Je déménage!

Vous vous demanderez pourquoi j’ai décidé de plateforme, et à quelle plateforme je suis allé ? Alors, je vous réponds tout de suite, je suis allé sur Wordpress. Pourquoi ? Parce que Wordpress offre beaucoup plus de libertés aux blogueurs et que c’est que je recherche. Donc, voilà, je suis passé là-bas.

Je serais très content que vous me suiviez dans mon nouveau blog, avec un nouveau thème, une nouvelle plateforme, je décide de commencer l’année de mon blog sous de bons auspices.

Voici le lien du blog sous wordpress. A savoir, je ne supprime pas celui-ci, mais il sera pas forcément mis à jour !

http://letteraturaa.wordpress.com/

lundi 28 mars 2011

Je vous propose… (2)

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" Deux grands lycées parisiens qui se sont déconnectés du système informatique du ministère et ont mis en place des modes d’admission parallèles. Des ministres (et un président) qui annoncent des réformes mais n’arrivent pas à les faire appliquer.Des enseignants qui font faire des dictées en cachette.Le CAPES que l’on donne à des candidats qui n’ont pas eu la moyenne et qu’on lâche ensuite dans des classes difficiles.Une pédagogie « nouvelle » où l’orthographe n’est plus « une fatalité » mais « une matière à discussion ».Après la Nomenklatura, l’omerta, la franc-maçonnerie, entre autres sujets sensibles, Sophie Coignard met à nu l’Education nationale. Ses ministres, ses idéologues, ses syndicats, tous ceux qui depuis 25 ans mènent à la ruine l’école.Le plus scandaleux ? Ils agissent en toute impunité.A l’origine de cet immense gâchis, un Pacte Immoral entre les élites qui prétendent nous gouverner et les apparatchiks qui sacrifient par pur cynisme nos enfants.Ceci n’est pas un livre sur l’éducation. En tout cas pas seulement. C’est d’abord un document féroce et un récit effarant sur l’hypocrisie et la lâcheté du pouvoir. " (www.bibliosurf.com)

dimanche 27 mars 2011

Oscar et la dame rose, Eric-Emmanuel Schmitt

imageQuatrième de couverture : Oscar a dix ans et il vit à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. La dame rose, qui le visite et « qui croit au ciel », lui propose, pour qu'il se sente moins seul, d'écrire à Dieu.

À travers cette correspondance originale, le récit aborde, du point de vue de l'enfance, des questions philosophiques et existentielles : la maladie, la souffrance, le passage de la vie à la mort, la rencontre avec l'autre et avec le mystère... Les nombreux passages de paroles rapportées permettront aux élèves de réfléchir, en même temps que les personnages, à ces interrogations fondamentales et de découvrir ou d'approfondir les techniques du dialogue argumentatif. En outre, l'appareil pédagogique est suivi d'une interview exclusive d'Éric-Emmanuel Schmitt.

Mon avis : Un livre très court en quantité mais débordant de qualité. Je vous conseille de le lire, il se lit en maximum deux ou trois heures. J’ai trouvé ce livre très formateur sur de grandes questions comme la vie, la mort mais aussi la religion. Le sujet est triste, surtout la fin qui nous bouleverse complètement.Cependant, j’ai trouvé des moments très drôles surtout la façon dont parle Oscar à Dieu, il est tellement innocent qu’il lui parle très franchement.  Le récit est fondé sur Oscar, le personnage principal mais aussi sur Mamie-Rose qui conseille cet enfant.

Résumé : Oscar est atteinte d’une leucémie, il vit dans un hôpital où tous le monde est triste envers lui, mais il n’y a qu’une personne qui est franc avec lui : c’est Mamie-Rose. C’est une soit-disant ancienne catcheuse, qui vient voir les enfants malades dans les hôpitaux.

Spoiler (moment intense de l’intrigue) :

Il demande à Oscar d’écrire à Dieu, pendant les doux jours où ils pourront se voir tous les jours. Elle dit qu’il devra compté le jour pour dix ans. Il écrit chaque jour ses aventures dans sa vie, en les comparant avec son âge virtuel : son haine envers ses parents,son amour avec Peggy Blue, sa fugue chez Mamie-Rose, la visite de Dieu et autres.

A ses vingt-ans virtuels,il tombe amoureux de Peggy, une petite fille malade. Ils dormiront même ensemble, mais à ses quarante-ans, ils vivront une courte pause et continueront leur amour jusqu’à ce qu’elle parte de l’hôpital.

Le jour de noël, il décide de fuguer, il rentre dans la voiture de Mamie-Rose. Lorsqu’elle le découvre, ils parlent de ses parents, alors elle les appellera et vivront un noël très heureux.

Un jour, Oscar et Mamie-Rose partent à la chapelle où Oscar voit pour la première fois le visage de Dieu. Ils parleront de la souffrance, Oscar sait déjà qu’il va mourir bientôt.

Peggy s’en va, Oscar ne parle plus à Dieu. Mais quand Dieu viendra lui rendre visite, il lui sera reconnaissant. Alors un jour, il meurt, c’est alors que Mamie-Rose écrit une lettre à Dieu pour lui remercier d’avoir connu cet enfant.

samedi 26 mars 2011

L'Arabe, Antoine Audouard


Quatrième de couverture : Un inconnu vient se réfugier en un lieu où il croit trouver la tranquillité : une cave donnant sur une petite place, dans un village du Sud. Un inconnu : un Arabe. Le jour, il charrie des tonnes de cailloux sur un chantier de terrassement. Le soir il rentre dans son trou. Pourquoi se cache-t-il ? Le village s’agite, une hostilité sourde monte de la terre. Ici, il n’est pas chez lui et ne le sera jamais. L’Arabe n’entend rien, se berce de l’illusion qu’à force de vivre invisible, il finira par disparaitre. Lorsqu’un meurtre est commis sur la place, cette illusion se dissipe. Aux yeux de tous, c’est lui le coupable. Mais les forces qui se dressent contre lui sont anciennes, comme le feu, la rage, la peur. Pour leur échapper, se rendre invisible ne suffira plus. L’Arabe est un grand roman « sudiste », où des personnages de Faulkner ou de Flannery O’Connor traverseraient des paysages à la Giono. Le Sud d’Antoine Audouard est lui aussi un vieux pays vaincu, peuplé de figures tour à tour tragiques et grotesques. Écrit dans une langue où le parler populaire se mêle à un lyrisme altier, ce roman qui multiplie les dissonances et les ruptures de ton est l’œuvre d’un écrivain accompli.
Mon avis : Voici le premier livre depuis l'ouverture du blog que je n'est pas aimé. Mais Pourquoi ? Au début ça allait plutôt bien, je comprenais parfaitement le livre, l'action, l'environnement des personnages. Je peut aussi dire que cette environnement était très raciste envers l'Arabe. Le problème est que, plus je lisais, plus je ne comprenais plus ce que voulait dire le narrateur, il mélangeait le passé et le présent dans les chapitres. En fin de compte, je peut facilement dire que je n'aie pas apprécié le livre à cause de sa complexité, mais l'intrigue était plutôt intéressante.
L'auteur écrit d'une façon fluide, mais il change le cadre spatio-temporel dans chaque chapitre, ce qui m'a fait abandonner ce livre à la 100ème page.
Pour finir, j'aimerais dire que ce livre a un très bon sujet, mais il doit être lu par des lecteurs avertis de la difficulté. Donc, je vais maintenant vous résumer, avec ce que j'aie compris dans le texte.
Résumé : Mamine n'aime pas vraiment les Arabes qui viennent en France, comme à peu près tout le quartier environnant, c'est la raison pour laquelle Juste est averti contre l'Arabe qui lui a loué la cave.
L'Arabe est venue pour travailler dans une entreprise de cailloux, il vit dans la cave de Juste. Personne l'approche sauf Noémie avec qui il se promène.
Quand Noémie est tué, le premier suspect est son ex-mari, qui avoue l'avoir violer et tuer devant Trevor, leur enfant.Mais Mamine avertit la police d'une possibilité de complicité avec l'Arabe. Pour la suite, je vous conseille de le lire, mais oublier pas, doucement.

