Je déménage!

Vous vous demanderez pourquoi j’ai décidé de plateforme, et à quelle plateforme je suis allé ? Alors, je vous réponds tout de suite, je suis allé sur Wordpress. Pourquoi ? Parce que Wordpress offre beaucoup plus de libertés aux blogueurs et que c’est que je recherche. Donc, voilà, je suis passé là-bas.

Je serais très content que vous me suiviez dans mon nouveau blog, avec un nouveau thème, une nouvelle plateforme, je décide de commencer l’année de mon blog sous de bons auspices.

Voici le lien du blog sous wordpress. A savoir, je ne supprime pas celui-ci, mais il sera pas forcément mis à jour !

http://letteraturaa.wordpress.com/

lundi 31 octobre 2011

Journal d’un vampire, L.J.Smith

imageQuatrième de couverture : Dès l'arrivée de Stefan Salvatore à Fell's Church, Elena, la reine du lycée, se jure de la séduire. D'abord distant, le garçon aux allures d'ange rebelle finit par céder à sa passion dévorante et lui révéler son terrible secret. Quelques siècles plus tôt, la femme qu'il aimait l'a transformé en vampire, avant de le trahir avec son frère ennemi, Damon. Des évènements tragiques se succèdent bientôt dans la région. Tout accuse Stefan mais Elena est convaincue de son innocence. Et si Damon, vampire cruel et assoiffé de sang, était derrière tout cela ? L'histoire est-elle amenée à se répéter ? Le récit captivant de deux frères vampires déchirés par l'amour d'une même femme. Un triangle amoureux d'une dangereuse sensualité.

Mon avis  : Une lecture assez rapide mais quelque peu mitigé du fait des thèmes dominant du livre, comme vous le remarquez sans doute, c’est ma 2ème saga de vampires que je commence avec envie, mais ce n’est pas si simple que cela.

Tout d’abord, j’ai remarqué que l’écriture de ce livre était assez correcte, moi qui avait avant des préjugés contre ces livres, je croyais qu’il y avait une “écriture bâclée“ mais ce n’est pas le cas, puisque l’écriture est belle, simple et légère comme pour tous les livres Young Adult, donc je n’ai pas vraiment été surpris de l’écriture ! Elle permet aussi de tout comprendre sans difficulté, puisqu’il est mélangé le journal d’Elena et le narrateur.

Passons aux choses qui fâchent, c’est l’intrigue qui m’a quelque peu déçu puisqu’au début, c’est l’histoire d’amour d’Elena à Stefan qui l’ignore, comme Elena est une fille assez égoïste, elle se croit le centre du monde et ne comprend pas pourquoi elle est ignorée par lui ? Les pensées égoïstes m’ont vraiment beaucoup dérangé, j’aurais aimé avoir de l’action plutôt qu’un discours d’une petite fille gâtée qui allait presque me faire abandonnée ce livre.

Mais par miracle, les actions viennent peu à peu, même si l’amour est à l’arrière plan, elle ne dérange plus autant qu’au début, puisque cela devient un amour qui change le caractère de la fille, donc on nous décrit un amour serein avec de l’action très intéressante et très mystérieuse, puisqu’il y a quelque chose qui s’abat sur la petite ville de Fell’s Church mais personne ne comprend rien même pas Stefan… mais à la fin, on découvre la source des meurtres !

J’ai beaucoup apprécié le coté historique de Stefan Salvatore, dans lequel il raconte sa vie antérieure auprès d’une fille, j’aime bien que l’on insère de l’histoire dans les histoires de vampire, comme dans Les Vampires de Manhattan, donc j’ai apprécié les moments où il décrivait sa vie d’avant qui était complètement différente !

Les personnages sont vraiment très contradictoires, puisqu’il y a du gentil, du méchant, de l’égoïste et de tout… Parlons d’Elena qui est la reine du lycée est une fille gâtée de tout, elle est habitué à tout avoir mais quand elle s’aperçoit qu’elle n’arrive pas à avoir le nouveau, elle fait des crises d’hystéries qui ne m’a pas du tout émut, au contraire cela m’a vraiment énervée qu’elle puisse croire avoir tout ce qu’elle veut. Mais par la suite, son sentiment change complètement, avec l’arrivée de Stefan, elle est détesté du lycée mais cela ne l’intéresse plus, elle est folle d’amour et plus gentille, je préfère sincèrement la Elena d’après qui donne beaucoup d’importance au sentiment qu’au paraitre.

Il y a aussi Stefan et Damon Salvatore qui sont vraiment le contraire de l’autre mais qui ont aimé la même femme, et que maintenant, ils se détestent, l’un veut tuer l’autre, donc, l’amour de Stefan sera menacé par Damon, dont l’on ne connait pas grand chose au début, mais on commence à connaitre sa face diabolique par la suite ! Donc, en conclusion pour les personnages, ils sont très différents, ils ont des caractères assez relevé !

La fin est vraiment belle, puisque tout finit pas très bien, donc l’auteur apporte quelque détails qui feront le tome prochain, donc une bonne fin qui nous laisse en suspens !!! Que va devenir Elena ?? Et que va faire Damon ?? voilà toutes les questions que l’on se pose à la fin ce roman.

Donc, je conclue en disant que c’est léger, facilement oubliable pour les amnésiques (pour les détails, je parle, évidemment ) mais quand même, cela vous fera passer du bon temps !! Bonne lecture à tous et je vous souhaite un bon lundi à tout le monde !!

dimanche 30 octobre 2011

In my mailbox (7)

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“In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boite aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.”

Cette semaine, à cause de ma maladie, je ne vais rien pouvoir vous présenter car je ne rien acheté/reçu/emprunté. Mais quand même, je vous présente mes emprunts que j’avais oublié de présenter, au moins il y aura quelque chose à dire :

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Je pense que Le cimetière des bateaux sans nom n’est pas trop mon style, mais quand même, je vais essayer de le lire. Pour World Trade Center 47è étage, je l’ai lu et je vais vous en faire une chronique puisque je l’ai bien aimé. Voilà pour cette semaine !

Mais vous, qu’avez-vous reçu cette semaine ?

mardi 25 octobre 2011

Lune de sang, Todd Ritter

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Quatrième de couverture :  La nuit du 20 juillet 1969, Neil Armstrong pose le pied sur la lune.

Au même moment, Charlie Olmstead, 9 ans, disparait à Perry Hollow, New Jersey. L’enquête menée par la police locale conclut à un accident. 

Des années plus tard, le dossier de cette disparition est rouvert par son frère, Eric. Il veut faire la lumière sur cette affaire, qui montre de curieuses similarités avec la disparition de six autres enfants, entre 1969 et 1972.  

Aidé  par un ancien flic, Nick Donnelly, et par le shérif Kate Campbell, Eric va faire d’étranges découvertes. Sous le calme apparent de la routine provinciale, le passé va, en effet, se révéler tragique. Les habitants de Perry Hollow ont, tous, une histoire enfouie dont l’acmé se situe… le 20 juillet 1969.  

