Je déménage!

Vous vous demanderez pourquoi j’ai décidé de plateforme, et à quelle plateforme je suis allé ? Alors, je vous réponds tout de suite, je suis allé sur Wordpress. Pourquoi ? Parce que Wordpress offre beaucoup plus de libertés aux blogueurs et que c’est que je recherche. Donc, voilà, je suis passé là-bas.

Je serais très content que vous me suiviez dans mon nouveau blog, avec un nouveau thème, une nouvelle plateforme, je décide de commencer l’année de mon blog sous de bons auspices.

Voici le lien du blog sous wordpress. A savoir, je ne supprime pas celui-ci, mais il sera pas forcément mis à jour !

http://letteraturaa.wordpress.com/

jeudi 2 février 2012

Code Salamandre, Samuel Delage

imageQuatrième de couverture :  Yvan Sauvage, expert en art et commissaire priseur, met fortuitement la main sur un itinéraire crypté conduisant à un dépôt royal. Il se lance alors, en compagnie de Marion, une jeune étudiante à la Sorbonne, dans la résolution d’une énigme qui leur fera encourir les plus grands périls. Un jeu de pistes érudit qui se transforme en périple hallucinant, où l’horreur le dispute au merveilleux.
Lorsque son professeur de l’École du Louvre décède, Yvan Sauvage se retrouve légataire d’un secret prodigieux : le vieil homme était sur le point de déchiffrer un code menant à l’un des trésors les mieux gardés du règne de François Ier. Yvan n’a alors de cesse de résoudre l’énigme. Marion entre dans son jeu, et le duo se lance avec une énergie farouche dans le décryptage des messages codés que recèlent les châteaux, statuaires et monuments édifiés par les architectes de l’époque, dont Léonard de Vinci. Puis ils explorent des itinéraires dont la cartographie occulte et étonnamment précise de la Renaissance a fixé le tracé.
Tout à leur quête, les deux jeunes gens sont inconscients du danger qui les guette, tandis qu’un homme épie leurs moindres faits et gestes sous les ordres d’un mystérieux commanditaire. La recherche érudite et la résolution du code Salamandre pourraient bien déclencher une traque sanguinaire…

Mon avis : Je remercie tout d’abord La librairie Dialogues et les éditions Belfond pour ce livre, mais tout de même, ce soi-disant thriller n’a pas du tout été à mon gout ! Vous allez me dire que je n’aime pas les thrilleurs en temps normal ? Mais non, je n’en lis pas beaucoup, mais j’aime beaucoup les thrilleurs bien fait, mais pas celui-ci !

Effectivement, je n’ai pas accroché à ce livre malgré qu’il commencer très bien, il annonçait un thriller sur des mystères historiques et en parallèle, un criminel pervers qui cherche la peau des femmes. Et bien avec ça, ça nous ferait bien un beau thriller, mais non, ça n’a pas tenu et l’auteur s’est embrouillé dans plein de choses qui m’ont fait regretté cette lecture. Je vous précise cela en-dessous.

Le mystère en lui-même était beaucoup trop technique, c’est un des points les plus décevant de ce livre, puisque j’aime bien les énigmes difficiles en général, mais il faut de la bonne explication par la suite, mais ici, on se retrouve devant des calculs incongrus dont je n’ais strictement rien compris. En écrivant cette chronique, je réfléchit encore sur le mystère codé, mais je n’y comprend toujours rien. Aussi, il n’approfondie pas son raisonnement qui est assez intéressant, mais sans vraiment dans le mystère, je n'ai pas réussi à le comprendre .

L’action n’arrivait pas, durant les 2/3 du livre, on attend à ce que les protagonistes trouvent la clé du mystère avec un criminel qui les poursuit, mais on a aucune réelle action, personne ne bouge, alors qu’un thriller ça doit bouger, mais ici, ils font tranquillement leur travaux. Ok, on ne s’ennuie pas mais tout de même, il y a écrit “thriller”, je n’accepte pas un tel scénario qui ne vaut pas ce genre. Donc, pour vous dire, l’action commence et se termine dans les 100 dernières pages.

Ce qui fait automatiquement de l’action rapide, comment insérer une action si longue et compliqué dans 100 pages, eh bien, l’auteur l’a fait en négligeant les détails croquants et en faisant des passes sur des moments, et je trouve cela scandaleux pour ce genre de livres, comment rester dans le flou alors que le centre de l’histoire ce trouve dans ces pages. Je ne dirais rien pour l’action, elles sont bien faites, mais elles vont trop vite et mon cerveau n’a pas pu tout retenir.

Jusqu’ici, je n’ai parlé que des cotés négatifs de ce livre, mais vous savez que s’il n’y avait absolument que du négatif, j’aurais arrêté ce livre depuis belle lurette, mais non, parce qu’il a assez de qualités mais qui sont pas tellement développés.

En effet, un des bons points de ce livre est le personnage ou bien les personnages puisqu’ils sont deux : Yvan et Marion, deux êtres que rien ne prédestinaient à se rassembler mais qui se découvrent dans un but commun : le mystère de la Salamandre à Chambord. Ils sont très amis mais leur amitié va peut à peut basculer en un petit échantillon d’amour. Ils vont commencer à s’aimer et on va avoir les deux cotés de la face, parce que parfois on a le point de vue de Marion qui ne s’est pas vraiment quoi penser à part qu’elle le trouve beau, et pour lui, c’est la même chose, mais peu à peu, sans nous le dire, ils vont s’aimer et c’est assez mignon, parce qu’ils ont à eu-deux beaucoup de faiblesses qu’ils vont pouvoir dépasser.

Après, il y a le principal lieu du mystère qui est Chambord en étroite relation avec les plus grands peintres de l’Epoque de la Renaissance, ainsi , on retrouve peu à peu des références très appréciables, donc c’est un cadre parfait pour un thriller de cette sorte. J’ai aussi bien apprécié les différents lieu décrits, les châteaux et les églises.

Je disais qu’il n’y avait pas d’action, mais cela ne veut pas forcément dire que c’est barbant ! Non, parce que les 200 premières pages sont calme, sereine, mais je les ai lus avec un grand intérêt, comme si je lisais un livre contemporain où on cherche la clé de l’énigme, donc c’était pas ennuyeux, mais ça n’avait pas non plus l’allure d’un thriller, donc si vous voulez du thriller 100% vous pouvez changer de cap.

Je reprends mon argument sur les 100 dernières pages, elles sont faites à la va-vite, mais elles sont tout de même doté des lettres d’or du thriller, donc pas d’inquiétude pour la fin, c’est du thriller, mais j’aurais apprécié plus de détails et de concentration sur les 100 dernières pages.

Voilà tout pour cette chronique assez grande que j’ai fait sous forme de qualités et défauts, donc il y a pas mal de défauts, mais cela ne veut pas dire que c’est un livre de m…., pas du tout, au contraire, c’est un livre qui est moyen et même bon pour certains. Déjà, n’oublions pas, ce n’est que mon humble avis.

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