Qui a déjà entendu parler de... ? (3)

Les vampires sont maintenant partout, on les retrouve dans le coin jeunesse des librairies ou bien à la télé, mais qu’est-ce-qui a fait que le vampire est devenu à la mode.

Le premier libre ayant ouvert le marché des vampires est le célèbre Twilight du célèbre auteur Stephenie Meyer, qui a été une véritable explosions de ventes, car il a été vendu à plus de deux millions d’exemplaires. Bien sur, les autres écrivains qui ont compris l’ampleur du marché se sont ruer à écrire des histoires qui ressemblent fortement à cette série de livres.


On recense, donc, plusieurs livres qui traite sur le vampire, on a Journal d’un Vampire divisée en cinq tomes qui raconte l’histoire d’une fille qui tombe amoureux d’un vampire italien. Cette saga a été adaptée sur TF1 , en tant que Vampire Diaries. Il y a aussi Les Vampires de Manhattan, une sage de cinq livres qui raconte l’histoire d’un groupe de vampires. Je vois aussi Rendez-vous avec un vampire, où  une fille se retrouve dans un monde de vampires après sa mort. Il y a Emma contre les vampires , Vampire Academy , Emotional Vampires , et encore bien d’autres que je ne pourrais citer.


 

Il n’y a pas que les livres dans ce marché, on retrouve aussi des séries télévisées et des films adaptée des livres. Il y a les films de Twilight, les séries de Vampires Diaries et d’autres.

lundi 21 mars 2011

L’Homme qui voulait être heureux, Laurent Gounelle

imageQuatrième de couverture : Imaginez… Vous êtes en vacances à Bali et peu de temps avant votre retour, vous consultez un vieux guérisseur. Sans raison particulière, juste parce que sa grande réputation vous a donné envie de le rencontrer, au cas où… Son diagnostic est formel : vous êtes en bonne santé, mais vous n’êtes pas… heureux. Porteur d’une sagesse infinie, ce vieil homme semble vous connaitre mieux que vous-même. L’éclairage très particulier qu’il apporte à votre vécu va vous entrainer dans l’aventure la plus captivante qui soit : celle de la découverte de soi. Les expériences dans lesquelles il vous conduit vont bouleverser votre vie, en vous donnant les clés d’une existence à la hauteur de vos rêves.

Avec L’homme qui voulait être heureux, c’est tout un monde de possibilités nouvelles qui s’ouvre à nous à la lecture de cette histoire passionnante, où l’on découvre comment se libérer de ce qui nous empêche d’être vraiment heureux.

Mon avis : Un très bon livre concernant le développement personnel, non ce n’est pas ni une méthode ni un cours, c’est seulement l’histoire d’un homme qui découvre qu’il n’ait pas heureux à partir d’un guérisseur, qui essaye de le soigner.
Les principales idées qui revienne du récit sont :
- nous avons des croyances personnels qui nous crée la sphère de réalité
- nous avons toujours le choix, nous devons être le maitre de notre destin
- nous pouvons réaliser nos rêves en ayant des personnes qui nous soutiennent.
J’ais beaucoup aimé ce livre, car il ne prend pas particulièrement l’histoire d’un personnage, mais celui de tous les Hommes. J’ai surtout aimé la fin, que vous dévoilerai.

Résumé : Notre personnage est en vacances à Bali, il décide de rendre visite chez un guérisseur ; il n’a pas de problème, mais il est juste curieux. Il trouve sa route avec un peu de difficulté, mais arrivé le guérisseur le palpe et lui touche l’orteil, qui lui fait très mal. Il en conclue donc que l’homme est triste.

Le guérisseur affirme qu’il se sent triste à cause de ses défauts, il pense être moche, il dit qu’en fait, c’est que l’homme croit être moche donc ce comporte de cette façon, ce qui montre aux autres ses défauts. A la fin de la séance, le guérisseur lui donne un devoir : aller au vidéoclub pour voir l’exemple de Nicole Kidman.

Le lendemain, l’homme dit qu’il n’y est pas aller, alors que le guérisseur dit qu’il avait peur de se voir confronter à la réalité. L’Homme en général croit à des croyances personnels qui lui font une réalité.

Spoiler (moment intense de l’intrigue) :

Les jours suivant, l’homme découvrira par le biais du guérisseur que la psychologie est un des éléments clés pour la guérison des maladies. Mais maintenant, l’homme travaille sur son rêve et sa réalisation. Le guérisseur essaye de lui faire prendre des débuts concrets pour son rêve pour qu’il devienne réalité. Le guérisseur déclare que faire le choix est très important.

C’est alors qu’il lui reste qu’une séance, alors qu’il doit partir avant celle-là, il doit faire le choix. Il prend le choix de repousser son avion, en payant presque le prix du billet.

Le dernier jour, il vient chez le guérisseur mais il apprend qu’il n’est pas là. Cela l’énerve, mais quand il lit la lettre, qui dit que maintenant qu’il a su prendre une décision, il pouvait continuer tout seul et que son apprentissage était fini.  Il s’amusa pour son dernier jour à Bali, content de sa cure.

dimanche 20 mars 2011

Des livres sur un autre format : les e-books

Je sais que tout le monde parle de ce sujet, dans chaque blog, mais j’ai voulu vous donner des informations en plus sur ce nouveau format, que l’on peut aussi trouver gratuitement.
On distingue les deux types de format pour des romans, le format papier et le format numérique. Aujourd’hui, on va voir le format numérique, qui commence à se faire connaitre.
Mais en quoi consiste-t-il ?
Les livres en format numérique sont des livres que l’on trouve soit sur ordinateur soit sur des readers spécifiques. Les livres sont des fichiers que l’on ouvre pour lire. c’est le même texte sous forme numérique. Ses fichiers sont généralement payants, on peut les acheter à partir du site Amazon ou bien la Fnac.
Qu’est-ce-que des readers ?
Ce sont des appareils qui permettent de lire des fichiers du format pdf. Il en existe de très nombreux modèles, dont ceux de poche. On recense le Cybook Opus, le Bebook mini ou bien Sony Reader.
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Où trouver des ebooks ?
On trouve des e-books sur le site Amazon, mais on peut aussi en trouver dans le site Fnac.  Ce sont des sites payants, cependant on trouve des sites où l’on peut se procurer des livres gratuitement et légalement.
http://www.ebooksgratuits.com/ un site où on trouve de nombreux livres gratuitement, ils sont d’une bonne qualité.
http://www.livrespourtous.com/ un site où l’on peut trouve de la même façon des livres de très nombreux genres.

Je vous propose… (1)

image" Olivia et Emily, des demi-sœurs, vivent une enfance heureuse dans l’Angleterre des années 1950. Jusqu’au jour où Mo et Pa font un troisième enfant : Rosie, la petite princesse, leur préférée. Une vraie peste. Peu à peu, Rosie parvient à empoisonner l’existence de toute la famille, poussant Olivia et Emily dans leurs derniers retranchements. Comment s’en débarrasser ? Coups bas, manipulations en tous genres, vengeances : impossible de s’ennuyer à la lecture de ce roman jubilatoire, aux héroïnes aussi cyniques que déjantées. Un festival d’humour noir !