Des personnages asociaux ou psychopathes, une écriture vive et directe, de nombreuses pistes où se perdent le lecteur, une intrigue habilement construite… Todd Ritter signe un deuxième thriller réussi que les lecteurs auront du mal à lâcher. 

Originaire de Pennsylvanie, Todd Ritter est journaliste pour le Star-Ledge, le plus grand quotidien du New Jersey et a couvert de nombreuses enquêtes criminelles. Son premier roman Death Notice a été publié en 2010.

Mon avis : Je remercie le blog Madamecharlotte et Ixelles Editions pour m'avoir permis de lire ce livre dont je suis quelque peu mitigé. Cependant, je dirais d'abord que la couverture est vraiment superbe, elle est très mystérieuse et nous montre déjà l'ambiance de l'histoire.

Premièrement, parlons des choses qui fâchent, eh bien, c'est l'écriture puisque je n'est pas du tout apprécié l'écriture et le style de l'auteur, peut être que, la version originale était meilleur, mais en français, je reste très sceptique, puisque malgré une bonne histoire, l'écriture gâche tout le récit. C'est pourquoi, je peut dire que je me suis ennuyée à lire les moments faibles de ce roman, puisque pour moi, l'écriture était assez faible. Donc, pour l'écriture, ce n'est pas un bon point, alors que c'est la base d'un roman.

Pour continuer, on peut parler de l'intrigue qui était très intéressante contrairement à l'écriture, puisque c'est l'histoire d'une enquête rouverte 40 ans après, il semble que c'est impossible de la résoudre, mais ce n'est pas l'avis de l'auteur. On suit cette enquête avec trois personnages, Nick Donnely, Kate Campbell et Eric Olmstead. La qualité de ce thriller ou policier est que l'on ne connait pas le coupable jusqu'à la fin du livre, on nous donne, certes des coupables possibles, mais à la fin, j'étais époustouflé par le "coupable" si on peut encore l'appeler comme ça. L'auteur retourne, modifie complètement l'histoire du début à la fin, il ne laisse rien du début, tout est bouleversé et cela est super, puisqu'on ne peut pas trouver le coupable, on est obligé de suivre le lecteur. Donc, l'intrigue est superbe, je l'ai très apprécié même avec une faible écriture, l'histoire est superbe.

Les personnages de ce roman sont vraiment pas communs, il y a toutes sortes de gens, certains nous font peur alors qu'ils sont vraiment aimable, l'histoire a aussi beaucoup de personnages qui cachent de grands secrets, certains meurent sans rien avoir dit, alors que d'autres avouent la vérité, mais le résultat, l'affaire sera bouclé, mais des questions persisteront sur Charlie Olmstead. Donc, on reste en suspens avec des personnages inattendus dans un monde très noir.

Comme je ne veux pas très spoiler, je m'arrête ici, de plus, que je ne me sens pas très bien, sinon, je vous conseille ce livre si vous trouvez que l'écriture n'est pas importante, sinon ne le prenez pas, vous serez déçu ! Bonne lecture !

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lundi 24 octobre 2011

Le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates, Mary Ann Shaffer & Annie Barrows

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Quatrième de couverture :

Janvier 1946. Tandis que Londres se relève douloureusement de la guerre, Juliet, jeune écrivain, cherche un sujet de roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, natif de l'ile de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil des lettres qu'elle échange avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis : un étrange club de lecture inventé pour tromper l'occupant allemand, le « Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates »… Aussi fantasque que son titre, drôle, tendre et incroyablement attachant : un premier roman comme on en a pas vu depuis longtemps et qu'on a hâte de passer de main en main.

Mon avis : J’ai vraiment beaucoup aimé ce livre qui se lit vraiment très facilement, il est à conseiller absolument pour tout le monde sans exception. Je dirais pas autant que c’est un coup de cœur, mais on en est pas très loin !

Le choix d’une correspondance est vraiment bien choisi pour ce sujet qu’y s’y prête vraiment, on a une écrivaine qui découvre peu à peu le Cercle littéraire avec un nom atypique, elle y découvre ses membres peu à peu, ils sont tellement gentils avec elle, qu’elle va même aller les voir sur l’ile de Guernesey. Pour ce sujet, les lettres sont vraiment charmantes, elles sont d’une sincérité comme ceux qui l’écrivent. Donc j’ai aimé le genre épistolaire de ce livre, qui est vraiment bien trouvé.

L’histoire est vraiment très particulière, elle raconte surtout l’histoire de ce Cercle qui s’est formé par nécessité mais qui a vraiment continué par plaisir, cette histoire se situe pendant la seconde guerre mondiale, et la particularité de cette ile anglaise, elle est occupée par les allemands. Donc, dans un cadre particulier, nous avons une histoire très plaisante, la création de ce Cercle. Pour en savoir plus sur cette histoire, je vous conseille de le lire.

Pourquoi pas un coup de cœur ? Eh bien, la raison est que la partie où l’on parle de Juliet l’écrivaine n’était pas aussi intéressante, donc je me suis quelque peu ennuyé lors de ces passages, mais je vous assure, ce n’est pas de l’ennui profond, juste un petit ennui qui dérange pendant un moment, déjà, le livre ce lit tellement rapidement, que ces petits moments de solitudes s’oublient vite.

Pour finir, je m’excuse de cette chronique pas belle du tout, la raison est que je suis malade, donc je n’est pas vraiment le moral d’écrire, sinon, assurez-vous, j’ai beaucoup aimé ce livre et je vous le conseille ! Bonne lecture à tous !

dimanche 23 octobre 2011

In my mailbox (6)

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“In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boite aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.”

Cette semaine, j’ai eu l’occasion d’aller dans un magasin où l’on vendait des livres d’occasions à 0.50 € le livre ce qui m’a permis d’acheter 8 livres, avec cela, j’ai reçu Divergent de Veronica Roth de la part de Jotman que je remercie encore une fois.

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J’ai pris autant de livres quasi-gratuit sans trop faire attention à ce que je voulais, puisque j’ai pris ces livres pour découvrir leurs auteurs sont trop me ruiner, donc, il n’y a pas beaucoup de livres connus.

Sinon, je trouve que la couverture de Divergent est vraiment superbe, elle attire l’œil dès qu’on la voie, j’espère que j’apprécierai l’histoire.

Je suis assez heureux de mes achats qui me permettront de découvrir de nombreux auteurs, mais je suis malade, une angine au moment des vacances, moi qui espérait lire à volonté pendant ces vacances, dès samedi, je me trouve entrain de me coucher parce que je me sens trop mal. C’est ça la chance, on l’a ou pas !!

Et vous, qu’est-ce-que vous avez reçu/acheté/emprunté ?

samedi 22 octobre 2011

Mon premier partenaire : nouveauxlivres.fr

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http://nouveauxlivres.fr/

Voilà la bannière du premier partenaire de mon blog, un site de bénévoles qui publient les nouveautés francophones, qui organisent des concours, qui propose même une boutique sur Amazon… Un site sans prétention qui est assez bien à jour, que je vous propose d’aller voir.

