devint milliardaire, Vikas Swarup

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Quatrième de couverture : Splendeur et misère de l'Inde d'aujourd'hui ou les rocambolesques aventures d'un gamin des rues qui rêve de devenir quelqu'un. Une galerie de portraits colorée, un voyage dans les recoins les plus sombres, d'un pays fascinant, une construction brillante pour une œuvre originale. Quand le jeune Rani Mohammad Thomas devient le grand vainqueur de " Qui veut gagner un milliard de roupies ? ", la production soupçonne immédiatement une tricherie. Comment un serveur de dix-huit ans, pauvre et inculte, serait-il assez malin pour répondre à douze questions pernicieuses ? Accusé d'escroquerie, sommé de s'expliquer, Ram replonge alors dans l'histoire de sa vie... Du prêtre louche qui laisse trop volontiers venir à lui les petits enfants à la capricieuse diva de Bollywood, du tueur à gages fou de cricket au diplomate australien qui espionne sa propre famille, des petits mendiants des bidonvilles de Bombay aux touristes fortunés du Taj Mahal, au fil de ses rencontres, le jeune homme va apprendre que la fortune sourit aux audacieux...

Mon avis : Un livre qui se laisse lire très vite allié à une idée originale qui marche, ça nous fait mon Coup de Coeur ! Je vais vous expliquer pourquoi j’ai tant aimé ce roman très intéressant, mais tout d’abord, j’aimerais vous le conseiller absolument !

Le titre est très long, je vous l’accorde mais cela n’a aucun rapport avec livre qui ne fait qu’en moyenne 360 pages, donc, le titre donne un mauvais aperçu sur la taille mais donne un très bon moyen de comprendre l’histoire, puisque ce titre regroupe toute l’histoire du début à la fin, c’est donc un titre-résumé qui ne devrait pas faire peur le lecteur. Je rajoute que le titre en VO était Q & A.

Parlons maintenant de l’intrigue, un serveur qui gagne un jeu télévisé, à partir de cette idée originale, l’auteur nous présente la vie de ce serveur avec un nom pas très commun Ram Mohammad Thomas. J’ai trouvé que l’histoire de sa vie était époustouflante, puisqu’il n’a pas eu une vie commune, mais un destin incomparable où le bien et le mal se mélange pour donner ce personnage. De plus, sa vie décrit un peu l’Inde, la pauvreté, la richesse, Bollywood et ses étoiles, les escrocs, les voleurs, les viols… Donc c’est une véritable fresque de l’Inde que j’ai vraiment pris plaisir à lire.

L’organisation du roman aussi est très intéressante et agréable, puisque le personnage nous raconte sa vie pour pouvoir justifier sa réponse de la question du jeu télévisé, puisque tout le monde croit qu’il a triché pour jouer à ce jeu, mais le fait est qu’il a vécu une vie tellement éparpillée qu’il connait beaucoup de choses grâce à ses connaissances. Cette organisation est vraiment superbe, elle m’a donné l’envie de lire pus vite ce livre, donc c’est un régal sans faute.

Parlons du personnage très atypique, il montre la diversité de l’Inde : la diversité religieuse, le narrateur s’appelle Ram Mohammad Thomas qui appartiennent à trois religieux différentes, la diversité sociale, il a vécu tant dans une église que dans une villa, même dans un shawl. Donc, ce personnage est vraiment très intéressant pour représenter son pays, on voit qu’il appartient à tout le monde et à personne, j’ai adoré le personnage crée par l’auteur.

La fin, une fin pas très surprenante mais très réconfortante sur le destin du personnage, car il va avoir une belle fin et le lecteur est heureux (comme moi !) qu’il y ait une belle fin. Donc, c’est pours toutes ces raisons que j’ai adoré ce livre et que c’est mon Coup de cœur !

dimanche 11 septembre 2011

In my mailbox ! (1)

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“In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.”

Si tout le monde fait un IMM , eh bien, moi aussi je peut le faire, donc je commence In my mailbox cette semaine, donc comme indiqué ci-dessus, je vais partagé mes livres reçus, achetés ou bien empruntés dans cette rubrique !

Cette semaine, je n’ai rien reçu, je n’ai rien acheté (pas encore, mais j’y pense !) mais j’ai emprunté deux livres à la bibliothèque ! J’ai pris la suite des Vampires de Manhattan, une série très réussi ! Et puis, j’ai trouvé Les fabuleuses aventures d’un Indien malchanceux qui devint milliardaire , que j’ai déjà commencé et beaucoup aimé !