Willa Marsh brosse un tableau acide des relations fraternelles, de l’âge tendre jusqu’à la retraite sur le petit air de « famille je vous hais ». […] L’humour évidemment très british offre un efficace contrepoids au cynisme du propos. Françoise Dargent, Le Figaro littéraire. " (www.bibliosurf.com)

samedi 19 mars 2011

L’Olympe des Infortunes, Yasmina Khadra

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Quatrième de couverture : L'Olympe des Infortunes est un terrain vague coincé entre une décharge publique et la mer, où se décomposent au soleil des dieux déchus. Il y a Ach le Borgne, qui sait mieux que personne magnifier les clochards ; Junior le Simplet ; Mama la Fantomatique : le Pacha et sa cour de soûlards, et bien d'autres personnages encore, aussi obscurs qu'attachants. C'est un pays de mirages et de grande solitude où toutes les hontes sont bues comme sont tus les plus terribles secrets.

Mon avis : Ce roman commence très bien, on lui trouve une écriture fluide, compréhensible et très facile à lire. Les personnages présents sont naïfs, ils vivent à l’écart de la société jusqu’à l’arrivée de Ben Adam qui va tout bouleverser.

Le problème est que nous comprenons pas vraiment d’où ils sont venus, surtout pour Junior qui ne sait absolument rien du tout sur la ville, et ses habitudes.

On se retrouve dans le terrain vague sans savoir vraiment l’espace et le temps qui nous attirent.

Leur mode de vie sont très différents de la notre, on se croirait en Préhistoire, car ils n’ont tout simplement rien de matériel. Ils ont seulement accès à leur sentiments, on distingue la relation amicale entre Junior et Ach le borgne.

Je pense que, la fin est très tragique, car  Junior est heureux de retrouver Ach, alors que Ach se sent coupable, donc s’enfuie.

Résumé : Junior et Ach le Borgne vivent dans le terrain vague entre la mer et la ville, ils ont une peur bleue de la ville. On les appelle des Horr, des personnes libres qui vivent près de la mer sans prétention matériel. Il y a de nombreuses personnes dans ce terrain vague, Négus, Clovis, Bliss, Haroun le Sourd et encore bien d’autres.

Junior est considéré comme stupide, donc il veut apprendre des choses de la vie en le demandant à son ami Ach. Ach n’aime pas que Junior reste avec le Pacha et ses amis. Un jour, Ach ramène une tente toute neuve qu’il a trouvé , ils sont contents de pouvoir l’avoir. Junior sait que Le Borgne ne le lâcherait jamais, car ils sont amis.

Un jour, Junior vient près de Négus qui regarde Haroun se noyer, en même  temps, il dit que Pipo est resté en ville, et que le Pacha le cherche mais qu’il ne l’a pas trouvé. Cela inquiète Ach, qui essaye de parler au Pacha, alors, on voit Pipo arrivé, le Pacha retrouve son amant et il n’y a plus de problème.

Un de ces jours, Bliss vient chez Ach et Junior pour leurs dire que Haroun est très malade, alors, ils s’en vont le voir. Ach et Bliss vont chercher Einstein pour trouver une solution, alors Junior garde Haroun. Mais il voit qu’une femme vient le prendre et il s’en va, alors il regarde à la place de Haroun et le voit mort. Cela semble très bizarre.

Spoiler (moment intense de l’intrigue) :


Lors d’une conversation entre le Pacha et ses amis, un homme nommé Ben Adam vient parler du bien et du mal, il dit qu’il a vécu à toutes les époques et qu’il connait tout. Junior est fascinée de cet homme, il l’écoutera pendant des journées, jusqu’à ce qu’il sera renvoyé par le Pacha. Ben Adam lui racontait des histoires et lui disait que le terrain vague n’est pas la vraie vie, et qu’il ne savait pas ce qu’était une femme. Mais l’homme éternel sera renvoyé par le Pacha avec le soutien de Ach, mais quand il voit Ben Adam pour la dernière fois, il dit que Junior n’est pas son chien et qu’il est ni stupide ni bête.

Ces mots toucheront beaucoup Ach, qui aura du remord pour Junior. Alors, en entama la conversation avec Junior, il lui dit de partir en ville, que cela serait meilleur pour lui. Junior est bouleversé, il ne sait plus quoi dire, donc il accepte.

Il part, mais longtemps après, il revient avec une main en moins et un caractère complètement différent. En ville, il s’est retrouvé au bagne, où il a souffert pour être libéré. Maintenant, il sait qu’il aime davantage le terrain vague et que Ach avait raison, cependant Ach se sent coupable, donc il le quittera dès le matin pour la ville.

Qui a déjà entendu parler de… ? (2)

Le deuxième article de cette rubrique consacré à l’actualité plus ou moins près de la littérature. Aujourd’hui, il concerne le salon du livre de Paris, ce week-end.
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Cette années, le salon du livre se tiens du 18 au 21 mars 2011 au , donc ce week-end.
Les thèmes principaux sont la littérature nordique (qui était sur l’affiche des principaux magazines littéraires) et aussi la ville de Buenos Aires et l’outre-mer sera invitée.
Le polar et le thriller seront davantage mis en valeur, avec son augmentation cette années, avec les vampires. Mais aussi serial lecteurs, qui regroupera les séries de livres, comme Twilight
Pour le reste, vous savez, c’est toujours la même chose, les prix littéraires, les livres, les auteurs. Mais cette année, l’e-book sera la vedette.
LES LETTRES NORDIQUES A L’HONNEUR
Dans cinq pays nordiques, qui sont le Danemark, la Finlande, l’Islande, la Norvège et la Suède, il y a eu 40 auteurs invités pour le salon du livre. Il y en n’aura forcément que vous connaissez.
LA CAPITALE MONDIALE DU LIVRE 2011 : BUENOS AIRES
Il y a plus de 20 auteurs invités au salon, venue de la cité portena. C’est la première fois que la capitale mondiale du livre est appelé pour le salon du livre.
L’ANNEE DES OUTRE-MER
Quelques auteurs ultramarins sont invités au salon, ce programme est soutenu par le Ministère de l'Outre-mer et du Commissariat. En effet, on sait bien que l’héritage culturel et la créativité vient majoritairement de la France.
SPECIAL SUSPENSE
Tout les genres y sont conviés, le romans, mangas, bande dessinée qui soit policier, thriller ou suspense. Ce sera composé d’expositions, de débats et aussi de projections.
SERIAL LECTEURS
Ses derniers temps, les lecteurs se fidélisent davantage sur les livre en série. Que ce soit des romans (Millénium) ou bien des mangas, le lecteur apprécie de retrouver le même personnage dans de conditions différentes.
Cela montre le savoir-faire des auteurs pour laissés en suspens l’action dans chaque livre.

vendredi 18 mars 2011

Quelles sont les différentes fonctions de la littérature ?