J’ai découvert ce site hier, il est vraiment très bien, c’est pour ça que je l’ai visité de fond en combles pour vous présenter mon nouveau et premier partenaire de ce blog.

En première pages, on voit qu’il y a un concours auquel on peut participer, pour ceux qui aiment la BD, il y a Dead Run qu’on peut gagner à condition de répondre à trois questions simples comme bonjour, donc si vous le voulez, allez-y vite, il ne vous reste qu’un exemplaire !

Après, j’ai visiter la première liste de l’actualité, où on trouve des livres sélectionnés avec des extrait d’avis de lectrices (??? Eh pourquoi pas lecteur !) pour vous faire une première idée du livre, je trouve que c’est pratique ! Par la suite, il y a une liste de biographies d’auteur pour les connaitre mieux du fait qu’ils sont généralement les écrivains des nouveautés ! Il y a aussi les vidéos de présentation des livres que j’apprécié pour savoir ce que pense l’auteur de son livre, si vous aimez, allez-y !

Tout en bas, il y a la boutique du site sur Amazon où vous pouvez acheter des livres pours permettre de couvrir les frais de ce site bénévoles !

Par la suite, eh bien, vous avez toutes les nouveautés de la littérature francophone, du roman à la BD en passant par le livre de droit, donc quoi que vous lisez, vous trouverez votre bonheur sur ce site pratique et assez facile d’utilisation !

Voilà pour mon premier partenaire, en espérant de me faire d’autre partenaires-blog (ou sites internet concernant la littérature) ! Bonne journée !!

jeudi 20 octobre 2011

1Q84, tome 1 : Avril- Juin, Haruki Murakami

imageQuatrième de couverture : Au Japon, en 1984.
C'est l'histoire de deux mondes, celui réel de 1984 et un monde parallèle tout aussi vivant, celui de 1Q84. Deux mondes imbriqués dans lesquels évoluent, en alternance, Aomamé et Tengo, 29 ans tous deux, qui ont fréquenté la même école lorsqu'ils avaient dix ans. A l'époque, les autres enfants se moquaient d'Aomamé à cause de son prénom, « Haricot de soja », et de l'appartenance de ses parents à la nouvelle religion des Témoins. Un jour, Tengo l'a défendue et Aomamé lui a serré la main. Un pacte secret conclu entre deux enfants, le signe d'un amour pur dont ils auront toujours la nostalgie.
En 1984, chacun mène sa vie, ses amours, ses activités.
Tueuse professionnelle, Aomamé se croit investie d'une mission : exécuter les hommes qui ont fait violence aux femmes. Aomamé a aussi une particularité : la faculté innée de retenir quantité de faits, d'événements, de dates en rapport avec l'Histoire.
Tengo est un génie des maths, apprenti-écrivain et nègre pour un éditeur qui lui demande de réécrire l'autobiographie d'une jeune fille qui a échappé à la secte des Précurseurs. Il est aussi régulièrement pris de malaises lors desquels il revoit une scène dont il a été témoin à l'âge d'un an et demi.
Les deux jeunes gens sont destinés à se retrouver mais où ? Quand ? En 1984 ? Dans 1Q84 ? Dans cette vie ? Dans la mort ?

Mon avis : Je remercie le match littéraire de Priceminister pour m’avoir offert ce livre. Moi, qui ne connaissait pas Murakami, j’ai découvert son talent grâce à ce livre pleins de qualités, qui ne comporte aucun bémol, c’est vraiment le COUP de COEUR de l’année ! Faire une chronique sur cette lecture c’est difficile, mais je vais essayer.

Tout d’abord, on parle de l’écriture vraiment délicieuse, une écriture qui coule à flot, qui ne comporte aucun problème, on aperçoit le style d’écriture exceptionnel même à partir de la traduction, donc l’écriture a vraiment fait de cette lecture un bonheur, même sans intrigue, une écriture comme celle-là, c’est suffisant. Si Murakami écrit toujours comme cela, je vais lire tout ses livres.

Donc, avec l’écriture, on a l’intrigue qui est d’autant plus superbe, elle est très bien construite pour le premier tome d’une trilogie, car l’auteur ne nous donne pas toutes les informations tout de suite, il donne des précisions touche par touche, sans en donner trop, puisqu’il ne veut rien gâcher. Et cela est vraiment agréable, car pendant toute la lecture, on veut en savoir plus sur les protagonistes, donc on continue à lire avec plus d’ardeur et de volonté. J’ai donc aimé ce point de l’intrigue qui m’a beaucoup intéressé.

Pour continuer avec l’intrigue, j’ai aussi apprécier le fait qu’il mette deux histoires parallèles qui se trouveront des similitudes sans les dire complètement. Ainsi, on a l’histoire de Tengo et Aomamé qui sont des personnes d'âges à peu près pareils, ils se ressemblent, mais on un lien qui les unit, c’est à partir de ce lien que part l’auteur. En effet, il fait passer des évènements aux protagonistes qui vont se lier sans les faire rencontrer, comme l’histoire des Précurseurs qui est narré deux fois pour l’un et pour l’autre. En même temps, l’auteur nous fait travailler, pour qu’on comprenne leur lien, puisque pendant tout le tome 1, il n’est jamais écrit clairement qu’ils ont un lien qui les unies, il faut le deviner, et ça, j’aime beaucoup.

Pour finir avec l’intrigue, je voudrais dire qu’à la fin du livre 1, on ne s’est absolument pas comment va finir cette trilogie, on a les principaux sujets qui seront développés sans jamais parler du dénouement sérieusement mystérieux. Je me demande vraiment ce qu’il va se passer dans les livres 2 et 3, d’ailleurs, le 2, je l’ai acheté, donc, je le lirais juste après mes lectures urgentes.

Parlons un peu du monde 1Q84 sans spoiler l’histoire, qui est un monde parallèle dont on connait seulement l’existence de quelque petites choses, à part cela, on ne sait absolument rien, et cela est vraiment très intrigant, on se demande qui sont les Little people ? Que font-ils ?  Ou vivent-ils (1984 ou 1Q84) ? Voilà ce monde dont on connait rien, c’est pourquoi je vous le présente sous forme de questions.

Les personnages sont vraiment très intéressant car ils se ressemblent beaucoup, ils ont vécus les mêmes problèmes d’enfance, ils vivent une vie similaire, comme célibataire sans volonté d’avoir un couple résistant, un métier qu’ils les permettent de faire autre chose… Eh bien, oui, il y a en a un qui tue des gens, l’autre qui écrit des romans, mais leurs métiers “secondaires” se retrouvera face aux mystères des Little people et de 1Q84. Ils découvrent l’autre monde d’une façon assez différente, mais ils découvrent la même chose.