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Voilà tout pour cette semaine et bonne lecture !!

jeudi 8 septembre 2011

Divagations d’un loup solitaire, Jean-François Joubert

10830-couverture-divagations-d-un-loup-solitaireQuatrième de couverture : Divagations d'un loup solitaire est un livre témoignage sur une vie qui bascule, passant du sourire aux larmes... Puis arrive l'extraordinaire, le fantastique, la couleur, la musique.
L'écriture de Jean-François Joubert est particulière, certains la disent poétique.
Jean-François JOUBERT est né à Brest en 1969, une ville où l'on parle souvent des îles qui l'entourent : Ouessant, Molène, Sein... La mer le berce depuis l'enfance et elle s'invite souvent dans ses rêveries. Elle est source d'inspiration, mais aussi de revenus. Pendant longtemps il a enseigné la voile au sein de différents clubs nautiques. Désirs de voyages, de rencontres, d'océans... et ce besoin d'écrire qui s'installe, comme une évidence. Dans ses tiroirs traînent des tentatives de romans aux airs surréalistes. Des nouvelles dans les recueils du coeur, deux livres, «désirs d'îles», et «le temps d'une révolution» mais aussi en 2009 «Le mage du Rumorvan» ouvrage qui n'est pas de cette même veine : voici son premier polar !
Une vieille histoire - un crime non résolu à L'Aber-Ildult - qui gisait dans l'inconscient collectif de son petit village de Bretagne et se détonnait de bouche en bouche. Cela a été le point de départ.
Puis vint «La petite sirène de Koort» aux éditions de l'écrit Au Livre, et son côté surréaliste, une farce, une enquête de fins limiers ainsi que «Bleu Terre» des éditions Les penchants du roseau, une balade poétique qui parle de la mer, de l'amour, de la mort Au mois de Juillet 2010, «Désirs d'îles» sortira dans la collection coup de coeur des éditions Edilivre, il s'agit d'un roman d'aventure.

Mon avis : Tout d’abord, je remercie l’auteur Jean-François Joubert et les agents littéraires pour m’avoir offert ce livre. Voilà, j’ai lu ce livre en une journée, et je peux dire que c’est un livre très particulier.

Quand je dis particulier, ça voudrait dire que mon avis est mitigé mais qu’il a changé tout de suite, et c’est le cas. La raison est que jusqu’à la fin, je me suis un peu ennuyé à lire cela sans savoir le but mais cela a complètement changé quand j’ai fini le livre, parce que la fin est superbe, elle est époustouflante, on a la réponse à toutes les choses “bizarres” de la vie. C’est pourquoi je vous conseille beaucoup ce livre qui est vraiment différent (en bien).

Parlons de l’écriture, j’ai trouvé que l’écriture de l’auteur est vraiment exceptionnelle, elle est d’une poésie surprenante, on se sent lire un recueil, avec les allitérations et autres figures qui ont embelli le texte. Donc, j’ai beaucoup apprécié l’écriture très surprenante qui m’a agréablement surpris.

Le thème, voilà la différence principal de ce roman, quand vous lisez la quatrième de couverture, on ne comprend pas grand chose, mais c’est par la suite que l’on comprend la différence du thème très étrange. Au début, personnellement, je n’avais pas vraiment compris de quoi il s’agissait mais par la suite au comprend que la première partie est une sorte de “biographie” alors que la deuxième partie relate un évènement en particulier. Donc, j’ai été un peu surpris au début de ne pas avoir compris, mais par la suite, j’ai compris et j’ai su apprécié.

Le point négatif du livre est comme je l’ai dit dans le paragraphe précédent, je n’ai pas compris l’histoire dès le début ce qui peut désavantager l’œuvre tout de suite. La chose est que le premier “chapitre” parle d’un évènement avec un peu trop de sous-entendus, c’est donc pour cette raison que je n’ai pas compris, mais à partir de la première partie, j’ai tout compris.

Pour finir, je vais parler de la pensée de l’auteur à travers le livre, puisque pendant la lecture, il reflète ses idées sur la société, surtout sur la fin, car il finit avec l’explication du “phénomène”, donc c’est très intéressant d’avoir l’idée de l’auteur. Pour refléter son idée, l’auteur met en place une métaphore sur l’utopie du monde moderne ce qui est vraiment très intéressant.

Donc, j’ai aimé ce livre malgré mon incompréhension du début, mais ce livre est conseillé, vous devriez le lire, il est très bien fait surtout pour la fin, bonne lecture et à la prochaine critique :)

mercredi 7 septembre 2011

Le Roman de Bergen : 1900– L’aube (tome 2)–Gunnar Staalesen

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Quatrième de couverture : Le rideau se lève sur Bergen dix ans après l’incendie qui l’a dévasté. Sven et Per, les fils de Christian Moland, sont devenus frères ennemis dans la grève sociale qui secoue la Norvège. Le conflit entre syndicalistes et police fait rage, et le monde s’affole, entre krach boursier et montée du fascisme. À Bergen, le vent glacial souffle toujours et une certaine « Mlle Pedersen » resurgit du passé…

Gunnar Staalesen est né en 1947 à Bergen, en Norvège. Il est célèbre pour sa série de polars mettant en scène le privé Varg Veum. Voici le 2e tome de la grande fresque sociale qu’il a consacrée à sa ville natale norvégienne : Le Roman de Bergen.