Une question, à laquelle on peut répondre de plusieurs façon selon les point de vue. Pour quelqu’un ayant fait un minimum d’études de lettres, nous pouvons comprendre les différentes fonctions, envers le lecteur.
imageNous séparons les fonctions envers le lecteur, et ses fonctions envers la société. Nous verrons, dans la première partie, les fonctions de la littérature envers  le lecteur, en effet la littérature doit faire plaisir son lecteur, lui apprendre quelque chose, lui donner un avis. Pour la deuxième partie, nous verrons ses fonctions envers la société, soit en dénonçant, soit critiquant ou encore en faisant de l’art pour la société.
Une des fonctions de la littérature est envers son lecteur, elle se doit de lui donner de l’effet lors de sa lecture. En effet, l’auteur doit, avant tout, faire plaisir à son lecteur. Mais comment un auteur peut-il faire plaisir son lectorat ?
Eh bien, en premier, nous pouvons dire que la qualité de l’écriture est un des critères pour l’appréciation d’un livre. Ceci parait logique, car l’on ne lit pas un livre d’une qualité médiocre ; car notre société est habitué à l’idéal de qualité. Quand on dit qualité médiocre, cela signifie qu’il n’y a soit pas d’âme dans l’écriture soit une écriture truffée de fautes. Cependant, si l’on entend parler d’un livre ayant un âme, le lecteur lira ce livre. Sans la qualité des livres, je pense que, la littérature n’existerait pas ; c’est donc pour cela que la littérature doit faire plaisir à lire, la littérature sert donc à cela. Mais il n’y a pas que cela dans les critères d’appréciation, car on trouve autant le côté didactique de l’œuvre.
Quand je dis “côté didactique”, je veut dire qu’un livre doit nous apprendre au moins quelque chose, soit de la vie soit de la science. On nous disait, enfant, de lire pour devenir moins bête, ce qui nous renvoi à la fonction didactique d’un livre qui est essentielle. Un livre où l’on n’apprend pas grand chose, ni sur les personnages fictifs ni sur la science , ne sert strictement à rien. Déjà, tous les livres apprennent forcément quelque chose, car l’ont apprend les personnages, leurs milieu de vie. Donc, la littérature doit forcément servir à apprendre quelque chose. Quand on lit un livre, il doit nous servir à nous faire plaisir, à nous apprendre quelque chose, et aussi vous donner son opinion sur un thème.
Prenons l’exemple de l’écologie, un thème assez récent où l’on voit le nombres d’œuvres augmenté. Les uns défendent une opinion et nie complètement les autres, alors que les autres vous le présente pour vous permettre de vous forger une opinion. Nous allons nous intéresser aux autres, qui nous présente le thème pour nous permettre d’apprendre et aussi de nous donner lieu à penser sur l’opinion à prendre. Le livre étant objectif, vous pensez sur les qualités et défauts de ce thème, ce qui vous amènera à être près des opposants ou des alliés. Je peut dire que ces livres sont généralement soit des documentaires soit des témoignages mais il peut y avoir aussi des romans qui présentent des situations avec ce sujet, qui peuvent donner lieu à se forger une opinion personnelle. Donc, pour certains ou la majorité des livres, ils servent aussi à prendre position.
La littérature ne s’occupe pas seulement des lecteurs, mais aussi de la société, de la politique avec de nombreuses fonctions à ses côtés.
Elle peut servir à critiquer le gouvernement au pouvoir. Ce cas n’est possible, seulement si le pays est en démocratie et accepte les critiques, car sinon, cette œuvre sera sans-doute censurée. Comme de nombreux philosophes des Lumières, comme Voltaire ou Montesquieu, qui eux, ont critiquer le pouvoir absolu du roi, pour parvenir à donner des idées lors de la révolution française. Donc certaines œuvres, ont pour fonction, critiquer le gouvernement au pouvoir, soit pour l’avertir de ses défauts, soit pour avertir le peuple d’arrêter ce qu’il se passe. Mais il y a aussi des autres moyens de critère, à part le dire ouvertement, c’est de passer par des métaphores et comparaisons, comme l’avait faire Jean de La Fontaine , qui critiquait la société en changeant les humains en animaux. Donc, la littérature a parfois fonction de critiquer le gouvernement, mais parfois, aussi, on trouve des auteurs qui dénonce des comportements de la société.
En effet, de nombreux auteurs dénonce de nombreuses choses sur la société d’aujourd’hui pour qu’elle évolue dans le bon sens. Pour exemple, Victor Hugo dénonça la pauvreté ou bien la peine de mort. Cela a permis à la France, de trouver des solutions a de nombreux problèmes. Ici, l’auteur est subjectif, donc il peut être contre l’opinion majoritaire, mais cela ne l’arrête car il continue à dénoncer de nombreux phénomènes de société. On  voit bien qu’ici, la fonction de la littérature est davantage importante car elle concerne de vrais problèmes de société. Elle a un impact important sur l’évolution des mœurs et habitudes de la société dans laquelle elle se trouve. Donc, on peut en conclure en disant qu’une des fonctions est de dénoncer des faits de société en utilisant la littérature comme moyen de diffusion. La littérature a aussi une fonction particulière à la société, c’est l’art de la littérature.
Finalement, je finis avec la fonction la plus surprenante, qui est que la littérature sert à faire de l’art, car la littérature est un art. Les Parnassiens, par exemple, firent des œuvres sans aucune prétention au niveau du sens mais donnait vraiment beaucoup d’attentions à la mélodie que produit la poésie. Il faisait de “l’art pour l’art”, mais il n’y a pas que ces œuvres qui sont considérées comme de l’art. La littérature ayant des prétentions au niveau du sens peuvent aussi faire partie de l’art du pays, car soit elle présente un esthétique mélodieux soit un esthétique organisationnelle. Donc cette fonction n’est pas indispensable, car l’important est aujourd’hui, considéré comme le sens et l’âme du livre.
Contrairement à ce que de nombreuses personnes pense, la littérature sert à beaucoup de choses, soit envers le lectorat soit envers la société. Elle permet même de faire évoluer une société.

mercredi 16 mars 2011

Je vous présente les rubriques de la semaine

MERCREDI
Sans titre
A partir d’aujourd’hui, je vais écrire un article au minimum tous les mercredis sur différentes musique (majoritairement de la musique classique). Donc, je vous ferais part de mon avis sur l’œuvre tout en l’analysant.
Je ne suis ni professeur de musique ni musicien, donc mes articles et mes analyses sont novices, donc je ne pourrais pas utiliser des mots techniques.
Je commence dès aujourd’hui avec une musique étrange et qui fait peur.
SAMEDI
Images libres de droit
J’ai changé le logo de cette rubrique du samedi, mais ne vous inquiétez pas pour la photo, c’est une photo libres de droit.
Cette rubrique consiste à vous détendre avec des actualités intéressantes et passionnantes sur la littérature ou autres art.
LUNDISans titre3
Une nouvelle rubrique que je vous propose pour le lundi. Dans celle-là, on y trouvera soit un livre que je n’ais pas encore lu mais que j’ai entendu être un chef-d’œuvre soit une liste de livres que j’aime bien pour une raison.
Si vous voulez une autre rubrique précise, vous pouvez me le demander par commentaires. En outre, les livres sont diffusées selon ma lecture.

mardi 15 mars 2011

Les magazines littéraires

Il existe, à ce jour, plusieurs magazines que l’on pourrait nommer de littéraire, mais il y en a pas excessivement beaucoup. Je pense que, ces magazines ne sont pas vraiment vendu beaucoup, et c’est la raison pour laquelle le nombre est limité. Je vais vous en citer quelques un, mais la liste ne sera pas exhaustive.
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Lire, un magazine qui sort tous les mois, les sujets traités sont très intéressants et attractifs, on y trouve même de long passages extraits de livres.
Ici, dans cet exemple, il s’agit de l’édition pour ce mois-ci qui concerne la littérature des pays nordiques.
Je le trouve très contemporain, il présente la littérature comme un sujet “cool”.

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Le Magazine Littéraire, une revue mensuelle, où on trouve une partie dédiés à l’écrivain et l’autre à l’œuvre en elle-même. Il y a de nombreux dossiers pour chaque numéro.
Ce mois-ci, cette revue se destine à présenter les littérature nordiques, d’ailleurs comme son ami Lire, qui traite le même sujet à cause du Salon du livre de cette année.
Je pense que l’organisation de ce magazine est très appropriée.