Voilà ma modeste chronique qui fait de ce livre un vrai coup de cœur, puisque j’y ai vraiment tout aimé, sans exception, j’attends de lire le deuxième qui nous dévoilera (j’espère !) assez de choses pour découvrir 1Q84 et les Little people. Je vous conseils bien sur sans hésitation à lire ce livre exceptionnellement extraordinaire, je ne trouve même pas assez d’adjectifs pour le qualifier ! Bonne lecture !

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mardi 18 octobre 2011

L’Equation africaine, Yasmina Khadra

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Quatrième de couverture : Médecin à Francfort, Kurt Krausmann mène une existence ordinaire, limitée à ses allers-retours entre son cabinet de consultation et son appartement bourgeois. Jusqu'au drame familial qui va le précipiter dans le désespoir. Afin de l'aider à surmonter son chagrin, son meilleur ami, Hans, un riche homme d'affaires versé dans l'humanitaire, lui propose de l'emmener sur son voilier jusque dans les Comores, pour les besoins d'une bonne cause. Au large des côtes somaliennes, leur bateau est assailli par des pirates. Kurt et Hans sont enlevés puis transférés dans un campement clandestin. Dans leur geôle improvisée, se trouve déjà Bruno, un otage français que tout le monde semble avoir oublié, et qui tente péniblement de concilier sa passion pour le continent africain avec l'angoisse de sa captivité. Une détention à l'issue incertaine, des conditions de vie innommables, une promiscuité dangereuse avec des mercenaires sans pitié, c'est le début d'une descente aux enfers dont personne ne sortira indemne. Mais parce que le drame est propice aux revirements de situation, c'est aussi pour Kurt le début d'une grande histoire d'amour.

Mon avis : Je remercie d’abord les Editions Julliard de m’avoir permis de lire ce livre que j’ai vraiment apprécié ! Je pourrais même dire que c’est un coup de cœur tant j’ai lu ce livre avec enthousiasme !

Le style de l’auteur est vraiment super, comme toujours, mais j’ai remarqué que son style avait beaucoup évoluer pour se transformer en un style lyrique, assez lourd de sens avec la mise en relief de ses origines ! Pendant tout le texte, le lyrisme de son écriture prend de la place, sans s’envoler, il nous fait gouter à son lyrisme très intéressant tout en faisant l’éloge de l’Afrique ! Ainsi, pendant toute la lecture, j’ai senti que l’Afrique était vraiment un continent sacré pour cet auteur africain, puisqu’il fait un vrai éloge de l’Afrique malgré les difficultés du continent.

Son écriture tout de même assez lourde, il n’a pas une écriture simple, mais plutôt complexe, on est jamais à manque d’expressions avec lui, de métaphores aussi, et c’est ce que j’aime avant tout, le poids de son écriture permet de graver cette œuvre dans la tête. Ainsi, on peut dire que j’aime davantage l’écriture de l’écrivain expérimenté que ces autres livres, dont l’écriture bousculait d’un lourdeur trop artificiel, mais ici, on voit qu’il a su rétablir l’équilibre.

Parlons de l’histoire, eh bien, le début est très semblable à L’Attentat que j’ai lu il n’y a pas si longtemps, un européen perd sa femme, pourquoi ? Cette fois-ci, la raison est sa carrière, il ne comprend pas cette raison, donc avec un ami, il va en Afrique en bateau où son ami va aider un hôpital, en même temps, cela lui permettra de se vider la tête. Mais ils sont attaqués par les pirates, donc ainsi commencera une étape d’apprentissage de la vie de Kurt Kraussmann qui apprendra l'Afrique, les sentiments Africains, la volonté de vivre, la rage de certains Africains contre les Blancs, la sensibilité africaine mais aussi l’horreur d’être un otage, la famine, les horreurs de ce continent.  Ce voyage permettra à Kurt d’en savoir d'avantage sur l’Afrique sans les préjugés, ainsi, il en ressortira différent de cette aventure.

Les personnages sont vraiment très bien construit, surtout le personnage de Blackmoon et de Joma qui ne sont pas seulement des pirates mais ont une personnalité derrière, l’auteur les montrent davantage comme humain. C’est ainsi pendant tout le récit, l’auteur tient une ambigüité entre son parti, le pirate ou l’otage, mais en même temps, il montre que les pirates ont des raisons de faire cela.

La fin est vraiment superbe, je l’ai beaucoup aimé, elle montre à quel point le personnage à appris de ses périples, mais qu’il reste toujours un homme en deuil qui cherche le bonheur ! Donc, le retrouvera-t-il ou pas ?

Pour conclure, je peux dire que j’ai tout aimé dans ce livre, même s’il y a eu quelque moments rares d'ennuie, le bilan reste globalement positif, c’est donc un coup de cœur pour moi, et si vous voulez vous faire votre propre avis, je vous le conseille !

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lundi 17 octobre 2011

Des vents contraires, Olivier Adam

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Quatrième de couverture : Depuis que sa femme a disparu sans jamais faire signe, Paul Andersen vit seul avec ses deux jeunes enfants. Mais une année s'est écoulée, une année où chaque jour était à réinventer, et Paul est épuisé. Il espère faire peau neuve par la grâce d'une retour aux sources et s'installe alors à Saint-Malo, la ville de son enfance. Mais qui est donc Paul Andersen ? Un père qui, pour sauver le monde aux yeux de ses enfants, doit lutter sans cesse avec sa propre inquiétude et contrer, avec une infinie tendresse, les menaces qui pèsent sur leur vie. Dans ce livre lumineux aux paysages balayés par les vents océaniques, Olivier Adam impose avec une évidence tranquille sa puissance romanesque et son sens de la fraternité.

Mon avis : Un très beau livre, qui est court, donc qui se lit très rapidement, en une journée on peut le lire facilement, mais le contenu est assez dense. Les sujets qu’a choisi Olivier Adam sont sensibles, l’enfance, la confiance dans un couple, l’amour paternel… Tant de sujets importants.

Tout d’abord, je peut dire que l’écriture de l’auteur est vraiment très facile à lire, il n’y a aucun superflus qui rend difficile l’écriture. Donc, l’écriture ne rend pas difficile la lecture, elle est légère pour traiter un sujet important. Le peu de pages aussi est agréable pour savoir tout de suite la fin, sinon, on a un sentiment de manque du au fait que le livre est trop court.

La couverture est vraiment très explicite, elle résume très bien l’histoire, une famille déchiré, des enfants laissés en plan, sans soutien, une fête de Noel superbe sur un fond de secret. On voit l’innocence des enfants, l’ampleur du phénomène que prend le problème de l’absence de la mère pour des enfants si petit et innocent. On voit que c’est un peu trop pour des enfants, ils ont le droit de s’amuser et d’être enfant.

Les personnages de ce roman sont vraiment touchants, surtout pour les enfants qui ont des réactions très différentes face à l’absence de la mère, soit ils s’isolent, soit ils crient leur désespoir, en fait, ils essayent de trouver leur route. Le père, un personnage qui ne sait que faire face à l’absence de sa femme, il déménage, montre de l’affection à ses enfants, mais même, il veut savoir ce qu’est devenu sa femme ? Donc, des personnages qui nous affectent du fond du cœur.

