Je déménage!

Vous vous demanderez pourquoi j’ai décidé de plateforme, et à quelle plateforme je suis allé ? Alors, je vous réponds tout de suite, je suis allé sur Wordpress. Pourquoi ? Parce que Wordpress offre beaucoup plus de libertés aux blogueurs et que c’est que je recherche. Donc, voilà, je suis passé là-bas.

Je serais très content que vous me suiviez dans mon nouveau blog, avec un nouveau thème, une nouvelle plateforme, je décide de commencer l’année de mon blog sous de bons auspices.

Voici le lien du blog sous wordpress. A savoir, je ne supprime pas celui-ci, mais il sera pas forcément mis à jour !

http://letteraturaa.wordpress.com/

mardi 24 mai 2011

Les Fleurs du Mal, Baudelaire

image

Quatrième de couverture : Avec Les Fleurs du Mal commence la poésie moderne : le lyrisme subjectif s'efface devant cette « impersonnalité volontaire » que Baudelaire a lui-même postulée ; la nature et ses retours cycliques cèdent la place au décor urbain et à ses changements marqués par l'Histoire, et il arrive que le poète accède au beau par l'expérience de la laideur. Quant au mal affiché dès le titre du recueil, s'il nous apporte la preuve que l'art ici se dénoue de la morale, il n'en préserve pas moins la profonde spiritualité des poèmes.
D'où la stupeur que Baudelaire put ressentir quand le Tribunal de la Seine condamna la première édition de 1857 pour « outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs » et l'obligea à retrancher six pièces du volume - donc à remettre en cause la structure du recueil qu'il avait si précisément concertée. En 1861, la seconde édition fut augmentée de trente-cinq pièces, puis Baudelaire continua d'écrire pour son livre d'autres poèmes encore. Mais après la censure, c'est la mort qui vint l'empêcher de donner aux Fleurs du Mal la forme définitive qu'il souhaitait - et que nous ne connaitrons jamais.

Mon avis et mon “analyse”: Nous voilà devant l’œuvre la plus imposante de Baudelaire, c’est donc pour cela que je vous propose ma chronique. Je vous l’avoue tout de suite, je n’ai pas lu tout les poèmes présents dans ce recueil, mais seulement ce qui me paraissaient intéressants. Mais j’ai quand même essayer de lire au moins un poème par parties.

Ce poète a vraiment un talent incontestable, il réussit à nous faire un poème au sujet d’une charogne. Je pense que ce poème est le meilleur, car il explique que chaque belle chose a une fin. On peut dire que ce poème exprime très bien la notion de “carpe diem”, car chaque chose a une fin.

Dans la partie Tableaux parisiens, Baudelaire nous décrit la population parisienne, il y a différentes couches sociales décrites par Baudelaire. Par exemple, il y a Les Petites vieilles. Mai il n’y a pas que la population, Baudelaire décrit aussi la ville et ses activités, comme dans Le jeu et Danse Macabre.

La partie Les Fleurs du mal, il y a essentiellement la femme et ses relations. Elle est perçue comme belle, source de débauche : tout simplement mal. L’avant-dernière partie parle de la religion, je trouve que c’est très intéressant d’avoir l’avis d’un poète. Ici, il explique la guerre entre le mal et le bien, Satan et Dieu.

La mort, la dernière partie intéressante que je vous présente. Ici, Baudelaire présente la mort comme le couché du soleil. Il fait des poèmes pour la mort des différentes personnes.

Donc, Baudelaire, n’est pas un romantique, mais il traite quand même quelque sujets romantiques qui transforme en pessimisme, en symbole. Il prend aussi le mal du siècle qui le transforme en Spleen.

Je peut dire que j’ai aimé ce style baudelairien qui se caractérise par le “Carpe Diem” qui est une philosophie à admettre. J’ai ressenti un réel plaisir de lire quelques poèmes de de recueil magnifique.

2 commentaires:

  1. Je garde moi aussi un réel plaisir à lire et relire des poèmes de ce recueil magnifique. Une beauté rare, extraordinaire, à analyser.

    Bonne continuation sur ton blog :)

    RépondreSupprimer
  2. Merci Aspare d'avoir lu mon blog ! Tu as raison, il n'y a pas plus beaux que ces poèmes !

    RépondreSupprimer