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Books mag, une revue un peu différente des autres , car elle traite des sujets d’actualité en les alliant à la cause de la littérature. On trouve, chaque numéro, un dossier dédié à un sujet d’actualité sans en oublier sa littérature.
Ce mois-ci, le sujet du dossier est les révolutions arables et leur histoire, donc il est proche de l’actualité.
Un bon livre pour ce qui aime le mélange d’actualité aux livres.
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Plume, un magazine trimestriel que je ne connait pas vraiment, mais qui semble vraiment accueillant. Il semblerait qu’il s’intéresse davantage à l’écriture, aux manuscrits qu’à la littérature.
Ce mois-ci, il s’intéresse à Brassens, au poète et à son manuscrit.
Je peut vous le conseiller car sa forme semble plutôt sympa.
HORS-SUJET

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Philosophie magazine, un magazine qui n’a presque rien à voir avec la littérature mais avec la philosophie, cependant ces articles sont très pertinents contrairement à ce qu’on pourrait penser de la philosophie.
Ce mois-ci, le sujet est le fait d’être normal, une question que l’on peut dire d’actualité.
Je vous conseille vivement ce magazine, qui montrera l’autre face de la philosophie.

lundi 14 mars 2011

La mécanique du cœur, Mathias Malzieu

imageQuatrième de couverture : Edimbourg, 1874.
Jack nait le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Mi-sorcière mi-chaman, la sage-femme qui aide à. l'accouchement parvient à sauver le nourrisson en remplaçant le cœur défectueux par une horloge. Cette prothèse fonctionne et Jack vivra, à condition d'éviter toute charge émotionnelle : pas de colère donc, et surtout, surtout, pas d'état amoureux. Mais le regard de braise d'une petite chanteuse de rue mettra le cœur de fortune de notre héros à rude épreuve prêt à toit pour la retrouver, Jack se lance tel Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais jusqu'aux arcades de Grenade et lui fera connaitre les délices de l'amour comme sa cruauté. Conte désuéto-moderne mâtiné de western-spaghetti, La Mécanique du Cœur vibre d'une rugueuse force poétique où l'humour est toujours présent. Mathias Malzieu soumet aux grands enfants que nous sommes une réflexion très. personnelle sur la passion amoureuse et le rejet de la différence, donnant naissance à un petit frère de Pinocchio qui aurait fait un tour chez les Freaks de Todd Browning.
Mon avis : Je vous conseille ce livre qui est très bien conçu, surtout la différence d’époques entre le narrateur et le personnage, car le narrateur utilise des expressions d’aujourd’hui alors que l’histoire se passe au XIXème siècle. On trouve des référence à Jack l’éventreur dans son voyage.On retrouve, vers la fin, la répétition de “Ô madeleine”. On remarque, dès le début, le ton enfantin utilisé par le narrateur qui procure un plaisir à lire ce livre. De plus, ce livre est très court, donc je vous le propose à lire.
Résumé : Un enfant né le 16 avril 1874,le jour le plus froid du monde,  d’une prostituée le laisse chez Docteur Madeleine qui vit sur Arthur’s Seat à Edimbourg. Mais, l’enfant né, on découvre que son cœur est gelé, donc elle décide d’insérer une horloge pour le faire fonctionner : ça marche.
Pendant tout son enfance, Jack, sera rejeter des parents voulant adopter à cause de son horloge dans le cœur. Cela lui fait poser des questions, il veut sortir dehors, mais Madeleine ne veut pas. Enfin, à l’anniversaire de ces dix ans, il découvre le monde extérieur,où il est surpris de tout, et il tombera amoureux d’une petite chanteuse. Madeleine ne veut pas qu’il goute l’amour parce que cela peut le tuer, à cause de son horloge.
Il demande cette fille à tous le monde, enfin, il ira à l’école pour la voir mais elle n’y sera pas. Donc, il sera harcelé et humilié par Joe, à qui il avait la questions pour la petite chanteuse. Mais, un jour, il en a assez, et décide de se battre, il crèvera un œil de Joe et s’enfuira vers l’Andalousie pour voir sa petite chanteuse.
Il fait la route seul jusqu’à Paris, où il rencontrera un horloger-magicien avec qui il continuera sa route. Arrivés, il découvre sa petite chanteuse, ils se donnent rendez-vous, où ils s’embrasseront. Jack trouvera un métier, pour vivre et voir sa petite amoureuse.
Spoiler (moment intense de l’intrigue) :
Mais Joe, arrivera pour gagner le cœur de la petite chanteuse, et manigancera pour troubler le couple de Jack et la petite chanteuse. Il réussira, jusqu’à ce que Jack arrache son horloge pour montrer son amour, et qu’il se blesse.

Alors, l’horloger lui donnera un nouveau cœur. Réveillés, il se voit dire les révélations de sa vie, qui sont que l’horloge-cœur n’était pas un besoin et qu’il pouvait vivre sans, qu’il a passé trois ans dans le coma et qu’il a une nouvelle horloge.
Donc, il décide de revoir sa bien-aimée qui ne le reconnaitra plus, et qui pensera qu’il est mort. Jusqu’à temps que Jack lui montre son ancienne horloge, et qu’elle lui dise que Jack n’existe plus.

Le cœur parcourra un trajet jusqu’à venir dans la maison de Madeleine, qui était morte depuis le départ de Jack. La petite chanteuse deviendra célèbre et Joe restera seul, en Andalousie; alors que Jack s’en ira à Andalousie.