La dimension sentimentale de ce roman est très importante, on est dans une expérience pour savoir comment réagiront les sentiments face à des “surprise de la vie” ? On a l’amour du père envers ses enfants, le désespoir du mari, la confiance bafouée de l’amant et tant d’autres sentiments qui s’amplifient avec la présence des enfants.

La fin est vraiment très …, je n’ai aucun mot pour définir cette fin qui détruit tout ce qui a été crée depuis le début, elle est destructrice, elle ne fera que détruire les sentiments, on aimerait transformer cette fin en happy end pour épargner les enfants qui avaient trouvés un soupçon de bonheur. Donc, la fin nous prend pas surprise, on aurait voulu une meilleure fin pour ses personnages attachants.

Pour conclure, un livre très sentimentale, pour ceux qui aiment les sentiments comme moi, c’est super sinon, cela vous paraitra un peu gnangnan mais pas pour moi, je peux même dire que c’est un coup de cœur ! Je lirais sans doute d’autres livres de cet auteur qui parait très sentimentale ! Allez les nostalgiques, attelez-vous à cette lecture !

dimanche 16 octobre 2011

In my mailbox (6)

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“In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boite aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.”

Salut tout le monde ! Vous allez bien ? Pour ma part, je vais très bien. Cette semaine, je viens de recevoir un livre et j’en ai emprunté quatre. Cette semaine, je suis heureux, et pourquoi ? Eh bien, c’est les vacances dans une semaine, et les vacances ça rend heureux !

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Il y a parmi eux, Le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates que la blogosphère avait beaucoup lu et aimé de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows. Je trouve la couverture de poche vraiment très esthétique, elle me rappelle les anciens temps où la lettre était de rigueur.

Par la suite, j’ai emprunté Lettres persanes de Montesquieu qui est parait-il très amusant à lire, même si c’est un classique. On verra ce que je vais en penser après la lecture, mais j’ai hâte de le lire.

Enfin, mon dernier emprunt est Le Chef-d’œuvre inconnu & Sarrasine dans un même livre de Balzac pour combler mes lacunes de mon challenge Balzac. Avec cela, j’ai pris le Colonel Chabert de Balzac pour la même raison.

Mon seul livre reçu cette semaine est Lune de Sang de Todd Ritter qui a vraiment une couverture exceptionnellement belle, un décor très sombre en pleine lune, un environnement qui donne déjà le ton du livre (j’espère !). Je l’ai reçu grâce au blog Madamecharlotte et Ixelles Editions.

Je viens d’ajouter 1Q84 livre 2 Juillet-Septembre que j’ai acheté hier, tout en oubliant de l’ajouter ici, comme je lit 1Q84 livre 1, et que j’apprécie, j’ai décidé d’acheter tout de suite le deuxième pour le continuer immédiatement.

Et vous, qu’avez-vous reçu/acheté/emprunté ? Vous pouvez me le dire sur les commentaires.

jeudi 13 octobre 2011

Chagrin d’école, Daniel Pennac

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Quatrième de couverture : « Donc, j’étais un mauvais élève. Chaque soir de mon enfance, je rentrais à la maison poursuivi par l’école. Mes carnets disaient la réprobation de mes maitres. Quand je n’étais pas le dernier de ma classe, c’est que j’en étais l’avant-dernier. (Champagne !) Fermé à l’arithmétique d’abord, aux mathématiques ensuite, profondément dysorthographique, rétif à la mémorisation des dates et à la localisation des lieux géographiques, inapte à l’apprentissage des langues étrangères, réputé paresseux (leçons non apprises, travail non fait), je rapportais à la maison des résultats pitoyables que ne rachetaient ni la musique, ni le sport, ni d’ailleurs aucune activité parascolaire. » Dans la lignée de Comme un roman, Chagrin d’école est donc un livre qui concerne l’école. Non pas l’école qui change dans la société qui change, mais, « au cœur de cet incessant bouleversement, sur ce qui ne change pas, justement, sur une permanence dont je n’entends jamais parler : la douleur partagée du cancre, des parents et des professeurs, l’interaction de ces chagrins d’école ». Daniel Pennac entremêle ainsi souvenirs autobiographiques et réflexions sur la pédagogie et les dysfonctionnements de l’institution scolaire, sur la douleur d’être cancre et la soif d’apprendre, sur le sentiment d’exclusion et l’amour de l’enseignement. Entre humour et tendresse, analyse critique et formules allant droit au but, il offre ici une brillante et savoureuse leçon d’intelligence. Ce Chagrin d’école s’impose déjà comme un livre indispensable.

Mon avis : Avant de lire ce livre, je le croyais très amusant mais ce n’est pas vraiment le cas, puisque je peux dire que je l’ai lu avec force. J’ai donc pas beaucoup aimé ce livre, sauf quelques passages amusant que j’aurais souhaite davantage développé.

Tout d’abord l’histoire de ce livre est très mélange, c’est tant une histoire du cancre qu’a été l’auteur qu’un livre qui parle des cancres en général du point de vue d’un professeur. Pour ma part, j’ai davantage aimé la partie de la description des cancreries de l’auteur, mais les conseils et l’analyse du cancre m’ont beaucoup ennuyé. Donc, au fil de la lecture je me suis rendu compte que c’était encore un autre livre sur l’école, mais pas sur la cancrerie de l’auteur que j’aurais davantage préféré.

L’écriture est agréable, sans plus, je n’ai pas trouvé un très beau style à cet auteur, donc, je suis aussi mitigée sur l’écriture qui n’encourage pas du tout à continuer à lire ce livre que je n’appellerais ni un documentaire ni un roman, c’est un mélange pas très bien réussi. Donc, je ne pense pas que je lirais de sitôt  un autre livre de cet auteur, sauf Comme un roman que toute la blogosphère a beaucoup apprécié, mais sinon je ne suis pas convaincu pas cet auteur.

Les passages où le cancre se confie est vraiment a dévoré, puisqu’il raconte ses expériences et non une histoire inventé, on sent qu’il dit la vérité. Mais cependant, ce cancre est devenu professeur, ce qui le fait donner l’analyse de l’école et du cancre. Donc, cette seconde partie est pas très en lien avec le cancre, donc j’aurais préféré lire un livre sur l’expérience du cancre .

