Je déménage!

Vous vous demanderez pourquoi j’ai décidé de plateforme, et à quelle plateforme je suis allé ? Alors, je vous réponds tout de suite, je suis allé sur Wordpress. Pourquoi ? Parce que Wordpress offre beaucoup plus de libertés aux blogueurs et que c’est que je recherche. Donc, voilà, je suis passé là-bas.

Je serais très content que vous me suiviez dans mon nouveau blog, avec un nouveau thème, une nouvelle plateforme, je décide de commencer l’année de mon blog sous de bons auspices.

Voici le lien du blog sous wordpress. A savoir, je ne supprime pas celui-ci, mais il sera pas forcément mis à jour !

http://letteraturaa.wordpress.com/

mercredi 8 juin 2011

Quand j’avais cinq ans je m’ai tué, Howard Buten

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Quatrième de couverture : Gil n'a que huit ans. Mais son petit cœur a déjà connu de bien grands sentiments. Trop grands. Trop forts... A cause de ce qu'il a fait à Jessica, le voici dans une résidence spécialisée. Seul, face à la bêtise des adultes qui transforment ses rêves en symptômes cliniques, et son amour en attentat. Seul dans une forteresse de silence. Qui pourra l'y rechercher ? Une émotion pure, dans une langue merveilleusement préservée.

 

Mon avis : C’est un très bon livre, mais le seul problème est que le “crime” de Gil nous est expliqué seulement à la fin. Sinon, j’ai trouvé que ce livre était bien construit, sur un point de vue uniquement enfantin, en utilisant parfois des dossiers, l’auteur nous donne les deux points de vue.

Le livre est écrit avec comme narrateur le petit Gil de 8 ans, donc cela implique des fautes d’orthographe, des néologismes et tout ça. Mais cela permet de donner de l’originalité et du sentiment à cette œuvre, car si cette œuvre était écrite par le point de vue d’un psychiatre, on ne serait pas compatissant. Donc, j’apprécie beaucoup ce point de vue.

Parlons du titre, que j’ai bien aimé car il se montre très bien entre la masse de livre, mais pour comprendre la signification, j’ai vraiment du réfléchir beaucoup, mais je l’ai comprise. Le titre signifie “quand j’avais cinq ans je me suis tué” , c’était bien mon hypothèse, c’est pourquoi j’attendais un suicide d’un enfant, mais c’est complètement le contraire. De plus, pour comprendre le titre, il fallait savoir le titre original qui était “When I was Five I killed myself” , donc il faut travailler pour comprendre ce titre.

Vous savez pourquoi il a été dans un hôpital psychiatrique le petit Gil ? C’est cette question qui nous permet de continuer la lecture de ce livre. Gil nous dit la réponse de cette énigme à la fin, car pendant tout le récit il alterne récit de l’hôpital et récit de sa vie d’avant. La raison n’est pas le “crime” de Jessica, non, c'est quelque chose de tout bête, que personne ne peut punir : l’Amour.

Donc, pendant tout le récit, le psychiatre essaye de soigner un enfant de l’Amour, c’est ce qui montre le réel paradoxe entre enfant et adulte, car l’enfant n’est pas malade, il est amoureux. De plus, ce livre permet de montrer la stupidité des adultes qui veulent tout comprendre comme des symptômes.

Finalement, je peut dire que j’ai beaucoup aimé ce livre, mais que le hic était la situation de Gil expliqué à la fin, mais on peut considérer cela comme une qualité, car l’on croit à un “meurtre”, ce qui justifiait la thèse des psychiatres, mais après la connaissance de l’accusation, on comprend immédiatement la stupidité. Donc, je vous le conseille, le livre mais aussi le film très sentimental.

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Le film de ce livre est français, il a été crée en Jean-Claus Sussfeld en 1994.

La fiche du film : ici

3 commentaires:

  1. Le titre de ce livre me donne envie de le lire, ton avis m'intrigue et va me faire sauter le pas :)

    Merci

    Bises

    AC

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  2. Je l'ai lu il y a quelque temps et je ne me souviens plus de tous les détails de l'histoire. Mais j'en garde un bon souvenir !

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    1. Pareil ! Il y a maintenant 8 mois que je l'ai lu et le souvenir est intacte !

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