dimanche 13 mars 2011

Istanbul souvenirs d’une ville, Orhan Pamuk

imageQuatrième de couverture : Évocation d'une ville, roman de formation et réflexion sur la mélancolie, Istanbul est tout cela à la fois.
Au fil des pages, Orhan Pamuk se remémore ses promenades d'enfant, à pied, en voiture ou en bateau, et nous entraine à travers ruelles en pente et jardins, sur les rives du Bosphore, devant des villas décrépies, dessinant ainsi le portrait fascinant d'une métropole en déclin. Ancienne capitale d'un vaste empire, Istanbul se cherche une identité, entre tradition et modernité, religion et laïcité, et les changements qui altèrent son visage n'échappent pas au regard de l'écrivain, fin connaisseur de son histoire, d'autant que ces transformations accompagnent une autre déchirure, bien plus intime et douloureuse, provoquée par la lente désagrégation de la famille Pamuk - une famille dont les membres, grands-parents, oncles et tantes, ont tous vécu dans le même immeuble - et par la dérive à la fois financière et affective de ses parents.
Dans cette œuvre foisonnante, magistralement composée et richement illustrée, Orhan Pamuk nous propose de remonter avec lui le temps de son éducation sentimentale et, in fine, de lire le roman de la naissance d'un écrivain.
Orhan Pamuk, né en 1952 à Istanbul, est l'auteur notamment de Mon nom est Rouge (2001, prix du Meilleur Livre étranger) et de Neige (2005, prix Médicis étranger et prix Méditerranée). Son œuvre est traduite dans plus de quarante langues. Il est le lauréat du prix Nobel de littérature 2006.
Mon avis : Un livre autobiographique qui se passe dans une ville, Istanbul, où la pauvreté et la tristesse y règne.  J’ai beaucoup aimé ce livre, car il raconte son histoire pour toujours revenir à la tristesse d’Istanbul qui est en ruine, car on veut oublié l’empire Ottoman. De plus, j’aime beaucoup les détails donné par le narrateur, sur les lieux qui lui sont chers. On trouve également de nombreuses référence à la littérature française que l’auteur apprécie pour leur commentaires sur Istanbul. On est un peu troublé par le mélange entre les souvenirs et les commentaires du présent. Nous percevons immédiatement les recherches effectués pour l’écriture de ce livre, car on y présente la biographie de nombreux auteurs et des coupures de presse. J’ai cependant remarqué quelques fautes de syntaxe, qui m’ont perturbé et la chronologie qui est très mélangé au début, mais cela devient davantage compréhensible vers la fin.
Résumé : Né le 7 juin 1952, Orhan est issue d’une une famille aisée d’Istanbul qui est en phase d’occidentalisation, qu’il critiquera. Sa famille au sens large vivent dans l’immeuble Pamuk, où ils rient et sont heureux à l’apparence, alors que des disputes sont passées sous-silence. Son père et son oncle perdent de plus en plus l’argent hérité de leur parents, ils vont faire faillite.
Ses meilleurs souvenirs d’enfance sont quand son frère commença à partir à l’école. Alors, Orhan découvrira son sexe, il a aussi une imagination débordante, qui lui font un monde dit parallèle. Il aiment se promener avec sa mère, mais il constate le changement de son environnement, car les maisons en bois et les konaks sont brulés au profit des immeubles occidentaux, et les pavés sont changés en asphalte. Il voit la ville en noir & blanc car il comprend la tristesse du paysage, et sa pauvreté. Il nous dit que les yalis au bord du Bosphore sont l’œuvre de la culture turco-ottomane.
Il se désole de voir la ville s’occidentaliser pour devenir moins belle, il nous dit qu’il apprécie beaucoup les gravures de Melling qui montre la beauté de la ville au XIXème siècle. Ses parents se disputaient beaucoup, parfois son père s’en allait alors que d’autres fois les deux s’en allaient et les enfants étaient déposés chez les proches, et ils allaient voir leur mères. Orhan Pamuk nous décrit le mot “hüzün” comme le sentiment vécu des Stambouliotes envers leur ville qui s’efface de l’empreinte ottomane.
Il nous donne le nom de ses quatre auteurs turc qui reflète bien le “hüzün” , ce sont Koçu, Abdülhak Sinasi Hisar, Yahya Kemal et Hamdi Tanpinar, qui ont fait de la littérature sur les ruines d’Istanbul en alliant le nationalisme turc et la vague d’occidentalisation.  Orhan commence à l’école , où il apprend la stupidité des gens et la lecture, alors il devient un très bon élève. En apprenant à lire, il commence à lire tous ce qu’il voit. De plus, Orhan commence à dessiner, cela lui plait, de plus il dessine bien.
Il nous parler des épistoliers urbain d’Istanbul qui sont Ahmet Rasim, qui a déjà été victime d’un malentendu auprès du Chambellan d’Abdülmecit ; mais il y a aussi Ali Efendi Basiretçi, qui écrirent sur la beauté de la ville. Il s’interesse ainsi à Koçu et son Encyclopédie d’Istanbul, qu’il définit d’une œuvre occidental raté.
Enfant, Orhan avait une idée très singulière de la représentation de Dieu, et il pensait aussi (comme toute sa famille) que la religion était faites pour les pauvres. Mais il fit quand même un jour de jeûne, qui surpris sa mère. Les riches, dans ce temps, ne parlaient pas trop car sinon les autorités de l’Etat pouvait penser qu’ils ont gagner cette argent d’une façon illégale. L’auteur définit les riches (comme lui) des personnes qui se battaient pour leur héritage, et qui faisait comme si.
La famille nucléaire de Orhan s’appauvrissait donc ils déménagèrent. Orhan, quand à lui, comptait les bateaux sur le Bosphore, alors il dit que de nombreux accidents de bateaux se produisaient sur le Bosphore et que les Stambouliotes ne pouvait que regarder.
Il raconte les voyages des occidentaux à Istanbul, comme celui de Nerval qui vint le mois du ramadan pour voir la beauté de la ville, car il était “malade”, mais il vit que Istanbul était un théâtre dont il ne faut pas entrer dans les coulisses. Alors son ami Gautier viendra pour écrire une œuvre davantage fluide que celle de Nerval sur Istanbul, ils travaillera comme un journaliste pour voir ses “coulisses'” , qu’il trouve très mélancolique. Le narrateur dénonce en même temps que l’histoire d’Istanbul n’a été écrit que par des occidentaux.
Yahya Kemal et Tanpinar écrivirent des texte en contrepoint aux auteurs occidentaux, car ils exprimèrent la mélancolie de ses quartiers reculés mais aussi leur âme nationaliste. Les dessinateurs et photographes produisent des œuvres sur les quartiers traditionnels et non occidentalisés.
Orhan nous parle des bagarres avec son frère, qui lui procurait un sentiment de liberté. Mais son frère s’en ira aux Etats-Unis pour ses études, et Orhan part au lycée, où il sèchera beaucoup les cours. Il nous présente ses amis , deux groupes qu’il distingue bien, les uns sont riches, les autres sont davantage des intellectuels, mais il sait qu’il doit se forcer pour avoir des relations sociales. Quand il a une montée de haine, il se dit détester Istanbul à cause de sa pollution, que tout y est incomplet comme l’occidentalisation ou la culture ottomane. Alors, il s’isole dans sa chambre.
Spoiler (moment intense de l’intrigue) :
Orhan à l’université découvrira l’amour avec une certaine fille qu’il ne dévoilera pas le nom.Ils se sont rencontrés l’été, mais sont devenus davantage intime à partir de novembre, où Orhan la dessinait dans l’ancien appartement de Cihangir, qu’il utilise comme atelier. Mais, un problème persiste, le père de la fille veut le séparer car Orhan est un peintre. Alors, il emmènera sa fille en Suisse, donc ils ne se reverront plus jamais. Cela l’influença beaucoup.

Il sèche l’université pour se promener dans des rues délabrées. Ces rues délabrées et le vapur lui procurent le monde parallèle qu’il avait quand il était enfant.

Mais, quand il parle avec sa mère, ils se disputent de ce sujet de l’université. Sa mère ne veut pas que son enfant soit peintre, qu’il soit méprisé. Mais Orhan dira qu’il veut être écrivain.

samedi 12 mars 2011

Qui a déjà entendu parler de… ? (1)

Voici une rubrique que j’ais créer spécialement pour les actualités concernant le monde de l’écriture ou de l’édition
Sans titre2Aujourd’hui, je vais vous parler du nouveau format de livre papier des Editions du Seuil : Point deux , qui va sortir le 14 avril.
Auriez-vous imaginer que le monde du livre papier subirait une évolution ? Moi, certainement, je pensais que les livres ne changerait jamais de taille ou de forme, mais il y a eu une grande évolution dans le monde du livre papier.
Mais vous me demanderez, pourquoi ? Bien sur, pour concurrencer avec le commerce du e-book qui se développe, donc le livre papier se dit dans la course.
A quoi peut-on comparer cette évolution du livre ? Eh bien, je constate que ce changement ressemble beaucoup à l’invention du livre de poche dans le siècle précédent. Quand on voit le succès du livre de poche, on se demande bien si ce nouveau livre papier fera aussi le même succès que son ainé.
Mais comment se présente ce nouveau livre papier ? Si vous entendez cela pour la première fois, je pense que vous mourez d’envie de voir le concept. Bah, le voici, où on voit La cinquième femme de Henning Mankell en format point 2 et les dimensions de celui-ci, qui sont 12*8 cm.
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En quoi est-il différent des livres de poches ? Premièrement, comme vous le voyer, c’est flagrant, c’est la taille de ce dernier, 12*8 cm, alors que le livre de poche fait  11*8 cm.  Deuxièmement, le sens de lecture change de 90°, pour devenir une lecture de haut en bas, et non de gauche à droite. Dernièrement, je parlerais de la reliure qu’on dit souple, car ce point 2 définit comme objectif, une souplesse allié à une vrai solidité. Le dernier défi est que la page reste ouverte.
Le seul inconvénient est que le nombre de page soit bien supérieur aux livres de poches que l’on vénèrent. Dès sa sortie, je compte en prendre quelques un pour l’essayer, je vous ferai parvenir mes résultats sur la qualité.
Mais quand sort ce nouveau format ? L’édition lancera sa première “série” le 14 avril 2011, avec neuf titres :
- La route de Cormac McCarthy
- Tout est sous contrôle de Hugh Laurie
- Extrêmement fort et incroyablement près de Jonathan Safran Foer
- Ce cher Dexter de Jeff Lindsay
- Chroniques de la haine ordinaire de Pierre Desproges
- Le poète de Michael Connelly
- Des vents contraires d'Olivier Adam
- La cinquième femme de Henning Mankell
- Le sens du bonheur de Krishnamurti
Il y a aura la deuxième “série” aux alentours de mai et juin 2011, qui comportera 8 livres.

mardi 8 mars 2011

La poésie doit-elle être toujours esthétique ?