Donc, un avis déçu sur ce livre qui paraissait vraiment prometteur à partir de la couverture avec la reconstitution d’un classe à l’ancienne, mais le contenu ne m’a pas plu. Pour pouvoir faire votre propre avis, je vous l’invite à lire.

mardi 11 octobre 2011

Œdipe Roi, Sophocle

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Quatrième de couverture : Un mal mystérieux s’est abattu sur la ville de Thèbes. Ses terres et ses troupeaux sont frappés de stérilité. La population est décimée. Les femmes ne portent plus d’enfants. Le roi Œdipe, qui jadis, par sa clairvoyance, a sauvé la Cité et l’a rendue prospère, saura-t-il encore la tirer de l’abime où les dieux l’ont aujourd’hui plongée ? Lui, qui parvint à déchiffrer l’énigme du Sphinx, pourra-t-il élucider l’oracle qui désigne l’auteur de tous ces maux et promet la voie du salut ? Nul autre moyen que de s’engager dans une véritable enquête policière. Mais, à mesure que le passé se dévoile, la Fatalité divine se met en marche comme une machine infernale.
Œdipe Roi, représenté pour la première fois vers 430 avant J.-C., est, avec Antigone, la plus célèbre et la plus admirée des tragédies antiques. Par la perfection de sa construction dramatique, par ses qualités sculpturales d’équilibre et d’harmonie, cette méditation pathétique sur la vaine grandeur de l’héroïsme et sur la fragilité du bonheur humain est l’un des témoignages les plus accomplis de la poésie hellénique à son apogée.

Mon avis : Une très belle tragédie antique que j’avais déjà entendu parler sans oser en lire, mais j’ai été surpris de la beauté du texte et des personnage ! Je dirai même que c’est un coup de cœur !

Tout d’abord, j’aimerais aborder la taille de cette tragédie qui ne fait qu’une centaines de pages, ce qui veut dire qu’il se lit assez rapidement, d’une traite, on finit Œdipe ! Donc ne vous inquiétez pas sur la taille, ce n’est pas parce que c’est antique que ça va être long, au contraire c’est très court ! Lisez-le vite, vous ratez beaucoup de choses !

L’écriture est un des grands thèmes de ma critique car je pense qu’elle est d’une qualité exceptionnel malgré la traduction. Je n’ai jamais vu de si belles paroles dans un livre, tout ce qu’ils disent me parait exceptionnel et parfait ! Ca doit être mon envoutement pour l’antiquité et pour la tragédie que je découvre ! J’ai dégusté chaque paroles de tout les personnages. J’ai aussi remarqué que chaque réplique prononcés sont un réel dépôt de tragique, puisque toute la pièce est d’une tragédie mordante ! Donc, vous voyez que  l’écriture de Sophocle m’a envouté, j’en lirais d’autres !

L’histoire est vraiment désolante, horrible, superbe, intrigante, toute à la fois puisque c’est l’histoire d’Œdipe qui recherche le coupable de Laïos, mais ses recherches ne le pousseront qu’à lui-même où il découvrira toute sa vie sous l’œil de la vérité ! Il découvre que c’est un monstre ayant tué sa mère et coucher avec sa mère ! A partir de cette révélation, la mère se pend et Œdipe se crève les yeux et s’exile ! J’ai tout simplement adoré la tragique caractéristique de cette pièce, surtout le moment où il parle à ses filles en leur demandant pardon de les avoir fait !

La tragédie, eh bien,c’en est une ! Pendant tout la pièce, le destin prend la grosse part, c’est lui qui a planifié ses horreurs, les personnages ne sont que des pions à ses yeux ! Leurs personnages ne font que se lamenter sur leurs destin,ils se tuent ! Ici, c’est pire, le destin a concocté un parricide et un inceste caché, que personne ne connait qui se dévoilera avec pour conséquence, des enfants qui sont produit d’un couple impossible qui seront humiliés, une mère pendu, un père aveugle en exil ! C’est une histoire affreuse !

Je finis cette chronique plein de compliments à cette tragédie qui m’a vraiment émue profondément, c’était une histoire affreuse ! Je vous le conseille de lire, mais attention, c’est affreux !

lundi 10 octobre 2011

Saga Parisienne (tome 1), Giles Schlesser

imageQuatrième de couverture : Paris sous l’Occupation. Un tableau de Picasso disparait dans la grande rafle du 16 juillet 1942. Une famille se déchire. La guerre scelle les destins… et notamment celui de Pierre Ormen, romancier en vue et résistant de la première heure, que tout oppose à son frère Amédée, vague collabo et vrai salaud. Pierre fait partie de ces êtres auxquels la Providence semble avoir donné toutes les vertus et la vie toutes les chances. Après la Libération, sa réussite est éclatante. Mais derrière les apparences s’abrite une âme sombre, dévastée par des secrets que nul ne doit partager.
Ce portrait de famille est aussi celui d’une époque, de l’effervescence du Paris de l’après-guerre, des cabarets de Saint-Germain-des-Prés, des cafés où l’on reconstruit le monde, des maisons d’édition où l’on tente de le conquérir…
Un balcon sur le Luxembourg est le premier volume d’une « Saga parisienne » qui en comptera trois, donnant vie à autant de générations de la famille Ormen, de l’Occupation à nos jours.

Mon avis : Je remercie tout d’abord Babelio et aussi les éditions Parigramme, puisque ce livre était un véritable coup de cœur pour moi ! J’ai adoré tout dans ce livre ,l’histoire, l’écriture, la forme, tout !!

Donc commençons par l’histoire, c’est une saga familiale, qui serait normalement une trilogie. Les chroniques familiales, eh bien, j’ai appris que c’était mon truc, puisque je ne me suis pas du tout ennuyé dans cette famille très particulière qui commence à la guerre jusqu’en 1958. La famille est déchiré par des points de vue politiques, collabo, résistants ou bien par des problèmes familiaux avec Amédée. En conclusion, pendant toute la lecture on assiste à une famille pendant et après la guerre avec ses propres problèmes.

Mais je vous assure, il n’y a pas que des querelles familiales, on est aussi auprès d’un écrivain, donc on suit en même temps le monde littéraire,ce qui donne plus de gout au livre, puisque Pierre Ormen est un contemporain de Camus, Sartre et tout les autres.

L’écriture est aussi très importante dans un roman, ici, elle est superbe, aucune difficulté à lire même un plaisir à suivre cette histoire avec une écriture plaisante, divertissante qui met en avant le sentiment des personnages. Puisque pendant la lecture, on est confronté à plusieurs point de vue ce qui facilite la lecture et la compréhension.

La fin de ce tome est vraiment très bien construite, puisqu’elle nous donne des pistes pour les histoires qui domineront le prochain tome. Donc, on sait à peu près à quoi s’attendre pour le prochain tome qui sortira le 20 octobre et que j’attends avec impatience ! Donc une fin très bien construite pour un premier tome !

Le sujet de ce roman n’est pas seulement la guerre, même si les principaux évènements s’y passent pendant. La majorité est sur l’après-guerre, et le coté politique est aussi bien mis en avant, mais ce n’est pas une histoire de famille pendant la guerre !

Une lecture agréable, donc tout est bien, c’est un Coup de Coeur ! Je vous le conseille absolument, n’oubliez pas surtout pas si vous vous intéresser aux histoires de famille ! Je remercie encore Babelio avec la Masse critique et les Editions Parigramme que je viens de découvrir !

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dimanche 9 octobre 2011

In my mailbox (5)

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“In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boite aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.”