Mon avis : Je remercie encore une fois les éditions Points et Bibliofolie pour le livre, de plus j’avais reçu les deux tomes, donc c’était super, merci ! Mais cette fois-ci, tout a changé, je ne suis si emballé par ce roman, qui a pesé lourd cette fois-ci ! J’ai trouvé quelques défauts qui m’on beaucoup dérangé sont apparus, mais l’ensemble reste bien !

Tout d’abord, je vous raconte le problème avec ce livre, eh bien, la précision est devenue un réel calvaire dans ce roman, puisqu’il est présent partout, sans concession, tant dans des histoires d’amours que dans des problèmes. Pendant toute la lecture, on est assailli de détails concernant les problèmes sociaux du pays, cela m’a beaucoup ennuyé du fait que je ne m’intéressais pas vraiment à ce domaine dans ce pays ,alors que j’avais préféré le renouveau technologique du début du siècle dans le premier tome. Donc, un mauvais point pour la précision aveuglante du texte.

Passons à l’intrigue, eh bien, on se rend compte que le temps passe, les gens vieillies surtout ce qui enquêtaient en 1900, ils vieillissent, à la place, on laisse les enfants et de nouveaux personnages qui ouvre la possibilité de lien avec l’enquête. Comme je l’avais dit avant, l’enquête du consul Frimann est toujours un peu dans les têtes, personne ne l’a oublié, on se rend compte que certains personnages connaissaient des choses. Donc, l’intrigue est toujours à son niveau le plus haut.

Le cadre, comme vous le savez a été la Grande Guerre et les problèmes sociaux de la Norvège et de Bergen en particulier. On nous présente (un peu trop précisément) les “batailles” entre droite et gauche, dont les personnages sont dans le centre de l’action, ce qui ne permet pas d’arrêter l’histoire.

La fin, une fin très bien conçue, qui termine l’époque cité très abondamment dans le roman, donc, l’auteur exprime donc qu’un bouquin est une époque, ce que j’ai aimé comme symbolique. Pour la fin en elle-même, elle est vraiment triste et très intrigante en même temps.

Donc, finalement, j’ai rien d’autres à dire concernant l'’écriture et la série dont j’avais parlé dans la chronique du premier tome, donc, je n’ai pas apprécié le coté historique un peu trop prédominant, au contraire, l’intrigue est à son comble surtout à la fin.

mardi 6 septembre 2011

Le Roman de Bergen : 1900 - L’aube (tome 1)–Gunnar Staalesen

Quatrième de couverture : L’ébullition gagne Bergen, petite ville industrielle de Norvège, en ce jour glacial du XXe siècle naissant. Le chemin de fer se bâtit à toute allure, la famille royale est de passage et le meurtre du consul Frimann fait grand bruit parmi les notables. Tous sont fous de désir pour la sensuelle Maren Kristine Pedersen, qui a bien connu la victime. L’inspecteur Moland, pour son malheur, va succomber lui aussi…

Gunnar Staalesen est né en 1947 à Bergen, en Norvège. Il est célèbre pour sa série de polars mettant en scène le privé Varg Veum. L’Aube est le premier volume de la grande fresque sociale qu’il a consacrée à sa ville natale norvégienne, Le Roman de Bergen.

Mon avis: Tout d’abord, j’aimerais remercier les éditions Points et le site Bibliofolie de m’avoir fait confiance pour chroniquer ce livre et son deuxième tome . J’ai donc lu ce livre avec un immense plaisir, je l’ai beaucoup aimé, surtout pour sa superbe couverture très esthétique.

Premièrement, j’aimerais parler de l’intrigue sans en trop dire, il y a un meurtre dans la bourgeoisie à Bergen, deux policiers essayent de résoudre cette affaire mais cette enquête ne se termine pas dans son tome, puisqu’elle donne quelques indices pendant toute la lecture sur les coupables possibles. Pendant toute la lecture, on découvre le monde de la révolution industrielle en Norvège, et ses habitants, que l’on découvre un à un leur destin. Donc, j’ai aimé l’originalité qui constituait la base du roman.

L’écriture, voilà un sujet qui fâche sur les lecteurs de ce livre, puisqu’en regardant sur Goodreads, j’ai vu que certains pensait que la traduction était plate, alors que moi, contrairement, j’ai tout simplement adorer l’écriture dans ce tome. Elle est faites de belles descriptions qui décrivent la ville avec une qualité, de plus, on assiste à une description de travaux de chemin de fer qui m’a fait pensé à Zola avec Germinal, ce que je pense qui est très abusé, mais cet avis n’implique que moi.