De plus en plus, les poètes se sentent libres de créer des poèmes très différents des normes, donc il y en a que certain ne trouve pas esthétique.
Mais que veut dire “esthétique” et “poésie” , donc je vais vous montrer les définitions des deux mots clés de la questions , qui sont “poésie” et “esthétique”.
Poésie : Art de combiner les sonorités,les rythmes, les mots d’une langue pour évoquer des images, suggérer des sensations, des émotions.
Esthétique : Qui a un rapport au sens du beau, à la perception du beau.
imageDonc, dans la définition première de la poésie, l’esthétique et la beauté ne sont pas cités, mais l’on apprend dans la définition de l’esthétique, l’importance de la notion du beau.
L’esthétique est la perception du beau, donc le beau doit être vu comme tel. Comme on peut constater que la perception est quelque chose de totalement subjectif, la perception du beau l’est aussi. Donc chacun peut avoir différents point de vue sur une œuvre d’art, par exemple.
Comme le dit si bien Voltaire , “Demandez à un crapaud ce que c’est que la beauté, le grand beau, le to kalon. Il vous répondra que c’est sa crapaude avec deux gros yeux ronds sortant de sa petite tête, une gueule large et plate, un ventre jaune, un dos brun. Interrogez un nègre de Guinée ; le beau est pour lui une peau noire, huileuse, des yeux enfoncés, un nez épaté. “.
Ainsi, on peut dire, comme tout le monde le sait, que l’esthétique d’un objet est relatif à la personne qui le regarde. Donc, une poésie peut être esthétique pour l’un, laid pour l’autre.
Peut-on dire que la beauté vient de la laideur ? Est-il possible d’une poésie traitant un sujet laid peut-il procurer une beauté spécifique?
Je pense, moi, qu’il est possible de produire un effet comme celui-ci, comme dans les fleurs du mal qui part de ce principe; surtout, dans le poème la Charogne.
Voyons l’exemple de la Charogne de Baudelaire, ici, dans ce poème. Le thème tourne autour de la charogne, pour nous faire comprendre le carpe diem, que toute chose à une fin. Certains comprendront le sens premier, la charogne et l’horrible image que cela procure, alors que d’autres en tireront une leçon sur la fin de toute objet. De plus, la charogne, qui renvoie à la laideur, nous envoie dans l’amour du poète et sa déclaration.
Donc, on peut ainsi dire que la beauté provient de la laideur, comme nous avons pu le voir dans l’exemple.
Mais, tout simplement, un poème ne peut-il pas être laid, doit-il obligatoirement respecté des règles ? Voilà une question qui pourra bien répondre à la question essentielle.
Une poésie est un art qui veut donner des sensations ou bien des émotions, donc le but n’est pas de faire le poème le plus beau, mais de faire le poème qui rapporte le plus de sentiments. Donc, contrairement aux préjugés, le poème n’est pas que de la beauté mais du sens. Je pense, que la beauté n’est qu’un effet de paraitre, mais que le sens est l’être, lui-même.
La poésie est un concentré d’émotions qui n’a pas besoin d’une beauté particulière, car un poème est beau avec ce qu’il nous fait sentir. De plus, je crois que la beauté vient de laideur,donc un poème est beau dans sa laideur. Déjà, la beauté est un sentiment subjectif.

dimanche 6 mars 2011

A quoi ça sert de lire un livre ?

Voilà une questions essentielle pour ce type de blog. On va, ici, analyser les fonctions de la lecture.
imageDéjà, définissons le livre, “Assemblage de feuilles imprimées et réunies en un volume relié ou broché ; ce volume imprimé considéré du point de vue de son contenu”. La première partie de cette définition nous montre la construction du livre, du point de vue matériel , cependant la seconde et dernière partie, nous dévoile l’importance du contenu du livre. Donc, on peut en conclure que le livre à deux faces, la face matériel et immatériel  ; ce qui est caractéristique de l’art, donc l'écriture ou le livre est un art à part entière. Mais à quoi sert vraiment l’art, particulièrement l’écriture ?
Tout d’abord, j’aimerais dire que l’art sert à se fonder une culture. La culture, elle, sert à comprendre le monde dans lequel on vit, déchiffrer les anciennes civilisations. La culture sert à devenir un Homme avec un grand H pour désigner l’espèce. La culture nous permet de voir le monde avec d’autres œil ; comme par exemple les publicités : certains savent très bien qu’ils servent à nous inciter à acheter des produits sans qu’on en est besoin, mais c’est même personnes achètent quand même des produits sous l’influence de la publicité ; néanmoins, ils savent qu’ils sont influencés par celle-là. Alors qu’une personne ignore cette vérité sera un consommateur non éclairé, qui achètera sans savoir cette vérité. Vous allez peut-être me dire que cela revient à la même chose, mais non, car une des personnes ignore ce qu’il la poussé à cela. Ne confondez pas, je ne veux pas dire que les personnes qui n’ont pas de culture sont méprisables. Ah, ça non ! Car tous le monde a de la culture en soit, il faut seulement la nourrir de réflexion et de lecture. De plus, la culture n’est pas toujours accessible (voir l’article L’accès à la lecture : des progrès en cours) , mais la culture n’a pas toujours besoin d’un support, on peut acquérir une culture avec ses propre moyens : en réfléchissant sur la société dans laquelle on vit.
Donc, si je me permet de conclure, la première fonction de l’écriture et de la lecture sont l’acquisition d’une culture qui nous permettra bien comprendre la vie et la société d’aujourd’hui, donc la lecture d’un livre vous donnera de très bonne chose sur le long-terme, comme le dit si bien Jules Renard , “Chacune de nos lectures laisse une graine qui germe.”
La lecture permet de rentrer dans le fond des pensées des auteurs, “comment ça ?” allez vous me dire. Voilà, chaque personne qui écrit un livre, dévoile sans le savoir sa vision du monde, ses sentiments enfouis dans l’inconscient. Par exemple, moi je n’écris pas de la même façon que vous, parce que moi j’ai des tournures de phrases différentes de tout le monde, je fais des fautes spécifiques. Donc, lire un livre, c’est découvrir les sentiments les plus cachés de l’auteur, même si vous le connaissez comme ami, vous connaitrez de nouvelles facettes de cet auteur.
On peut donc dire, aisément, que la seconde fonction de la lecture est la découverte d’un monde enfouis appartenant à l’auteur, donc on peut comparer le livre à la signature d’un auteur.
De nos jours, les scientifiques trouvent de nouvelles étoiles, de nouvelles planètes, alors que les lecteurs découvre eux, soit de nouvelles civilisations, soit des civilisations perdus et anciennes. Donc, le livre est une étoile et son lectorat, un groupe de scientifique qui l’a cherche et l’analyse. J’ai choisi cette comparaison pour vous démontrer à quelle point la lecture d’un livre est une démarche scientifique dans une nouvelle terre, car le livre n’est presque jamais abstrait car on y peint un nouveau monde que personne connait, donc l’auteur se sent obligé de dépeindre un cadre précis, surtout quand l’intrigue se situe dans un monde nouveau. Ce monde nouveau à ses propres lois, mœurs et habitudes.
La troisième fonction est la découverte d’un monde nouveau ou révolu. Chaque livre cache en lui, une part de nouveau, donc les mêmes thèmes présente différents attraits de ce monde. Donc, on peut aussi dire que chaque livre est unique, dans cette multitude de livre.
Si vous avez aimé cet analyse sur cette “question philosophique”, je pourrais continuer…

