Quatrième de couverture : Maitre de musique, maître à danser, maître d'armes, maître de philosophie, maître tailleur, soupers fins, billets doux, rendez-vous secrets... Les plus folles extravagances sont entrées au logis : monsieur Jourdain s'est mis en tête des idées de noblesse et de galant homme. Hélas, pour avoir des idées notre homme n'en est pas moins bourgeois. Et sa bourgeoise, madame Jourdain, ne l'entend pas de cette oreille. Son mari décide de marier leur fille unique à un marquis ? Jamais ! Au fils du Grand Turc ? Il a perdu l'esprit ! Qu'il se ridiculise autant qu'il le souhaite, qu'il fasse de la prose autant que bon lui semble, monsieur Jourdain a, grâce au ciel, valet moins sot que lui. La farce que le coquin lui prépare est, celle-là, du meilleur gout !
Mon avis : Je sais que le théâtre est davantage fait pour être jouer. Mais, ce livre même en lecture passive est un régal de tout point de vue. On nous montre la naïveté de monsieur Jourdain, la méchanceté de Dorante. Il est montré que la mère est fière d”être ce qu’elle est, et veut rester dans cette catégorie sociale.
Résumé : Le maitre à danser et le maitre de musique arrive chez la demeure de M.Jourdain, il discute sur l’importance de l’argent dans l’art.M.Jourdain arrive, il leur fait montrer ses nouveaux vêtements, après il écoute et regarde la préparation pour la sérénade. Il apprécie, de plus le maitre à danser lui apprend même quelques pas.
C’est alors que le maitre d’armes vient,il commence son apprentissage en pratique avec M.Jourdain. C’est quand le maitre d’armes défend sa science devant les autres qu’une dispute éclate. Le maitre à danser, et de musique contre le maitre d’armes.
Le maitre de philosophie arrive pour envenimer la situation. Quand la dispute se disperse, le maitre de philosophie commence à apprendre la prononciation des voyelles, quand M.Jourdain veut qu’il écrive un billet, le maitre lui apprend le vers et la prose. Il est ravie d’apprendre de si belle chose.
Le tailleur, arrive avec de nouveaux vêtements,ce qui produit le rire de sa femme et de sa servante Nicole. Mme Jourdain prévient monsieur que Dorante est un imposteur et qu’il lui prend seulement de l’argent. Mais Monsieur Jourdain nie ses affirmations. Tout à coup, Dorante vient et ils font les comptes, ce qui permet à Dorante de lui demander encore de l’argent, que M.Jourdain donnera volontiers. Après les comptes, Dorante et M.Jourdain parle de la marquise, et du diner en l’honneur de la marquise Dorimène.
Mme Jourdain envoie Nicole ramener Cléonte (le bien-aimé de Lucile, la fille de M.Jourdain) et Covielle (le bien-aimé de Nicole) mais ils ne viennent pas car ils ne parlent plus à leurs amours respectives.
Après des négociations, Lucile et Nicole donne la raison de leur ignorance face à leur amour. Ce qui permet à Cléonte de demander la main de Lucile à M.Jourdain qui n’acceptera pas à cause de son niveau sociale (bourgeoisie comme M.Jourdain).
Spoiler (moment intense de l’intrigue) :
Après cela, le diner pour Dorimène est préparer et elle vient avec Dorante, son amant, elle pense que tous les présents offerts par M.Jourdain sont de Dorante. Ils commencent à manger, quand Mme Jourdain vient mais Dorante et Dorimène se disent amants et ils s’en va , M.Jourdain croit qu’il fait cela pour l’aider.
Covielle trouve une idée pour marier Cléonte et Lucile, il va déguiser Cléonte en un fils de Grand turc et dire à M.Jourdain que ce fils aime sa fille. Il exécutera son plan, il fera même une cérémonie pour M.Jourdain qui devient mamamouchi. Il donne la main de sa fille à Cléonte sans le savoir, mais Lucile refuse au début mais acceptera quand même lorsqu’elle reconnaitra Cléonte. Mais il y a un problème, Mme Jourdain refuse catégoriquement ce mariage, mais Covielle parlera avec elle pour la faire accepter.
Il n’y a aucun problème, Cléonte va se marier avec Lucile, Covielle avec Nicole, Dorimène avec Dorante, mais pour ce mariage M.Jourdain pense qu’il est faux. Le ballet des nations peut commencer.
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