Cette semaine de cours a été éprouvante, vivement les vacances dans deux semaines pour me consacrer à la lecture de mes nombreux pavés qui m’attendent tout gentiment. Un bon week-end, mais un temps pas très beau qui m’a beaucoup déçu après le court été indien de la semaine dernière.

Donc, parlons de mes livres, eh bien, j’en ai reçu/acheté deux livres que je voulais absolument avoir pour cette rentrée littéraire et aussi, j’ai pris trois livres à la bibliothèque qui sont très courts pour les lire pendant le week-end. Je vous le dit d’avance, maintenant mes critiques sont programmés, donc je suis en avance grâce à une méthode infaillible, lire des livres pavés quand j’ai le temps.  Les voici :

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On peut admirer les couvertures très esthétiques des livres de cette semaines, j’ai adoré celle de Chagrin d’école qui est une photo d’un modèle en pate à modeler (je crois…) d’une classe à l’ancienne très mignon. Il y a aussi la couverture magnifique de Des vents contraires qui montre déjà le ton du livre. Pour finir, on a les couvertures épurés et simple de Freedom et de La vie conjugale. L’Equation Africaine a vraiment une couverture frappante qui m’a poussé à l’avoir.

jeudi 6 octobre 2011

La petite sirène de Koort, Jean-François Joubert

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Quatrième de couverture : Sur la planète Éris, les inspecteurs Pittbull et Basset mènent l’enquête. Un matin, la petite sirène de Koort est trouvée morte sur la plage, et c’est le début d’une collaboration entre un vieux flic et un novice. A l’aide d’un mage, ils vont trouver des pistes, tourner en rond et chercher la clef de l’énigme. Une aventure palpitante aux airs surréalistes, drôles, et poétiques.

Mon avis : Je remercie d’abord l’auteur Jean-François Joubert de m’avoir envoyé ce livre que j’ai lu assez vite vu son nombre de page. Ais-je apprécié ? C’est une bonne question qui ne se répond pas tout de suite, parce que mon avis est un peu mitigé.

Parlons de l’intrigue, une intrigue très intéressante classé dans thriller alors que c’est vraiment un livre hors-série, puisqu’il allie beaucoup de choses, l’imaginaire, le thriller, la poésie… Voilà ce mélange vous donne ce livre très original. D’abord, je peux dire que j’ai aimé la division des chapitres par indices dont je ne comprenais absolument pas le sens, mais c’est un peu le but d’être floue dans ce livre. La fin, je vous assure, n’a rien d’un thriller original ou d’autres choses puisqu’il n’y a pas vraiment de dénouement comme dans un texte narratif. Mais, ce n’est pas plus mal, c’est différent et c’est mieux ainsi.

Le monde de Joubert est vraiment fou, rien ne vas, les poisons, les produits hallucinogènes, les fantômes et tout ce qui est pas très commun arrivent dans ce récit. Les personnages deviennent fous, drogués, devin, il arrive à nous faire la panoplie des situations différentes. Donc, on peut dire que j’ai aimé l’univers fou de l’auteur.

L’écriture, toujours la même, cette envolée lyrique à tout heureux sans que l’on n’y s’attende, on voit des allitérations et assonances partout dans l’écrit sans prendre en compte le sujet qu’il évoque. Je crois que l’auteur ne fait vraiment pas exprès d’écrire si poétiquement, il a un don de poésie, mais il utilise pour le roman. Finalement, l’écriture de cette auteur est intéressante. De plus, l’écriture arrive à nous envouter, sans faire attention, elle nous attache au récit.

La fin, eh bien, il y en a une mais pas vraiment une fin, donc, il nous laisse imaginer la fin, brutale, romantique, lyrique, pathétique, tragique, fantastique, vous faites comme vous le voulez, dans ce cas, l’auteur nous laisse le choix et moi, je me crée une fin en bonne et du forme. Au début, en remarquant l’absence de fin, j’étais quelque surpris, mais par la suite, je vois que c’est pas trop mal.

Le problème, la raison pour laquelle mon avis est mitigé, en fait, c’est la platitude de certains moments où l’envolée lyrique est vraiment à son apogée, où le sens perd tout son sens, où tout est chamboulé, on lit littéralement une langue étrangère, donc on s’ennuit. Je ne veux pas être brutal, mais c’est comme ça, je pense comme ça, cela n’implique que moi.  Mais heureusement, ces moments ne sont pas nombreux et l’on reste attaché à l'’histoire avec l’aide de l’intrigue et de l’écriture.

Finalement, mon seul problème, c’est les excès dans ce livre, à part cela, je pense que c’est une très bonne lecture de quelque chose différent, je prends ce livre comme une expérience, mais une expérience plaisante. Bonne lecture à tous !

mercredi 5 octobre 2011

Jusqu’à la folie de Jesse Kellerman

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Quatrième de couverture : Dans une rue sombre de Manhattan, très tard dans la nuit, une jeune femme est agressée par un homme armé d’un couteau. Jonah, un étudiant en médecine surmené, vole à son secours et tue accidentellement l’agresseur. Pendant que les médias font de lui un héros, le procureur s’interroge sur son geste héroïque. La victime, quant à elle, veut retrouver son sauveur et tient à lui montrer sa reconnaissance. Les évènements s’enchainent, et Jonah est entrainé dans une spirale terrifiante. S’il est vrai qu’aucune mauvaise action ne demeure impunie, le châtiment de Jonah ne fait que commencer…
Jesse Kellerman est né à Los Angeles. Son premier roman publié en France, Les visages, connut un succès immédiat en librairie, remporta le grand Prix des Lectrices de Elle en 2010 dans la catégorie policier et figura pendant plus de 40 semaines dans les classements des meilleures ventes. Jesse Kellerman vit en Californie avec sa femme et leur fils.
Mon avis : Tout d’abord, je tiens à remercier Madame Charlotte (ou bien Bibliofolie qui s’est éteint il y a peu)  et les Editions des Deux Terres. J’ai lu ce livre avec un curiosité de savoir ce qu’était un thriller psychologique et j’ai appris à peu près ce que c’était. J’ai globalement apprécié cette lecture mais non sans bémol.
Premièrement, parlons de l’écriture qui est vraiment agréable à facile à lire, sans beaucoup de vocabulaire spécifique, Jesse Kellerman réussit d’abord par nous séduire avec son écriture plaisante. J’ai surtout aimé lire les pensées du personnage que je vous raconterai dans un autre paragraphe. Donc, l’écriture est un très bon point de ce livre qui suffirait même à le conseiller mais pas que !
En effet, il y a la chose principale d’un roman, l’intrigue, l’histoire qui est vraiment très originale dans celui-ci, il y a un externe qui sauve une vie, mais il croit avoir fait quelque chose de mal et il apprend que… Voilà, vous n’avez rien compris mais l’histoire est vraiment très difficile à raconter, il faut le lire, car la suite est vraiment ambigüe, si je commençait à vous raconter, ce serait un spoiler, donc je vous dis que c’est un thriller psychologique dans lequel on est dans la tête d’un personnage ayant un doute sur ce qu’il a fait, de plus, il est harcelée par… mystère. Donc, l’intrigue est vraiment très intéressante, elle va beaucoup vous plaire.
Les personnages sont vraiment très bien développés, on entre dans leur cerveau pour savoir ce qu’il pensent, ils sont humains, donc leurs pensées sont parfois très complexe, il se demande que faire, c’est la situation de Jonah Stem. Ce personnage est très intéressant à lire, vous allez l’aimer, mais parfois il sombrera dans la folie à cause de quelqu’un. Le deuxième protagoniste est d’autant plus intéressant, c’est un personnage qui a de l’ambition, pour cette ambition, elle va aller jusqu’au plus haut point…
Le seul bémol de ce livre est vraiment les moments plats qui ennuient le lecteur comme moi,  mais ces moments sont certes rares, mais diminue la volonté, mais ne vous affolez pas, ils ne sont pas si longs que ça.
La fin, j’allais l’oublier, mais dans ce roman, elle est vraiment très originale, très bien trouvé, on n’imagine pas cette possibilité mais on y va jusqu’à la folie. J’ai vraiment été bluffé par la fin, on comprend jusqu’à quel point peut-on aller pour sa seul ambition. Cette fin fait vraiment réfléchir sur ce personnage vraiment dérangé. Donc, ce livre est vraiment à lire juste pour savoir la fin.
Finalement, c’est une très bonne lecture qui est à conseiller sans modération aux accros du thriller !! Bonne lecture !
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Ce roman est sorti en octobre 2011.