samedi 5 mars 2011

Vipère au poing, Hervé Bazin

imageQuatrième de couverture : Ce roman, le plus célèbre de l'auteur, est aussi largement autobiographique. Comme dans l'ensemble de son œuvre, Hervé Bazin y donne les raisons de sa haine et de son combat contre toutes les oppressions familiales et sociales. Vipère au poing raconte la lutte impitoyable livrée par Brasse-Bouillon, alias Jean Rezeau, ainsi que ses frères, contre leur mère, une marâtre odieuse, calculatrice et violente. Folcoche, ainsi que ses enfants la nomment, règne avec autorité sur une famille angevine bien-pensante, ne lésinant pas sur les coups de fouet, les brimades et les humiliations. Mais Brasse-Bouillon est malin, vif et clairvoyant. Il affronte sa mère en lui tendant à son tour les pièges qui l'aideront à avoir raison d'elle.

Au premier degré, le livre possède un incontestable humour qui marque les esprits (inoubliable Folcoche, parangon de méchanceté !). Mais, il est avant tout un cri d'enfant et la dénonciation d'un certain modèle d'éducation qui fit longtemps les beaux jours des familles françaises. Pour son auteur, cela reste à tout jamais un traumatisme et un échec,

Mon avis : Un très bon livre qui parle de la relation entre mère et fils, une relation qui se tisse autour de la haine et de la ressemblance, car même s’ils ne le montrent pas, Folcoche et Jean sont presque similaire, ils veulent faire du mal à l’autre.

Résumé : Jean a attrapé une vipère dans le jardin, il l’étrangle et la tue. Il la compare à sa mère, Folcoche. Quand Melle Lion voit cela, elle appelle tout le monde pour voir le désastre. Jean Rézeau a deux frères : Frédie qui vit avec lui chez leurs grand-mère, Marcel qui vit avec leurs parents en Chine.

Leurs grand-mère meurt, donc les parents sont contraints de venir. Ils viendront en huit mois,avec un accueil pas très chaleureux de la part de la mère. De leurs arrivés, des règles draconiennes furent installés. Mme Rézeau vira Melle Lion , et augmenta la sévérité de ses règles. Leurs pères face à cette mère impitoyable reste muet. Mais il y a un problème, Folcoche (le surnom de Mme Rézeau donné par Frédie) passe d’une crise.

Le jour de la fête annuelle des Rézeau est préparée, mais le jour même elle fit encore une crise. Plus le temps passait, plus ses crises augmentaient. Alors , elle fut contraint d’aller en clinique où elle resta plus de trois mois. Pendant l’absence de Folcoche, les enfants sont très libres de leurs actes, mais Jean (ou Brasse-Bouillon) ressent un manque considérable de Folcoche. Ils ont préparés un coffre-fort où toutes leurs “fortunes” étaient cachés.

Quand Mme Rézeau arrive, elle réessaye d’instaurer ses nouvelles règles mais en vain, car les enfants ont grandis. Donc, elle change de technique, elle essaye d’avoir des informations à partir de Cropette, ou Frédie mais en vain. M. Rézeau décide d’aller chez son ami, il partira avec Frédie et Brasse-Bouillon, mais Cropette ne partira pas. Pendant le voyage, Cropette dénonce ses frères pour le coffre-fort et reçoit en échange un vélo.

Arrivés du voyage, Frédie est punie pour le coffre-fort alors que c’était un projet des trois enfants. Brasse-Bouillon comprend qu’elle essaye de les séparé, donc ils se soudent encore plus. Alors M.Rézeau effacera la punition de Frédie le jour de sa fête.

Spoiler (moment intense de l’intrigue)  :

La méfiance s’installe dans la maison, à chaque faute une punition. Les enfants essayent de tuer leur mère, deux fois mais ils ne réussirent pas. Pour leurs deuxième essai, Jean fut punit pour une faute bien moins grave.Il conteste sa faute en s’enfermant dans sa chambre, et en allant même à Paris pour que les parents de Folcoche rendent justice. Il sera pardonné.

Mais après ce désastre, Mme Rézeau a peur de Jean, et ne le punit pas. Jean s’occupe, quand à lui, de sa vie amoureuse, il rencontre Madeleine avec qui, il aura une relation.

Mais quand il apprend que sa mère prépare un complot (Mme Rézeau veut faire croire qu’il a volé son portefeuille, mais Jean lui redonne tout de suite après) , il retourne ce complot à son avantage, en lui demanda de quitter la maison pour le collège. Alors leurs père affirment, quelques jours après, qu’ils seront envoyés en collège.

mercredi 2 mars 2011

L’accès à la lecture : des progrès en cours

Vous savez comme moi, que la lecture n''est pas accessible à tous pour des raisons financières. Dans cet article, je vais vous présenté les faits, et montrer les solutions envisagés.
1. Il faut pouvoir lire .
De nombreux pays n’ont pas accès à la lecture, car ils ne savent pas lire, le taux d’analphabétisme est très fort en Afrique Subsaharienne. Vous pouvez voir dans la carte, que les pays du Sud sont les plus touchés par l’analphabétisme, car ses pays manquent de moyens suffisants pour créer des écoles et autres lieux.
image

Donc, le premier problème d’accès à la lecture est l’analphabétisme, donc une solution doit être trouvé pour apprendre la lecture à ses populations.
2. Les campagnes d’alphabétisation
Voilà une solution qui permet l’alphabétisation du plus grand nombre, une campagne d’alphabétisation consiste à sélectionner une partie d’une population pour leur apprendre progressivement la lecture et l’écriture.
Ecole aux PhillipinesPar exemple, en Phillipines, il y a le Programme de développement et d’apprentissage des adultes basé sur la communauté (CALDP) qui travaille en collaboration avec l’organisation non gouvernementale PILCD.
Ici , le programme consiste à apprendre la lecture et l’écriture de base, à développer des formations pour certains, apprendre à faire une agriculture pour d’autres
3. Pas assez d’argent pour les livres
Les populations pauvres ne lisent pas ou peu, car soit ils ne savent pas lire soit il n’ont pas assez d’argent pour en acheter. Donc, le problème de l’accès à la lecture est aussi une questions d’argent, voyons un peu l’état de la pauvreté dans le monde.
imageNous pouvons voir le même scénario pour les pays du Sud.
4. L’aide international
La scène internationale est très vaste, les pays pauvres et riches sont nombreux donc les organisations des pays riches peuvent aidés les pauvres. Mais comment ? En construisant des bibliothèques, en donnant des livres…
imageVoilà une organisation non-gouvernementale que j’ai découvert en faisant mes recherches : Bibliothèques Sans Frontières.
Leurs missions est de soutenir les bibliothèques dans les pays pauvres, en construire, former le personnel,aide à l’édition locale…
C’est une organisation fabuleuse qui agit dans de nombreux pays comme le Niger, le Tchad mais aussi la France, la Géorgie.