J’ai beaucoup apprécié la présentation de la ville de Bergen sous le changement de la révolution industrielle, on voit à quel point tout peut changer, tout est en formation, le XIXème siècle est complètement enterré pour un monde nouveau. C’est donc cet aspect que j’ai aimé dans ce livre, la description du changement qui s’opère au fur et à mesure.

Les personnages, quant à eux, ils sont très nombreux, ils viennent s’ajouter à la panoplie des grandes familles, de plus leur noms sont vraiment difficiles ce qui nous permet de moins les reconnaitre, cependant, les personnages ont la qualité qu’ils sont durable, on ne les oublie pas tout de suite, ils s’inscrivent dans nos têtes ce qui est pratique pour quand l’auteur revient sur un fait d’un personnage précis. Donc chapeau pour l’auteur qui a su faire avec tant d’auteurs !

Le genre du roman de Gunnar Staalesen est vraiment indéfinissable à ce moment, puisqu'il y a une enquête qui ne semble pas vraiment prédominer même si… (il y a quelque chose), la raison est qu’on nous présente seulement les vies tragiques de certains personnages, donc pour l’instant on va dire que c’est un Thriller (mais particulier !) !

Parlons de la fin de ce tome qui se termine dans une touche très symbolique qui est un évènement de grande envergure qui montrera bien le clivage entre le XIXème et le XXème siècle, j’ai beaucoup cette symbolique qui est vraiment une bonne fin de ce tome ! Finalement, je félicite l’auteur d’avoir écrit un très beau livre que je considère un COUP de COEUR !

samedi 3 septembre 2011

Qui à déjà entendu parler de… ? (17)

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Vous avez déjà lu des livres nord-coréens, eh bien, c’est peu probables, puisque la couverture que vous voyez est le premier et le seul livre traduits du nord-coréens en français.

Ceci est un très “miracle” de publié un roman du pays le plus isolé du monde, mais les éditions Actes Sud ont pris le risque. Ceci nous permettra peut être de mieux comprendre le quotidien des personnes vivant dans ce pays, c’est ce qu’affirme le traducteur de ce roman.

L’histoire parle du divorce, un véritable action sociale et non quelque chose de privée.

Cette fois, la chronique est un peu courte mais ça ne fait rien ! Merci et bonne lecture Sourire

vendredi 2 septembre 2011

Unlimit yourself, Mumin Sekman

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Quatrième de couverture : The anatomy of flying with your own wings.
A step beyond your achievements, what awaits you?
How are the limits of human success defined?
How can a person determine what is and what isn't achievable?
To what extent should we push our limits?
In search of an answer to that question, this book draws on a wealth of sources, from the ancient Greek philosophers to American business gurus, from traditional Indian fables to Chinese sages.
The author employs Eastern wisdom and Western techniques to help the reader discover the boundless limits of human success.
If you'd like to soar on the wings of your own mind, this book will help you discover endless opportunities for success by teaching you to push your limits.

Mon avis : J’avais lu ce livre (en turque) pendant les vacances, mais je n’ai eu l’envie de le chroniquer d’aujourd’hui, je ne sais pas du tout si vous pouvez le procurer en anglais, mais il parait que oui ! Voilà, c’est un livre de développement personnel que j’ai beaucoup aimé et que je conseille si vous savez lire soit en anglais soit en turque !!

J’ai très apprécié les histoires sur lesquelles se base l’auteur, puisqu’il donne un exemple, l’histoire et il continue avec de la théorie, ces histoires sont très plaisantes et reflète bien les comportement à avoir pour réussir, puisqu'e le but de se livre est de faire réussir son lecteur !

L’écriture était bien mais je peux dire qu’elle était parfois très difficile à lire et à comprendre, car quand il parle de théorie, c’est vraiment complexe, mais quand il y a un exemple (l’avion), c’est très compréhensible. Donc, l’écriture était un peu compliqué !

Parlons de la couverture, elle est très belle, mais je n’ai pas vraiment compris la signification de la photo, mais je peux dire que c’est vraiment esthétique ! Je ne sais plus quoi dire, mais j’ai aimé cette lecture qui était parfois lourd à lire.

jeudi 1 septembre 2011

Mon bilan de lecture du mois d’Aout 2011

Voilà, les vacances c’est fini ! La rentrée n’est pas loin, mais pendant ce mois d’aout très mitigé, j’ai lu pas mal de livres, et surtout, mes coup de cœur étaient nombreux, avec seulement deux livres abandonnées ! Voici ce que j’ai lu pendant le mois d’aout :imageimageimageimageimageimageimageimage

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Les déceptions était au nombre de deux, les voici : imageimage

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais les coups de cœurs avait beaucoup de places dans le mois d’aout :imageimageimage

 

 

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Bonne lecture et bonne rentrée !!