mardi 4 octobre 2011

L’Attentat, Yasmina Khadra

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Quatrième de couverture : Dans un restaurant de Tel Aviv, une jeune femme se fait exploser au milieu de dizaines de clients. À l'hôpital, le docteur Amine, chirurgien israélien d'origine arabe, opère à la chaine les survivants de l'attentat. Dans la nuit qui suit le carnage, on le rappelle d'urgence pour examiner le corps déchiqueté de la kamikaze. Le sol se dérobe alors sous ses pieds: il s'agit de sa propre femme. Comment admettre l'impossible, comprendre l'inimaginable, découvrir qu'on a partagé, des années durant, la vie et l'intimité d'une personne dont on ignorait l'essentiel? Pour savoir, il faut entrer dans la haine, le sang et le combat désespéré du peuple palestinien...

Mon avis : Un récit bouleversant qui est absolument à lire pour comprendre un peu le monde terroriste et leur raisons. C’était une lecture vraiment très agréable avec quelques problèmes, mais tout de même, j’apprécie.

L’écriture de Yasmina Khadra est comme toujours très esthétique, il a une écriture assez massive qui prend de la place dans l’idée du livre, donc, ce que je veux dire c’est que son écriture n’est pas légère, on prend gout à lire petit à petit. On sent vraiment le travail derrière, avec le vocabulaire approprié et non commun et une organisation singulière. Donc, j’apprécie et admire cet auteur pour son écriture (en sachant que ce n’est pas sa langue natale!)

L’intrigue est vraiment très intéressante mais je pense que la quatrième de couverture en dévoile un peu trop, l’essentiel de la base de lecture est dévoilé, donc je vous conseille de ne pas la lire. L’Attentat parle bien sur d’un attentat survenu en Israël fait par des Palestiniens, le docteur Amine a un lien vraiment particulier avec cet attentat. Pendant tout le récit, il essaye de comprendre pourquoi et comment on devient kamikaze, il n’arrive pas à se faire entendre qu’une personne puisse avoir un but de mort. Jusqu’à la fin, il ne comprendrera point. Donc, l’intrigue est superbe

Le coté didactique est vraiment très intéressant dans ce livre, puisque l’auteur nous met face à des terroristes, ils expliquent ses raisons, mais face à cela, on a la raison d’Amine qui n’arrive pas à comprendre ses personnes qui se tuent, il voudrait vivre dans un monde de paix, mais il comprend à l’inverse que la vie n’est que misère, et que face à cela, des gens ont opter pour ce choix. Mais le docteur Amine ne comprend pas et ne comprendra point la véritable raison, puisqu’il ne vit pas comme eux.

Le personnage est vraiment intéressant, un docteur palestinien naturalisé israélien est vraiment rare, il est réellement bien intégré dans la communauté israélienne, tout le monde le considère comme un israélien. Mais, il comprendra dans son enquête que ses origines sont différentes, qu’il a des origines difficiles… Le personnage est vraiment très bien créer par l’auteur.

La fin est vraiment tragique, il contient une donnée que je n’ais pas vraiment comprise, mais à part cela, elle est très intéressante, on voit que la violence est partout, à tout le monde sans exception.

Un livre qui dénonce, explique, décrit le terrorisme, il n’y a pas plus que ce livre pour expliquer le conflit israélo-palestinien, un peu des deux cotés. C’est un coup de cœur, même si j’ai ressenti quelques vides dans certains moments.

dimanche 2 octobre 2011

In my mailbox ! (4)

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“In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boite aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.”

Vous avez dû remarquer le changement de thème ?? Eh bien, ce n’est pas vraiment moi qui voulais changer, mais, j’ai accidentellement appuyer sur Appliquer sur le blog et maintenant, je n’arrive plus à trouver le même thème, en fin de compte, on a un nouveau thème pas plus mal même mieux. Il est plus moderne, on dirait même un site internet, donc je le garde, excusez-moi pour ceux qui n’aime pas beaucoup le changement !!

Voilà une semaine ensoleillé qui va presque nous faire oublier que l’on est en automne, mais c’est mieux comme ça. Passons aux livres, cette semaine j’ai acheté deux livres dont un commandé et j’ai reçu un livre, et à la bibliothèque, j’ai emprunté deux livres. Les voici :

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- Le Journal d’un Vampire de L.G.Smith emprunté à la bibliothèque, pour découvrir d’autres vampires après ceux de Manhattan, je commence peu à peu à apprécier la bit-lit.

- L’étrange voyage de Monsieur Daldry de Marc Levy de la bibliothèque, que j’ai pris pour sa belle couverture et aussi pour l’auteur Marc Levy que j’avais apprécié avec Toutes ces choses qu’on ne s’est pas dites.

- 1Q84 d’Haruki Murakami que j’ai reçu de la part de Priceminister pour le match de la rentrée littéraire, c’était vraiment un livre que je voulais absolument, je l’ai enfin eu. J’espère l’apprécier.

- Freedom de Jonathan Franzen que j’ai commandé à la librairie, je doute un peu de ce livre avec de mauvaises critiques de la part des autres blogueurs, mais j’espère qu’il sera à mon gout.

- Œdipe Roi de Sophocle acheté pour les cours, mais qui est un mythe intéressant sur le tragique, je le lirais le plus tôt possible.

Et vous, qu’est-ce-que vous avez reçu/emprunté cette semaine ?